•  Séance de rattrapage - Suite et fin

     2ème jour, le lundi

    Le week end était passé, j’avais beaucoup repensé à elle durant ces deux jours, ma morne vie de famille ne comblant pas mes perversités les plus folles qui envahissaient ma tête depuis quelques temps et chaque fois plus lorsque je la voyais ou qu’une rencontre était prévue. Deux vies, l’une dite "officielle", la vie familiale par excellence, dont je tairais tout ou presque, l’autre plus "jardin secret" aux milles délices, cette vie à laquelle j’avais goûté avec elle, ma soumise, qui devenait chaque jour plus osée, plus épanouissante sexuellement pour l’un comme pour l’autre pensé-je pouvoir dire sans trop m’avancer pour elle.

    Je lui ai fait parvenir ses instruction le dimanche, cette fois elle les a lues le jour même comme pour mieux se préparer à ce qui allait suivre.

    Exceptionnellement cette fois je n’imposait pas de jupe, c’était rare, la consigne était qu’elle porte un pantalon, qu’elle le choisisse le plus serré possible, mais une fois encore interdiction de porter des dessous, je voulais qu’elle sente les coutures frotter contre sa chatte, qu’elle se sente nue mais aussi humide à baigner dans le jus de son excitation durant sa journée de travail. Autre instruction concernant sa tenue, elle devait porter un haut court, ne cachant pas sa taille et encore moins ses fesses, je voulais que tout le monde puisse voir ce cul moulé dans un pantalon très ajusté, je voulais qu’elle puisse se sentir regardée, épiée, désirée !

    Cette fois encore touchages imposés, c’est un rituel pour la mener sur les chemins du plaisir, l’un imposé au matin pour enfiler ses boules qu’elle devra cette fois garder tout le long de sont trajet pour se rendre au travail, devant subir les transports en commun et leur lot de vibrations exquises, tant et si bien qu’elle était déjà sacrément humide en arrivant au travail, et pourtant elle ne s’était pas spécialement levé d’humeur coquine, de mauvaise humeur même pourrais-je dire mais j’ai apprécié qu’elle ne me le fasse pas sentir, j’ai aimé qu’elle assume son statut de soumise, toujours disponible même quand l’envie de coquiner n’est pas là, joli exercice improvisé pour le coup, et jolie démonstration d’obéissance au Maître.

    Ainsi j’ai eu la journée pour la faire changer d’humeur, pas évident mais pas impossible et puis je savais qu’en me voyant en vrai je n’aurais aucun mal à y parvenir si cela n’était pas acquis.

    Elle se devait parvenir à un bon 8 d’excitation avant de quitter son travail et se toucher aussi avant de partir, c’était son troisième touchage de la journée et le moment où elle devait remettre ses boules avant de se présenter devant moi.

    A 17h je passais la chercher, elle avait en effet parfaitement suivi mes instructions, en tous points même, jusqu’au pantalon, un jean on ne peut plus moulant dans lequel elle avait dû rentrer au chausse pieds ! Elle ne se doutait pas de la raison de ce choix imposé, lorsque je lui demandais alors qu’elle avait prit place à côté de moi dans mon véhicule.

    Elle était toujours d’humeur fort peu coquine, presque effrontée même, elle répondait ne pas savoir si elle saurait m’obéir, je ne devrais pas le dire mais j’aime lorsqu’elle me provoque, ça me motive encore plus, j’aime la faire plier, la faire mouiller en me montrant ferme avec elle et elle sait que si toutefois elle s’avise de désobéir encore la punition n’en sera que plus dure !

    Ainsi malgré ses réticences et autres remarques insolentes envers son Maître elle dû se plier à mes exigences. Après quelques minutes à rouler sur l’autoroute et dans une ambiance plutôt bon enfant je lui ordonnais d’ouvrir son jean sur le champs. Sur le moment j’ai presque cru qu’elle ne le ferait pas, mais avec un peu d’insistance elle obéit !

    Elle s’offusqua et retrouva cette peur qui la tenaillait souvent lorsque je la faisais se soumettre à moi dans des lieux manquant d’intimité, lorsque je lui demandais de carrément enlever son jean, elle objecta qu’il lui fallait enlever aussi ses chaussures et que serré comme il était elle ne pourrait pas le remettre facilement et se trouverait donc vulnérable aux regards et autres imprévus. Je lui fis comprendre le peu d’importance que j’accordais à la chose et mon désir de la voir cesser de parler pour agir en conséquence, je la regardais alors se débarrasser de son pantalon et pour la première fois elle se retrouvait entièrement dévoilée à mes cotés, sans rien en haut pour cacher son intimité, et avec l’évidente obligation de conserver ses cuisses ouvertes comme toute bonne soumise qui se respecte ! Elle avait oublié son collier, la chose l’avait d’ailleurs terrifié lorsqu’elle me l’annonçait par mail dans le courant de la journée, elle redescendait donc pour cette fois et grâce à mon indulgence du jour, simplement au rang de petite chienne, elle retrouverait son statut de soumise la prochaine fois si toutefois l’évènement impardonnable ne se produisait pas de nouveau. Ainsi elle avait tout intérêt à m’obéir, peut-être plus encore que d’habitude pour ne pas réveiller la colère du Maître …

    Elle s’exécutait donc, nue et ouverte assise à mes côtés, je lui imposait de se toucher pour moi, de se montrer salope, chose qu’elle n’avait pas non plus su faire lors de notre dernière séance avec T., chose qu’elle allait devoir apprendre, prendre confiance en elle et savoir susciter l’envie chez son Maître comme chez les autres, sur ordre et quelle que soit la situation où cela lui serait demandé.

    Elle progressait, elle se toucha devant moi, me regardant droit dans les yeux lorsque je lui ordonnais, ne se faisant pas trop prier pour me parler de son envie de se faire prendre, de son plaisir à faire la salope qui se branle dans les embouteillages, sans vraiment se décontracter elle arrivait à s’exécuter bien mieux qu’auparavant et faisant grimper dans le même temps son niveau d’excitation !  Elle osa même placer ses pieds sur le siège, se découvrant un peu plus encore lorsque je lui ordonnais.

