Mon Maître m'a laissé "respirer un peu" mais n'a pas l'intention de s'arrêter là. Doucement il tire sur le plug toujours bien en place entre mes fesses, ça tire mais ce n'est pas désagréable car il se montre très doux. Et puis de nouveau je Le sens insérer quelque chose dans mon intimité. Je le reconnais tout de suite, il s'agit du gros god rouge. Ce n'est pas la première fois qu'Il l'utilise et il rentre assez facilement dans ma petite chatte maintenant, excitée et trempée comme je suis, même si je le sens bien passer. Il fait quelques va-et-vient avec et le ressort. Puis il le renfonce, cette fois moins doucement, il m'arrache un cri de plaisir et à nouveau je me retrouve à la limite de l'orgasme, il sait si bien m'amener à ce niveau de plaisir où les orgasmes s'enchainent, où je ne suis plus que cris et jouissance, je me sens pleine, ouverte comme jamais, il accélère, il me baiser de cette grosse tige rouge, de cet énorme sexe humm. Il me fait jouir encore et encore, jouant avec mon clito pour augmenter encore mes sensations, pour me rendre folle de plaisir et il y parvient merveilleusement, c'est extatique !  

Un instant encore il le retire, me laissant quelques secondes pour atterrir, puis je sens qu'Il le fait glisser vers mes fesses ... Non pas possible !!! 

Il m'a déjà dit qu'un jour ce gode finirait dans mon cul et je comprends maintenant pourquoi j'ai du porter plusieurs plugs de tailles différentes cette semaine et notamment le plus gros depuis le début de la séance. Comme dans beaucoup de choses, le psychologique joue beaucoup lors d'une séance D/s et j'essaie au maximum de ne pas paniquer. Il sait aussi comment me pousser là où je n'ai pas forcément envie d'aller, il sait me mettre en confiance, me tenter, me convaincre ou me forcer sans que ce soit un réel supplice, pour mon plaisir et pas seulement pour le sien ! 

Je suis sur le dos, jambes écartées à la merci de mon Maître. Il repasse doucement le god le long de mes fesses pour que je comprenne bien ce qui va se passer et me laisser le temps d'intégrer la chose. Je sens d'abord ses doigts s'insinuer en moi, deux je suppose, ils glissent sans problème tandis qu'il frotte le god sur mon clito. Et puis ses doigts laissent la place à l'engin démesurément long mais surtout large, je le sens commencer à forcer l'entrée.  Je sais que même le bout passé, le reste ne sera pas facile. Il est gros, très gros je trouve. Mon Maître le place bien à l'entrée et doucement mais sûrement commence à l'insérer. Il y va doucement, très doucement. Il me laisse le temps de gérer la douleur. Je sens qu'une petite partie du god est rentrée. La douleur est supportable mais elle reste plus forte que le plaisir à ce moment là. Mon Maître s'arrête. Il me dit que c'est à moi de gérer maintenant, à moi de venir m'empaler dessus. Je souffle pour me détendre un maximum mais j'hésite de peur d'avoir plus mal encore. Pourtant je sais que le fait de faire moi-même la démarche démontrera ma motivation à mon Maître et puis il m'offre quand même la chance de gérer moi-même. Alors doucement mais sûrement je m'empale sur ce god millimètre par millimètre. Je sens vraiment mon cul s'ouvrir au fur et à mesure mais j'y vais très doucement. Cela devient un réel mélange de plaisir, de douleur, de dévotion. Je ne sais pas combien de centimètres sont déjà en moi mais je n'en peux plus. Je sens que j'ai atteins mes capacités pour aujourd'hui.

Je ne peux pas m'empaler plus ! 