    Elle dût rester tout le trajet dans cette tenue, me suppliant de l’autoriser à se rhabiller à l’approche de sa ville, refusé ! Elle dût "assumer" une fois de plus, et bien plus qu’avant, bien qu’elle essaya de se cacher un peu derrière son petit pull, ce qui lui valu une jolie claque bien appuyée sur la cuisse, elle s’exécuta plutôt bien et ne perdit pied que lorsque nous traversâmes une cités voisine de chez elle, mais malgré tout elle tenu bon !

    Notre "endroit" habituel était squatté, un mobil homme avec un homme assis sur ses marches me découragea de tenter ce lieu pour me livrer à la suite de la séance, nous repartîmes alors à la recherche d’un lieu moins fréquenté que nous trouvâmes dans une zone d’activité toute proche, un petite parking tout neuf et tout vide non loin d’un fast food, un endroit "rêvé" pour ce que nous avions à faire.

    Le lieu paru lui plaire car elle obéit très bien lorsque je lui expliquai ce que j’attendais d’elle, cette fois nous étions avec MA voiture et celle-ci présentait un levier de vitesse digne de ce nom et parfaitement placé entre les deux sièges, je ne lâche pas l’affaire facilement lorsque j’ai une idée en tête …

    Ainsi j’enfilai moi-même le préservatif à son nouvel ami et passai à l’arrière du véhicule où je m’installai confortablement, dégrafant mon pantalon et en sortant ma queue raide, je comptais me branler en la regardant se baiser avec ce phallus de fortune !

    Séance de rattrapage - Suite et fin

    Elle m’obéit sans cesser de regarder partout autour d’elle lorsque je lui intimais de se placer dans la même position que la veille mais cette fois à l’envers et de se frotter au levier pour bien se faire mouiller ! Elle se montra même bien docile et obéissante cette fois, ne rechignant pas à la tâche, se caressant généreusement avec l’objet avant de le faire glisser en elle cette fois parfaitement bien. Je m’approchai pour le voir s’enfouir en elle, écoutant ses gémissements de plaisir, elle s’abandonnait, elle lâchait prise cette fois et complètement ! Elle se baisait et obéit de la même manière lorsque je lui demandais de changer de trou et de se le mettre dans les fesses pour le plaisir de son Maître !

    Séance de rattrapage - Suite et fin

    C’était laborieux, elle ne parvint pas à le faire véritablement rentrer, il était large quand même et la position pas forcément des plus pratiques, mais elle essaya autant qu’elle pût avant de le laisser retrouver une place plus acquise dans sa petite chatte à présent plus que trempée. Elle luisait de mouille et me supplia de la laisser jouir, mais je refusai, une fois encore, j’avais envie de la voir jouir oui, mais avec ma queue, et la suite je savais parfaitement comment je la voyais !

    Séance de rattrapage - Suite et fin

    Ainsi je l’invitai à me rejoindre à l’arrière, lui imposant au passage de sortir de la voiture, mais elle refusa de le faire sans se rhabiller, cette fois je la laissai faire, déjà satisfait de ses progrès et me montrant aussi un peu conciliant compte tenu de cela.

    Une fois à mes côtés je lui montrai mon sexe luisant lui aussi de cette mouille d’homme qui devait lui faire envie, elle me tarda pas à venir me flatter de sa bouche, exquise avant que nous soyons dérangé, trop vite par un petit camion n’ayant rien trouvé de mieux que de venir s’installer à deux pas de nous sur ce parking initialement désert ! Cela fît renaître ses craintes et la bloqua, pas que le monsieur puisse vraiment nous voir compte tenu de la position penchée qu’elle devait adopter pour me sucer mais il se serait forcément douté et déjà lorsqu’il était arrivé, il avait dû entrevoir que nous n’étions pas vraiment en train de chercher notre route sur un plan …

    Ainsi je ne parvins pas à la convaincre de se laisser baiser devant cet inconnu, chose qui ne m’aurait nullement dérangé, mais à grand renfort de caresses équivoques prodiguées en auto érotisme à mon sexe toujours luisant je parvins à lui faire envie, elle voulait satisfaire son maître et finit par revenir se pencher sur moi, faisant abstraction de cette présence incongrue et indésirée elle me reprit en bouche pour mon plus grand plaisir, vicieuse, gourmande et parfaitement docile. J’en profitai alors pour la forcer à me dire qu’elle voulait me faire plaisir :

    - Oui Maître, j’ai envie de sentir gicler votre sperme dans ma bouche, j’ai envie que vous me baisiez la bouche !

    Ce que je ne me privai pas de faire, lui maintenant la tête lorsque je sentis mon plaisir venir et ne lui laissant d’autre choix que de prendre tout mon foutre dans sa bouche ce qu’elle fît à merveille !

    J’étais un peu déçu car elle n’avait pas eu de plaisir, je regrettais de ne l’avoir pas laissé se donner du plaisir avec le levier de vitesse puisque je n’avais pas pu le faire moi-même, je pensais à son plaisir, à sa frustration et je me jurais d’y mettre un terme le plus rapidement possible.

    C’est ainsi que se termina la seconde séance de rattrapage, pas comme je l’avais prévu mais finalement assez joliment, elle était certes frustrée mais aussi contente d’elle que du plaisir qu’elle m’avait donné, nous pensons chacun au plaisir de l’autre avant même de penser au nôtre et ce malgré la relation dominant dominée que nous avions, l’un n’empêchant pas l’autre !

    C’est le lendemain que j’eus l’occasion de la soulager un peu, nouvelle rencontre imprévue et amenée par une journée à se chauffer alliée à sa frustration, même lieu, même heure et personne pour nous déranger, mais cette fois pas de séance et je n’eus pas grand mal à la convaincre de venir s’empaler sur ma queue après avoir prit soin d’ôter à nouveau son jean, ça deviendrait une habitude ! ;-)

    Je la fît jouir à deux reprises, la serrant dans mes bras et la laissant se baiser de ma queue, accompagnant ses propres coups de reins en appuyant les miens, venant le plus profondément possible dans sa chatte gourmande et affamée, je la baisai rapidement mais pour la combler, j’attendis son plaisir pour consommer le mien et nous pûmes enfin apaiser un peu toutes ces tensions accumulées durant ces derniers jours !

    Elle est ma soumise, dévouée, impliquée et vicieuse comme j’aime, elle a des progrès à faire et son dressage ne fait que commencer, mais c’est déjà une salope démente et elle aime la bite, elle assume ! Moi j’aime la voir se donner à moi, corps et âme, et se déchaîner lorsque je la laisse enfin prendre son plaisir !

    A suivre … dans de nouvelles aventures …

    Bonnes vacances à toutes et à tous surtout !

      


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    Séance de rattrapage

    Elle a fauté, mais ceux qui la suive le savent, lors de sa séance virtuelle elle a dit non à son Maître. Au delà de la punition exemplaire que vous avez pu découvrir et à laquelle elle a eu droit, je ne suis pas de nature à rester sur un échec, d’autant que c’est aussi un peu le mien car je n’ai pas su lui faire lâcher prise. On apprend de ses erreurs, elle comme moi et la dernière séance en est la preuve, elle devient de plus en plus docile et obéissante, elle a appris à lâcher prise et à obéir comme il se doit à son Maître, mais je tenais à lui faire vivre cette fameuse séance virtuelle comme elle aurait dû se passer, je tenais à ce qu’elle arrive à surmonter ses peurs et à oser un peu plus encore.

    Il y a encore quelques mois elle était une jeune femme la tête pleine de fantasme mais elle n’osait pas, elle se sentait attirée par la soumission sans trop en comprendre les enjeux, mais au fil du temps, et les choses sont allées vite, elle a osé, elle a découvert et assumé son côté dépravée, elle a vécu de nouvelles choses et je suis devenu son Maître, d’abord pour l’initier et à présent en phase de dressage, je suis content d’elle et de ses progrès notables, il reste encore du chemin à parcourir et elle-même le sait, mais je sais qu’elle est capable de beaucoup, de tout même je pense avec le temps.

     

    Mon idée était donc de lui faire revivre une séance virtuelle dans l’esprit de celle que nous avions tenté, mais sans risquer à nouveau l’échec, cette fois j’avais mon idée en tête et c’est tout au long de la journée qui a précédé cette séance que les choses se sont mises en place ! J’ai prévu non pas une mais deux séance assez rapprochées, l’une se déroulant le vendredi et l’autre le lundi suivant, dès le début mon idée était claire, mais c’est en fonction de ses réactions que j’ai adapté le déroulement de ces séances pour la mettre à l’épreuve.

     

    1er jour, le vendredi

     

    Dès la veille au soir elle avait reçu ses instructions, elle a préféré attendre le matin pour les découvrir et se mettre dans l’ambiance de dévotion adéquate, tenue imposée ou plutôt orientée, elle devait porter une jupe ou une robe, mais je lui ai laissé en choisir le style et la longueur, seule contrainte imposée, ne porter aucun dessous, ni string ni culotte ni même de soutif, je la voulais nue sous sa robe, ce qu’elle a choisit, et brûlante de désir pour le plaire.

    3 touchages imposés dans la journée et le port de ses deux amies intimes deux heures dans la journée, en deux fois, à choisir !

    Autant dire que la journée fût chaude et j’ai tout fait dans ce sens, mails chauffants, réactions écrites à ses comptes-rendus de touchages, je lui avais ordonné de se présenter à moi au tel au moins à 10/12 d’excitation, ce qu’elle a bien tenté de faire.

    Rendez-vous fut prit, virtuellement bien sûr, sur un parking que nous connaissions et que j’imaginais calme durant cette période de congés, celui d’un centre commercial non loin de mon lieu de travail, ainsi j’aurais la possibilité de la rejoindre si le cœur m’en disait, c’est en tout cas ce que je lui ai laissé penser, car au fond de moi je savais exactement ce que je comptais faire avant même de lui parler.

    Elle devait choisir un endroit sur ce parking, et se préparer, remonter sa robe bien haut au dessus de sa tailler et commencer à se caresser, elle devait m’appeler lorsqu’elle serait prête, juteuse à souhait et disponible pour son Maître !

    Malheureusement tout ne se déroula pas comme prévu, beaucoup de monde sur la parking, j’y étais en réalité avant elle et j’eus tout le temps de l’observer changer plusieurs fois de lieu, prise de panique par cette proximité trop grande avec le monde, persuadée qu’où qu’elle se mette on la verrait, l’excitation redescendit à mesure que son angoisse montait et lorsqu’elle m’appela elle était dans un état de stress assez avancé, mais malgré tout prête, pour autant que cela fût possible, pour la séance.

     

    Elle devait m’appeler et me saluer comme son Maître, ce qu’elle fit parfaitement, je sentais dans sa voix l’angoisse qui la gagnait et je comptais tout faire pour la vaincre cette fois, pour l’amener à se laisser aller même si je savais que ce n’était pas gagné d’avance, j’avais repéré l’endroit où elle avait choisi de stationner sa voiture et m’étais moi-même garé non loin en prenant soin qu’elle ne puisse me voir, je l’observais néanmoins sans vraiment voir, à bonne distance, lorsque mon téléphone sonnait.

     

    - Bonsoir Maître !

    C’était parti et déjà ma queue se gonflait dans mon pantalon, à la pensée de ce qui allait suivre, au son de sa voix de soumise dévouée, je lui posais quelques questions d’usage pour détendre un peu l’atmosphère, vérifiant son niveau d’excitation et son état de stress et puis je lui ordonnais de reprendre son touchage, d’abord doucement, puis avec plus de précision, la forçant à me parler, à me décrire ses actes, chose qu’elle peine encore un peu à faire. Malgré tout elle faisait de son mieux, fort peu désireuse de me décevoir à nouveau, elle me décrivait sa main venant titiller son bourgeon, ses doigts glissant sur sa chatte humide, venant longer sa fente pour s’y glisser, je goûtais à cette voix de petite chienne qui avait envie de sexe, son excitation ne tarda pas à monter d’un cran et malgré la peur d’être surprise elle obéissait, faisant tout son possible pour m’obéir. Elle se doigtait d’un puis de deux doigts, jouant d’abord avec son intimité puis avec son œillet sur mon ordre, s’enfonçant profondément ses doigts en elle, branlant vigoureusement son clito, le 10 d’excitation elle l’atteint finalement assez vite, juste ce qu’il fallait pour que nous passions à l’étape suivante.