Mon Maître à l'air satisfait mais attend encore quelques instants avant de me le retirer aussi doucement qu'il l'a mis en place mais il ne semble pas décidé à s'arrêter tout de suite et malgré mon état de fatigue avancé il s'empare encore une fois de mon god/vibro pour jouer avec moi ! Il l'enfonce à nouveau dans ma chatte ruisselante et le met en route, il me prend doucement avec, s'attachant à bien emprisonner mon clito entre les deux petites pinces, il veut me voir jouir encore et ce n'est pas pour me déplaire après les sensations qui ont précédé, je m'abandonne encore une fois totalement sous ses mains, je le sens me caresser partout, m'embrasser, me branler, me remplir de ce joujou terriblement efficace, il ne tarde pas à me faire hurler de plaisir, je sens tout mon corps se contracter, il sait comment me prendre et me donner ce plaisir, il s'arrête et me laisse profiter, je l'imagine son regard posé sur moi, j'ai les yeux fermés, je ne suis que tension et plaisir, c'est terrible comme il me connaît et comme il sait m'emmener toujours plus loin ! C'est divin !

Doucement je sens le god sortir de moi, une dernière caresse de sa main parfois si ferme et là si douce et il annonce la fin de cette séance qui en quelque sorte dure depuis mes premières instructions a savoir samedi après-midi dernier ! Ouff. 

Je suis assez épuisée par cette séance. Je reste allongée sur le lit. Mon Maître vient me rejoindre. J'attrape le fouet et le fait courir longuement sur le corps de mon Maître pour le détendre, aucune violence dans ce geste, plus une caresse délicate. Et puis de mes mains maintenant je lui fais un bon massage. Nous restons comme ça quelques temps juste à profiter l'un de l'autre. 

Et puis malgré la séance j'ai encore envie de lui alors mes mains sont remplacées par des baisers que je dépose sur tout son corps. Il semble réceptif puisque je vois son sexe se dresser de nouveau. Je demande l'autorisation et viens m'empaler sur cette queue. Et de manière un peu différente cette fois nous jouissons tous les deux, en même temps, délicieusement. J'aime ces petits moments de fin de séance où, sans faire tomber vraiment les barrières nous profitons simplement l'un de l'autre.

Je suis toujours à quatre pattes sur le lit et forcément avec les mains dans le dos, penchée comme ça sur Sa queue, je vais m'empaler dessus sans aucune retenue. Je passe mes mains dans le dos, en me contractant un maximum pour éviter de m'empaler complètement sur son sexe. Je n'y arrive pas vraiment bien sûr et sa queue s'enfonce inexorablement dans ma gorge. Je sens Sa main sur ma tête. Il m'attrape les cheveux et me tire la tête en arrière. Puis me la renfonce sur son sexe. Je suis complètement offerte à Lui, il dispose de ma bouche comme il le désire, je ne peux que coopérer mais j'aime ça !

Je ne contrôle plus rien du tout. Il gère tout et j'adore. Ne plus rien gérer, ne plus rien contrôler. Le laisser faire. Sachant qu'il sait ce qu'Il fait. C'est dans ce genre de moment que, pour moi, je sens toute ma dévotion. Je dispose d'un "stop word" pour tout arrêter si besoin mais avec une queue en bouche pas évident de le prononcer. La confiance est totale et de toutes façons je n'ai pas du tout envie de le prononcer.

J'ai des haut-le-cœur lorsqu'il enfonce trop ma tête mais c'est un vrai délice et j'ai appris à gérer.  

Et puis Il tire fort sur mes cheveux et relève ma tête faisant sortir son sexe de ma bouche, j'en bave. 

Il me relâche et m'autorise à reprendre ma position, je repose mes mains sur le lit. Il me demande de me mettre sur le dos et de m'approcher du bord du lit mais je ne vois rien. Il me guide donc et m'aide à me positionner dans la position souhaitée.

Je me retrouve donc sur le dos, tête en dehors du lit. Je sais que c'est une très bonne position pour une gorge profonde je l'ai déjà pratiquée une fois avec mon Maître. Je ne m'inquiète donc pas.

Une fois en position mon Maître approche son sexe et commence à le rentrer dans ma bouche. Doucement, sûrement, inexorablement son sexe s'insinue dans ma bouche puis dans ma gorge. Il se retire et re-rentre. Il y prend plus de plaisir que la première fois je pense étant donné que ce n'est pas une nouveauté Il peut se permettre d'y aller plus fort, de se faire vraiment plaisir. 