      

    Séance de rattrapage

      

    Je lui demandais alors si elle savait ce que j’allais lui imposer, elle ne voulait pas l’imaginer, elle pensait que je ne reviendrais pas sur ce sujet une seconde fois, ne l’ayant pas habitué à réchauffer mes demandes, je lui rétorquais que vu que la chose ne s’était pas vraiment concrétisée ça ne me paraissait pas être du réchauffé !

    Ainsi elle dû à nouveau enfiler une capote à son levier de vitesse, et cette fois je lui fis comprendre que je ne tolérerais pas de refus à mes ordres, elle allait devoir se baiser avec lui, faire sa salope au-delà de ce qu’elle n’avait jamais fait dans ce parking, au vu et au su de tous !

    Elle tenta de discuter mais je la remis bien vite en place, lui ordonnant fermement de m’obéir, ce qu’elle finit par faire alors que je m’approchais discrètement de sa voiture pour la surprendre, elle dû se placer face à son pare brise et donc face aux allées du parking, les deux genoux posés sur chaque siège avant de sa voiture, et se frotter sur le levier de vitesse, je l’entendais gémir malgré ses supplications pour que j’arrête de lui en demander tant ! Cette fois elle obéissait et ce qui comptait c’était ça, même si je savais que son plaisir serait un peu gâché par le stress ça faisait partie de son dressage, devoir m’obéir malgré la peur, avec le temps elle apprendrait à gérer ça !

    Alors qu’elle tentait enfin de faire glisser le levier de vitesse en elle elle m’aperçu proche de son véhicule, je voulais la surprendre, c’était réussi parce qu’elle ne m’avait pas vu arrivé mais j’aurais aimé la prendre sur le fait, elle crut pouvoir se détendre lorsque je pénétrais à l’arrière de sa voiture mais je la recadrais, elle croyait pouvoir arrêter ce qu’elle faisait mais je lui ordonnai de continuer, de me montrer comme elle faisait sa chienne, elle se fit une fois de plus prier mais elle s’exécuta néanmoins.

    Le problème était la position du levier de vitesse, implanté dans le bas du tableau de bord et non entre les sièges comme sur la majorité des véhicule, cela rendait difficile la pénétration surtout compte-tenu de son état  de stress avancé ! JE décidai  alors de mettre fin à son supplice d’une certaine manière, j’avais déjà ma petite idée pour résoudre ce léger contre temps et bien d’autres envies à la voir ainsi excitée par son acte de soumission et puis le principal était qu’elle m’aie obéit ce qu’elle avait très bien fait cette fois ! Je passai donc à l’avant, la faisant reprendre sa place sur son siège conducteur et je lui annonçais que tout cela m’avait bien excité et que je désirais qu’elle me suce.

    Là encore petit moment de panique pour elle, mais là encore elle su surmonter sa peur et s’exécuter, me déboutonnant mon pantalon et en extirpant ma queue tendue, elle ne réfléchit pas trop longuement et se pencha après avoir scruté partout autour de nous, je lui indiquais qu’une fois en position elle ne verrait plus et n’aurait donc plus à risque de croiser le regard d’un voyeur. Je sentais ses lèvres m’envelopper, sa langue revenant découvrir mon gland gorgé de sang, je la sentais me prendre en bouche et je me faisais la réflexion qu’elle avait grandement progressé sur sa pratique de la fellation, elle y allait maintenant de bon cœur, me prenant considérablement en bouche, se laissant faire lorsqu’il s’agissait que j’impose le rythme et je profitais de la situation, lui intimant de joindre ses poignets dans le dos et de me laisser prendre le contrôle. Là encore hésitation et puis elle s’exécuta, se retrouvant alors complètement dominée et incapable de gérer quoi que ce soit. C’est moi qui maintenait sa tête, la saisissant par les cheveux pour gérer la profondeur de pénétration de ma queue dans sa bouche, y allant d’abord doucement puis me faisant plus plaisir, forçant le passage, provoquant un peu d’écoeurement au passage de mon chibre dans sa gorge mais me faisant grandement plaisir en constatant qu’elle ne tentait pas de reculer ou de reprendre le contrôle, je lui maintenais les poignets dans le dos d’une main, faisant coulisser sa bouche sur ma queue de l’autre en rythmant le mouvement de ma main dans ses cheveux. Voyant qu’elle ne tentait pas de résister je lachais ses mains pour venir m’occuper de sa chatte et de son cul, histoire qu’elle aussi prenne du plaisir et pas seulement à sentir la queue de son Maître envahir sa gorge, j’étalais sa mouille sur sa chatte et sur son cul, glissant mes doigts en elle sans grand ménagement, je la doigtais comme une chienne, lui faisant bien sentir mon emprise, je savourais ses gémissements étouffés par le fait qu’elle aie la bouche bien remplie.

      

    Séance de rattrapage

      

    Cette petite gâterie dura un moment mais il n’était pas question de trop trainer non plus, chacun d’entre nous devant rentrer à une heure acceptable dans son foyer.

    Je décidais alors qu’il était temps de se soulager, j’étais dans un état terrible d’excitation, elle devait bien le sentir, ma queue me faisait mal tellement elle était tendue et il allait falloir faire baisser la pression mais alors que j’aurais pu m’épandre dans sa gorge et ainsi me satisfaire je préférais l’option baise qui, au-delà de permettre encore de lui faire vivre une épreuve, allait aussi lui procurer plus de plaisir.

     

    Ainsi je lui expliquais je que j’attendais d’elle, elle devait sortir de la voiture, se rendre à l’arrière, ouvrir son coffre placé contre le mur du fond du parking et s’y pencher en relevant sa robe au dessus de sa taille, la suite je m’en occupais !

    Elle fit une tête hallucinée lorsqu’elle m’entendit mais c’est sans trop rechigner qu’elle ouvrit sa portière pour se rendre presque en courant à l’arrière de la voiture, lorsqu’elle eût ouvert le coffre et ce fût installée elle m’en fit part, je descendis alors à mon tour sans même avoir pris soin de ranger mon "matériel" et me dirigeai à mon tour vers l’arrière de la voiture, je la trouvait offerte, penchée et les coudes appuyés dans son coffre, le cul tendu, je forçais sa pause, lui ordonnant de bien se cambrer et pressant sur son bassin, je lui fis écarter largement les cuisses et c’est sans autre forme de préliminaire que je lui mis mon sexe d’un coup au fond de son con ruisselant de mouille, je la pris énergiquement et à grands coups de reins, faisant claquer mes couilles sur sa chatte, passant une main sur son ventre pour branler son clito en même temps et me permettant même de lui asséner quelques claques bruyantes et raisonnant dans le parking, ce qui ne manqua pas de la faire râler et d’attiser sa peur que nous soyons surpris en pleine action.

    Je la baisais fort, et tout alla très vite compte tenu de mon niveau d’excitation, malheureusement elle n’eût pas le temps de jouir, à la fois à cause de la rapidité de l’action mais surtout à cause de sa peur qui la tenaillait, moi en revanche je jouis et délicieusement, sentant mon sperme jaillir et butter dans son ventre, venant l’inonder, je fournissais beaucoup et elle gémit malgré tout considérablement, il n’aurait pas fallu longtemps pour lui faire oublier le lieu et la situation je pense …

    Lorsque j’eus fini de me vider en elle je me retirais, elle coulait de nos jus mêlés et maudit la position lorsqu’elle sentit nos semences lui couler entre les cuisses et le long de celles-ci, nous reprîmes place en voiture pour une petite séance d’essuyage avant de nous rajuster, il était déjà temps que nous nous quittions, pour mieux nous retrouver le lundi suivant, le temps d’échanger un peu d’abord de vive voix puis au téléphone le temps que chacun de nous rejoigne son chez lui. Elle avait aimé la séance, elle était contente d’elle et moi tout autant, elle avait cette fois réussi l’examen qui lui avait fait défaut la fois précédente, j’étais fier de ma soumise !


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  • C'est tout juste si j'ai le temps de me relever que mon Maître me demande de m'allonger sur le lit et sur le dos. C'est sur, pour cette séance, je n'aurais aucun répis.  Je m'allonge donc sur le lit,  Mon Maître passe sa tête entre mes cuisses. Je sens sa langue passer le long de ma chatte. Hum j'adore. Il joue très habillement de sa langue, la passe sur mes lévres, sur mon clito. La fait s'égarrer à l'interieur. J'appécie carrément qu'il me leche comme ça. Un vrai délice. D'ailleurs, je mouille comme jamais. 

      Séance avec collier - suite et fin

    Je comptes bien profiter de toute l'attention qu'Il me donne mais je vois T monter sur le lit, s'approcher de moi et mettre son sexe a porter de ma bouche. Je sors donc ma langue et me décale un peu pour toucher sa queue tendue qu'il m'offre. Contrairement au début de la séance, je n'hésite pas. Séance avec collier - suite et fin Je le leche et le suce bien comme il faut. Vu sa position, au dessus de moi, encore une fois il pourrait facilement m'enfoncer sa queue au fond de la george sans que je ne puisse rien faire mais il ne le fait pas. Pendant ce temps là, mon Maître joue avec mon intimité en utilisant tout ce qui'il a disposition. Sa langue bien sûr, et puis ces doigts qui viennent s'inserer en moi pour mon plus grand plaisir. Un d'abord, puis rapidement un deuxième.  Il joue aussi beaucoup avec le plug toujours en place pour bien me dilatter. Et puis un god vibrant assez gros voir bien gros même. Mon Maître me l'insère doucement au début et le fait vibrer une fois en place. Il fait de nombreux va et viens avec. Je sais qu'il est gros mais je ne ressens pas de gêne particulière, il rentre très bien tellement je suis ouverte.  Je me tortille de plaisir encore une fois au bord de la jouisance et je me déchaîne sur la queue de T au même rythme que mon Maître se déchaîne sur ma chatte. Je le lèche tout entier, même les couilles. Vus ses gémissements il a

     Séance avec collier - suite et fin

    l'air d'aimer ça d'ailleurs. Et soudain, la jouissance arrive, tout mon corps est pris de tremblements, je ne contrôle absolument rien, c'est comme une explosion de plaisir.

    Séance avec collier - suite et fin

    Mon Maître retire le god et le plug et s'allonge perpendiculairement à moi et sans prévenir, enfonce sa queue dans mon petit trou. Il y va assez doucement et puis il me demande si j'aime ça et si je veux qu'il me la mette bien profond. Je réponds un petit : 

     - Oui Maître.

    - Dis le alors !

    - Je veux sentir votre queue bien profond Maître.  

     J'ai tout juste fini ma phrase que d'un grand coup de reins il m'enfonce sa queue bien profond. C'est un peu douloureux mais c'est surtout très jouissif. Là encore j'aurais tendance à abandonner la queue de T pour me concentrer sur le plaisir lié à cette sodomie. Mon maître n'hésite pas, il y va fort, il se fait bien plaisir je pense.

    Et puis changement de place, mon Maître s'éclipse dans la salle de bains, T joue beaucoup avec le god et de nouveau s'occupe de dilater mon petit trou encore plus, décidemment ces deux là lui porte grande attention et j'adore ça ! Mon Maître revient et prend la place occupée précédemment par T et me présente à son tour sa queue. Je le suce lui aussi en m'appliquant du mieux que je peux pendant que T continue de me branler, de me dilater, de m'ouvrir. J'ai du mal à continuer à sucer mon Maître qui me rappelle à l'ordre. Je suis là allongée sur le lit, jambes écartées, toute offerte et je n'en peux plus. Je ne sais plus où donner de la tête, ils m'use, je suis essoufflée. J'ai tellement du mal à sucer mon Maître que celui-ci se branle tout près de moi. Malgré tout mon corps réclame encore, je suis folle de leurs queues. Encore une fois la jouissance me gagne et je pars dans un orgasme d'une rare intensité.   

    De nouveau mon Maître disparaît dans la salle de bain et je me retrouve seule avec T qui est maintenant allongé sur le lit, la queue bien raide, terriblement excité. J'admire son dard et je viens me positionner au dessus de lui pour m'enfiler encore sa queue. Je suis encore toute essoufflée. Cependant, nos corps se mettent en mouvement, moi m'empalant sur sa queue jusqu'à la garde et lui donnant de bons coups de reins, il sait y faire je dois dire.