Il me demande néanmoins si ça va et si j'aime me sentir ainsi dominée. Il retire sa queue pour me permettre de Lui répondre. Je lui réponds que oui ça va bien et que oui j'aime me sentir dominée comme ça. Je suis, moi aussi, plus à l'aise que la première fois et j'y prends plus de plaisir, autant physiquement que psychologiquement. Comme je le dis avant, j'aime ces moments de dévotion totale où seul mon Maître contrôle absolument tout. Il me connait bien et même si je ne peux prononcer le stop word je sais qu'il est à mon écoute. J'ai une confiance totale en lui comme en personne d'autre.

Il fait des réguliers jusque dans ma gorge, prenant tout son temps, venant véritablement m'enfoncer tout son sexe jusqu'aux couilles et puis je sens sa queue gonfler, il devient plus dur encore, je sens son plaisir venir mais Il se retire.

Il me demande d'ouvrir la bouche en grand et Il éjacule sur mon visage, sur ma bouche. Il sait que je n'aime pas vraiment cette pratique mais Il veut que je me sente dominée jusqu'au bout. je sens son foutre m'inonder le visage, je tends la langue et en récupère une partie, je le sens gicler jusque dans mes cheveux, je suis souillée, salie mais je n'ai aucune honte, j'adore cette sensation. Et c'est ce que je veux aussi alors avec ma langue je récupère ce que je peux de son jus de Maître et me délecte avec.

Il termine et me retire le bandeau, je suis éblouie par la lumière du jour, je sens que mon maquillage a coulé aussi.

Et je découvre que nous sommes finalement seuls dans la chambre. Le bruit que j'avais entendu n'était qu'un papier tombé à terre mais mon Maître a saisi l'occasion pour rajouter à cette séance un élément supplémentaire. Il aime jouer avec mes peurs, mes hésitations et l'occasion était trop belle.

Je suis là, allongée sur le dos et déjà fatiguée mais toujours bien excitée. Je profite de ces quelques secondes de repos.  Et puis je sens un objet longer ma fente. Je pense à ce gros gode rouge mais en fait il s'agit de mon god/vibro. Je m'en rends compte à l'insertion car il est quand même beaucoup moins gros. Mon maître me l'insère, place les petites pinces sur mon clito et le met en route. Ma réaction est immédiate ce qui est d'ailleurs toujours le cas lorsque l'on titille mon clito. Mon Maître joue avec les différents modes de vibrations et semble trouver celui qui Lui convient. De mon coté je n'en peux plus, j'attends la jouissance depuis le début de la semaine. Je demande l'autorisation.

Mon Maître me l'accorde sans me faire plus attendre, enfin ! J'exulte. Tout mon corps se détend alors l'espace d'un instant. Et puis n'étant plus privée de jouissance, je sens le plaisir monter en moi et je peux enfin le laisser prendre toute la place. Je ne le bloque pas. Je le sens monter en puissance, envahir tout mon corps et c'est tout mon corps qui se contracte au moment de cette explosion de plaisir tant attendue. Je jouis fort, longtemps, la frustration et l'attente décuple les sensations. Tout le plaisir refoulé depuis le début de la semaine se ressent maintenant, je peux le savourer pleinement. J'ai d'ailleurs du mal à redescendre....

Mon Maître retire le god et me laisse souffler quelques instant le temps que je reprenne mes esprits.

A suivre ...  

Mon Maître s'approche de moi mais ne dit rien.

 Il ne fait aucune inspection mais déjà, prend des photos. Je tourne toujours le dos à la porte. C'est alors que j'entends un léger bruit et me crispe légèrement. Assez tout de même pour que mon Maître le remarque. Il me demande ce qui se passe. Je demande si nous sommes seuls. Je sais qu'il est possible qu'une autre personne soit là. Nous avons plusieurs contacts avec mon Maître et je me dis que peut être l'un des ces contacts est là.