    Séance avec collier - suite et fin

      

     J'ose faire ma salope comme mon Maître me l'a demandé et je le regarde plusieurs fois dans les yeux pour qu'il puisse y lire mon envie, mon désir. Et alors que je ne m'y attends pas, je reçois deux claques fortement appuyées sur les fesses. Puis, comme transporté par mon regard provocateur il m'attrape par la taille, me redresse et je sens sa queue au plus profond de moi, c'est bien lui qui dirige ! Je suis de nouveau au bord de la jouissance, hallucinant !

    Mon Maïtre est déjà revenu dans la chambre et en a profité pour faire quelques photos, je ne me suis rendue compte de rien, j'ai seulement senti sa présence lorsqu'il est passé derriere moi. Et puis j'ai senti sa queue près de mon petit trou, il est rentré doucement d'abord, J'ai arrêté de bouger sur la queue de T et je crois que lui aussi s'est arreté un instant. La queue de mon Maître s'enfonce progressivement entre mes reins. Une fois que je me sens plus dilatée, je recommence à m'activer sur ces deux queues. Je ne me contrôle vraiment plus et m'empale de plus en plus fort sur ces sexes bien tendus que je n'ai que pour moi humm. Je me sens comblée de partout. Je prends vraiment mon pied et je ne tarde pas à sentir tout mon corps se tendre. Je sens mon vagin et mes fesses se resserrer, ils doivent le ressentir aussi, je sens leurs queues serrées en moi et je jouis, atteignant un niveau de plus dans les sphères du plaisir, bien pleine de ces bites de mâle qui me saillissent, T me rejoint dans cette jouissance, mon Maître lui tient encore la route et ne cesse pas de me prendre mais c'est moi qui n'en peux plus et il finit par me laisser souffler. 

    Je vois à nouveau mon Maître partir dans la salle de bain, il semble avoir plus que chaud. De mon coté, j'essaie de reprendre mon souffle, de me remettre de tout cela. Mon Maître revient et s'allonge sur le lit la queue bien offert et de novueau il me veut. Je viens alors m'empaler sur sa queue, ce n'est pas encore fini pour moi. T s'approche à son tour de moi que que je le suce. Je comprends la raison de ce retour et je n'en ai pas trop envie au fond. Faire durcir sa queue de nouveau, le rendre bien dur pour qu'il m'encule à son tour...ouf ! Je suis quand même novice en ce qui concerne la sodomie, je ne pratique pas depuis longtemps et vue la queue de T je n'ai que peu d'envie qu'il me fasse les fesses. Je le suce néanmoins, mais sans grande motivation. Et pui mon Maître, qui est en train de me donner des grands coups de reins, me déconcentre sérieusement aussi. Mais visiblement la motivation de T est plus forte quisque malgré tout, il ne tarde pas à retrouver toute sa raideur et il bande bien comme il faut. Evidemment il se glisse à son tour derrière moi. Il y va doucement mais le passage est quand même difficile. Je m'aggrippe à mon Maître et me mords la lèvre pour contenir les protestations que je pourrais émettre. Il est hors de question que mon Maître me reprenne à nouveau. Il se glisse en moi, doucement mais sûrement et une fois rentré, il fait plusieurs va et viens et c'est carrément terrible. La douleur est toujours un peu présente mais le plaisir s'installe bien aussi. J'essaie de contenir mes gémissements de plaisir avec grande difficulté. Plusieurs fois, T ressort de mes fesses et y reviens complétement jusqu'à ce que je sois bien ouverte. Il me lime avec ardeur et son plaisir ne tarde pas à venir. Moi je suis un peu ailleurs. Il se retire et je suis ravie de finir cette séance empalée sur la queue de mon t Maître, petit moment de complicité juste à deux, pour qu'il puisse terminer lui aussi encouragé par mes cris de jouissance qui n'en finissent plus. Sacré séance que celle-ci, mon Maître a fait très fort !

    Séance avec collier - suite et fin

    Cette séance fut pour moi pleine de nouveauté et je comprends pourquoi mon Maître en a fait mon examen de passage pour l'obtention de mon collier. J'aurais pu mettre un stop à tout cela à n'importe quel moment en utilisant le stop word que nous avons définis avec mon Maître mais je n'en n'ai pas eu besoin. Toute cette séance à eu lieu dans le plus grand respect de chacun et mon Maître avait préparé ce moment comme il sait le faire, entre discutions sur nos differentes envies, échanges avec T et moi-même, il n'y avait donc aucune raison pour moi de stopper tout cela.

     Merci à mon Maître et merci à T. 


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  • Une fois debout, il me dit que je peux retirer le bandeau de mes yeux. J'hésite à le faire même si je sais qu'en fin de compte je vais l'enlever parceque mon Maître me le demande, j'ai envie de l'enlever pour découvrir enfin cette troisième personne qui est là avec nous depuis le début mais en même temps, j'ai peur de devoir affronter ce son regard, de ce que je pourrais y lire, je ne me sens pas très bien.   Je finis tout de même par l'enlever, j'hésite un peu à regarder autour de moi, je ne suis pas du tout à l'aise, la sensation est bizarre.  Malgré tout, curieuse et bien obligée d'agir, je tourne la tête et découvre T. Je n'ose pas vraiment le regarder, une sorte de honte s'empare de moi, pourtant la surprise est agréable, il est assez grand, bien foutu, assez beau gosse en fait. Je suis là débout et je ne sais pas trop quoi faire, je suis toujours gênée, tellement gênée et mal à l'aise que ce passage de la séance est asez flou dans mon esprit. Et histoire de bien enfoncer le clou, mon Maître me dit que je vais devoir tout faire pour les exciter encore plus, pour leur donner envie de me baiser, il attend de moi que je fasse ma salope allumeuse, ... Là, pour moi, c'est un grand moment de solitude ...   Je ne sais pas faire ça, enfin si je sais, dans ma tête je sais comment je dois faire et ce que je dois faire mais mon corps lui ne bouge pas, je suis tétanisée. Déjà rien que pour mon Maître j'ai du mal mais là ils sont deux. Je me sens complètement ridicule tout à coup et je ne bouge pas, je suis perdue, je ne fais rien.  Jusqu'à présent, c'est pour moi le pire moment de la séance.  Tous les deux s'en rendent bien compte et mon Maître, désireux de me faire agir, m'ordonne donc de m'asseoir sur la chaise et de me branler pour eux, pour les exciter. Il dit que je peux utiliser les accessoires que j'ai amené.  