Mon Maître me demande ce qui me fait penser ça. Je lui dis que j'ai entendu un bruit. Cela le fait sourire enfin je l'imagine ainsi car dans ma position je ne peux pas le voir. Il attrape alors le masque noir et me le pose sur les yeux. La séance, ou du moins une partie, se déroulera donc dans le noir pour moi. Arriverais-je à oublier qu'il peut y avoir quelqu'un d'autre qui voit ou même qui participe ? Pourrais-je me détendre et offrir à mon Maître le retour qu'il attend de moi ?

 Je n'ai pas le temps d'y réfléchir très longtemps puisque mon Maître commence à me toucher, enfin est-ce vraiment lui ?

Je sens des mains sur mon corps, il me semble reconnaître les siennes mais je n'en suis pas complètement certaine, elles empoignent mes seins, dessinent mes courbes, se faisant assez douces, puis elles remontent ma jupe, découvrant mes fesses et ma chatte avant de venir m'inspecter, des doigts titillant mon clito, d'autres tirant sur la ficelle de mes boules, d'autres encore pénétrant furtivement en moi pour mieux en ressortir quelques instants plus tard, j'ai chaud, je suis dans un état d'excitation des plus avancé, cela m'excite terriblement !

Puis on me guide jusqu'au lit. Il m'ordonne de me mettre à quatre pattes sur le lit pour recevoir la punition que je mérite pour différents manquements commis lors de nos précédentes rencontres et qui m'ont menés à perdre le droit de porter mon collier.

Je m'installe. Il relève ma jupe et commence. De mon côté je commence à compter.

Zéro...

Je ne sais plus très bien dans quel ordre mais mon Maître enchaîne les claques avec soit sa main, soit un petit fouet soit des tiges de bambou. Ces dernières sont particulièrement douloureuses. Les coups s'enchaînent rapidement et fermement, mon Maître me fait bien payer mes erreurs, je crois n'avoir jamais été aussi vigoureusement corrigée et la position à quatre pattes, la peau des fesses bien tendue n'arrange rien, je dérouille littéralement !

10 ... 20 ... il accélère le rythme et appuie de plus en plus fort ses claques, les coups de baguette de bambou se font particulièrement cinglants, je sens mes fesses qui chauffent et les larmes me monter aux yeux et ... nous arrivons  à 30 !

Je commence à avoir vraiment mal. Autant j'ai toujours aimé les fessées, autant là je comprends bien que c'est une punition et qu'elle a été méritée, je ne suis pas fière ! Je sens la chaleur sur mes fesses et je me dis qu'elles doivent être bien rouges. J'ai du mal à compter car certaines claques me coupent le souffle tellement elles sont fortes et ma voix se brise lorsque je compte. Et puis il y a cette douleur physique, supportable malgré tout, mais très vive, et puis aussi l'attente.

C'est parfois le plus dur ne pas savoir quand la prochaine claque va tomber. Le rythme n'est pas régulier, il est soutenu mais je ne sais jamais quand ça va tomber. Mon Maître balade parfois le fouet sur mes fesses avant de m'en asséner un bon coup. Je ne sais jamais quand je vais recevoir la prochaine, l'attente ajoute encore plus à la sensation.

Du coup au bout déjà d'une trentaine de claque j'ai tendance, parfois, à relâcher ma concentration.

Mon Maître me rappelle à l'ordre, il ne lâche rien :

- Cambres toi bien, offre moi bien ton cul petite pute désobéissante ! 

Je m'exécute immédiatement, forçant ma cambrure, repensant soudain que peut-être quelqu'un est là à nous observer, à mater mon cul bien tendu et rouge offert à mon Maître. Je sais que les coups ne sont portés que par mon Maître. Je sentirais la différence sinon.

Mon Maître se rend bien compte que je commence à avoir du mal à supporter cette fessée je le sais mais Il continue à me claquer et, moi, je continue de compter. Jamais je n'ai reçu une telle correction jusqu'à ce jour.