    Empotée

     Je me rasseois donc sur la chaise, jambes bien écartées, je réalise que j'ai encore mes boules et demande donc l'autorisation de les retirer, acceptée ! Une fois que c'est fait, j'attrape mon gode vibro et commence à me toucher, ces objects en quelque sorte me rassurent, je me raccroche à quelque chose que je connais. Mon Maître, faisant mine de ne pas se soucier le moins du monde de mon malaise, en remet une couche et me demande de lever l a tête et de les regarder bien dans la yeux, il veut voir mon regard de chienne, il veut lire le sexe dans mes yeux. Mais bien sûr !!

    Comme si je n'étais pas déjà assez mal à  l'aise !!    Toutefois, je m'exécute, je veux tout faire pour tenter de le satisfaire, au risque de paraître ridicule ou de mal faire, au moins je ne baisse pas les armes. Je ne sais pas combien de temps cela dure mais ça me parait une eternité et puis surtout je n'ai vraiment pas l'impression de faire quoi que se soit de bien pour les exciter, je fais juste ce que je peux.  Mauvais moment pour moi et beaucoup de travail en perspective pour remédier à cela, je sais que mon Maître saura me rappeler ces moments ...

    BoulesMon Maître met enfin fin à mon calvaire. Il me demande de me mettre par terre à quatre pattes. Je l'entend chercher quelque chose, et puis il s'approche, accroche une laisse à mon collier et s'adresse à T. en lui disant qu'il est temps d'aller promener sa petite chienne. Même pas le temps pour moi de réagir ou de réfléchir à quoi que se soit que le voila déjà en train de se balader dans la chambre avec moi accrochée au bout de la laisse. Bien évidemment je le suis docilement. Le suivre est bien le bon therme puis qu'il me laisse "marcher" derrière Lui, sans tirer sur la corde comme un Maître pourrait le faire en sachant qu'il tient en laisse une soumise docile. C'est encore une première pour moi de me faire ainsi balader en laisse. Ce n'est pas spécialement plaisant, ni déplaisant d'ailleurs, c'est juste un fait, quelque chose de plus dans la séance.  Et puis mon Maître demande à T s'il veut prendre le relai, ce que celui-ci fait apparemment bien volontiers. Il prend donc la laisse mais contrairement à mon Maître, il tire dessus d'un coup assez sec ce qui m'oblige a bien relever la tête et a venir me coller tout contre sa jambe, il est plus ferme, plus directif et pour le coup la manière me paraît plus adéquate finalement. C'est donc de cette manière qu'il me promène dans la chambre bien tenue au collier et collée à lui. Pour le coup, j'apprécie plus cette "balade" que celle d'avant. T a très bien joué son role de dominant et mon Maître en profite pour immortaliser la scène. 

    promenée

     Après ce petit tour, j'entends mon Maître dire à T qu'il prendrait bien une peite pause. Pour ce qui me concerne, je dois aller me placer à genoux au coin, les mains dans le dos. Visiblement pas de petite pause pour moi.  J'y vais rapidement, il me demande alors si j'ai soif et je lui réponds :   - Oui Maître   C'est en fait T qui m'apporte un verre d'eau, j'ai les mains dans le dos et je me demande comment je vais faire pour boire. Mais c'est le plus naturellement du monde que T m'approche le verre au bord des lèvres et me fait boire. Encore une fois, je ne supporte pas que l'on fasse à ma place ce que je pourrais faire toute seule mais je ne dis rien et bois.  Je ne risque pas de me reposer comme eux car T. ne le voit visiblement pas de cet oeil là, alors que mon Maître semble vouloir souffler, lui ne cesse de se montrer pressant avec moi.

    EcartéeTouchée rougie          A  peine le verre bu et déposé sur la table il revient vers moi, je sens sa main passer sur mes fesses, il joue avec mon intimité, ne faisant que remonter mon niveau d'excitation, ses mains sont baladeuses, ses doigts inquisiteurs, il me caresse, il me branle et réveille l'âme de photographe de mon Maître qui se fait un plaisir d'immortaliser encore l'instant.

    Au coin

     Chacune de ses caresses sur mes fesses réveille le feu de la fessée qui a précédé, j'ai le cul en feu et à tous points de vue, j'aime qu'ils ne me laissent pas de répit, je me sens soumise et sollicitée comme je ne l'ai jamais été auparavant et mon envie ne faiblit pas. T. m'écarte les fesses, il joue avec le plug bien en place dans mon cul, tire dessus, le fait tourner en moi c'est humm, je sens que la suite ne sera qu'encore plus chaude.  

    Après quelques minutes de pose, mon Maître semble décidé à reprendre la séance, il s'adresse à T. en lui disant qu'il pense que la petite pute que je suis est bien mûre pour se faire baiser, il me présente alors un préservatif et me demande de le mettre à T. Je m'exécute difficilement, un peu empotée et finalement c'est T lui-même qui fini s'"habiller". Je sais ce qui va se passer maintenant mais je ne sais pas trop comment cela va avoir lieu. Mon maître me dit de m'approcher du lit en restant à genoux et de me pencher sur le lit, je m'exécute, j'aime cette position. Puis il m'ordonne d'étendre mes bras en avant et de bien me cambrer, je dois donner envie à notre invité !   T. s'approche de moi et commence à me carresser les fesses, je sens ses mains, il est doux, puis elles passent entre mes cuisses que je me force à bien ouvrir, je me sens trempée et je ne doute pas qu'il s'en rende compte. Puis ce sont ses doigts qui viennent me flatter, il prend son temps, me caresse, me pénètre d'un puis de plusieurs doigts, accélérant un peu le rythme, il m'ouvre, il me branle, j'aime beaucoup.  Puis il cesse, certainement décidé à passer à l'action, c'est sa queue que je sens à l'orée de ma chatte ouverte, je le sens se guider de sa main puis venir en moi, d'abord doucement il passe son gland, je gémis, puis d'un coup de rein il me remplit, enfin ! Je ressens comme un soulagement, enfin l'un d'eux me baise vraiment, je me délecte de ce moment, mes mains s'agrippent au dessus de lit et je savoure la sensation de cette grosse queue bien dure qui glisse en moi. T. D'abord si doux prend son rythme et accélère, je le sens plus que bien, il est doué de son engin le Monsieur ! Mon Maître vient alors s'asseoir sur le lit juste devant moi, visiblement je ne vais pas avoir de répit, ils sont deux et ils vont bien me le faire sentir, ses jambes écartées, il les passes de chaque coté de mon visage, s'installe confortablement et me présente sa queue qui se trouve, du coup, face à ma bouche.

    Je ne peux pas me tromper sur ce que Maître attend de moi. Je commence à le sucer doucement tandis que T lui fait plus que commencer à donner de bons coups de rein, j'ai du mal à me concentrer sur tout en même temps, j'ai envie de savourer cette queue qui va et vient en moi et en même temps je ne veux pas délaisser mon Maître.   J'apprécie de plus en plus tout cela, d'être ainsi au centre de leurs préoccupations à tous les deux, je réalise enfin ce que c'est d'avoir deux hommes, quatre mains et deux queues juste pour moi, je me sens bien soumise et j'aime ça. Mais c'est loin d'être fini, et je ne vais plus avoir à me concentrer sur quoi que ce soit, mon Maître prend le pouvoir et me demande de mettre mes mains dans mon dos.    Je me dis que ce n'est pas possible là ! Je suis justement appuyée sur mes bras donc si je les mets dans mon dos, je vais me retrouver la tête dans le lit. Mon Maître doit donc réitérer sa demande.  Je sais qu'il faut que j'obeisse mais j'ai du mal, comme je peux donc, je passe mes mains dans mon dos et ... gagné ! Je me retrouve la tête dans le lit mais c'était sans compter sur T. qui, à peine mes mains passées dans mon dos, les attrapes et me tire vers l'arrière. Forcément je me redresse un peu, je ne contrôle plus rien.

    PriseMon Maître en profite pour venir de nouveau glisser son sexe dans ma bouche, plus profondément, je n'ai plus aucune possibilité de gérer. T. de nouveau, prend son rôle de dominant très à coeur, me baise bien fort comme il se doit tout en continuant de me tirer les bras en arrière pour finalement me les bloquer carrément à quatre vingt dix degrés et les poignets joints. A chacun de ses assauts, je me sens remplie, j'entends et je sens ces couilles qui claquent contre ma chatte à présent dégoulinante, le bruit de succion que cela fait, je me fais baiser comme jamais et la queue de mon Maître vient s'enfoncer plus profondément dans ma bouche, envahisant maintenant ma gorge toute entière sans que je ne contrôle quoi que se soit. Alors que je ne m'y attends pas, mon Maître vient me pincer le nez pour m'empêcher de respirer. Je suis surprise mais pas spécialement appeurée, la privation de respiration est quelque chose dont nous avons déjà parlé et qui avait été envisagé. Après, comme c'est une première c'est sûrement difficile pour lui de savoir combien de temps il peut faire ça. Pourtant, Il assure, me bloquant suffisamment longtemps pour que je commence à me dire qu'il faudrait pas que ça dure beaucoup plus longtemps et faire naître cette petite frayeur en moi mais relâchant la pression à temps pour me laisser reprendre mon soufle. Timing parfait ! Il fait cela à plusieurs reprises mais moins longuement, c'est terrible !   Pour le coup, je me sens carrément bien soumise, peut-être est-ce même le moment où je me sens le plus sous emprise et soumise de toute la séance, je n'ai plus aucun contrôle, je m'abandonne totalement et je lâche prise comme jamais. Et puis malgré cette queue dans ma bouche je gémis beaucoup. T me baise bien fort et je sens que je vais jouir. Je sens aussi la queue de mon Maître bien gonflée dans ma bouche. Je sens que lui aussi est proche de la jouissance. T. ne ménage pas ses efforts. Moi je n'en peux plus. Mon Maître doit très bien le sentir puisqu'il me donne l'autorisation de jouir. Enfin ! Il ne faut donc pas longtemps avant que je jouisse et je sens T. se caler au fond de moi et partir, je me retrouve empalée sur la queue de mon maître qui ne se prive pas pour me maintenir la tête et me faire boire son foutre abondant ... Nous jouissons tous trois en même temps, et je dois bien avouer que j'adore ça ! Une sacrée salope je le reconnais pour le coup sans la moindre honte !    


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    offert en rose

    Je prends la main une fois pour appuyer ses dires de soumise !

    Je suis son Maître, elle est ma soumise, c'est acquis depuis peu et un délice de chaque instant !

    Elle est belle, divine même lorsqu'elle s'offre à moi, lorsqu'elle laisse ses fantasmes la guider, lorsqu'elle ose assumer ses désirs de dévotion !

    Il n'y a qu'à regarder cette photo, au-delà de son cul qui me fait tant bander on la voit soumise, bien cambrée, elle a appris et à présent elle sait y faire. Elle se sait désirable et désirée et apprend chaque jour un peu plus à en jouer, elle est loin la "petite fille"  des débuts, celle qui n'assumait absolument pas ses envies et qui se montrait timide dans ses gestes, elle est loin cette petite vierge effarouchée, elle a laissé la place à la chienne, à la perverse qui ose dire qu'elle aime la queue et qu'elle se sent peut-être plus elle-même lorsqu'elle lâche prise !

    J'ai fais d'elle ma soumise, dans le plus grand respect de ses envies et pour le plaisir de chacun, je ne l'avilies pas au-delà de ce qu'elle souhaite, mais elle souhaite beaucoup et j'aime terriblement ça !

    J'aime la voir me tendre son cul, l'entendre gémir sous mes assauts, j'aime la sentir au bord d'un gouffre aux plaisir, comme bercée par mes mots, malgré tout prête à se priver pour me plaire, pour que je la fasse mieux exploser ensuite !

    Elle m'est soumise et je lui suis dévoué, sisi, c'est notre concept de ces jeux sm quelque peu adaptés et on s'en délecte !

    Celui qui dirige son plaisir

     


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