Les claques sont maintenant vraiment très appuyées et mon Maître les enchaines rapidement. C'est tout juste si j'arrive à suivre le rythme pour compter. seulement une dizaine de claques supplémentaires mais je les aies toutes senties passer. Ouff ! Et puis j'annonce 40 et les claques s'arrêtent, je suis en sueur, haletante, je ne bouge pas car ce n'est peut-être pas fini.

Mon Maître annonce la fin de la fessée mais m'ordonne de ne pas bouger. Je souffle un grand coup ! Puis il m’intime de m’installer à genoux au bord du lit, les fesses posées sur mes talons et d’attendre à nouveau. 

Je m’exécute, je le sens tourner encore autour de moi, m’effleurer, puis un nouvel ordre fuse accompagné cette fois d’un contact. Il me saisit par la taille et m’invite à me redresser, à me remettre debout avant de me faire me pencher en avant. Il est doux et directif en même temps, tout ce que j’aime, je sens ses mains sur mon corps et je le désire plus que jamais. Il me fait poser les mains sur le lit et rester penchée, mon dos doit rester plat, il mêle le geste à la parole pour que je prenne la position qu’il désire, me forçant à écarter plus les jambes, offrant ma chatte ruisselante à son regard que j’espère rempli d’envie.

Je sens mon Maître passer un objet le long de mes fesses. Il me dit qu'il compte y faire rentrer le plus gros des 3 plugs en sa possession. Pour faciliter l'insertion Il met du lubrifiant. Malgré tout l'insertion est difficile mais mon Maître continue. Cela fait longtemps qu'il me parle d'une séance où il s'occupera de bien m'ouvrir mon petit cul. Je crois que c'est celle là.  Le plug fini par rentrer, il ne reste plus qu'à faire passer la base plus large pour qu'il ne ressorte plus. J'essaie de me détendre au maximum mais c'est difficile. Dans un dernier geste mon Maître fait passer la base. Je laisse échapper un cri. Je sais que je vais finir par me détendre et accepter ce plug mais là c'est douloureux quoique toujours supportable.

Mon Maître m'ordonne de rester comme ça, de ne pas bouger. Je l'entends bouger dans la chambre. Je le sens monter sur le lit. Je pense savoir comment il s'installe. Assis une jambe de chaque coté de moi avec sa queue sûrement bien dressée. L'idée même m'excite déjà et pas qu'un peu, après cette punition la suite s'annonce beaucoup plus plaisante. Et c'est bien ça. Puisque j'ai toujours le bandeau, Sa main me guide jusqu'à son sexe tendu que je prends en bouche.

Je le lèche, le suce et l'avale le plus possible. Je m'applique parce que je sais qu'Il aime et parce que moi aussi j'aime ça. Il me laisse faire un moment, je fais du mieux que je peux, j'applique tout ce qu'il m'a appris et tente de le prendre le plus profondément possible en bouche. Et puis j'entends :

 - Mains dans le dos

A suivre ...

Bien décidé à ne me laisser aucun répit, Maître R indique à Maître K qu'il pourra trouver un plug dans la portière arrière de la voiture, celui-ci plonge sa main et en en ressort en effet un plug. Maître R propose à Maître K de me plugguer lui-même et de la manière qu'il souhaite !

C'est donc Maître K qui va m'insérer le plug. Il est de taille moyenne mais comme je ne suis pas vraiment à l'aise, dans cette voiture, au milieu d'un parking où il y a des allées et venues, je suis assez serrée, je le sens. Maître K me demande de me mettre à quatre pattes sur la banquette arrière comme une bonne petite chienne. Je m'exécute et Lui présente mes fesses. Il confirme que je suis peu ouverte et que l'insertion du plug risque d'être difficile. Il regarde Maître R, Maitre R Lui dit :  

- Bah on force !  

K Lui répond que c'est à lui de décider, que c'est le cul de sa soumise. Je les entends parler et je sens que je risque de bien sentir passer le plug. J'ose proposer le lubrifiant que j'ai toujours avec moi lors des séances. Maître R l'accepte. Ouf !!  

Du coup, le plug rentre sans trop de douleur. Maître K joue un peu avec et me demande de me rasseoir, pendant ce temps Maître R sort de la voiture et la contourne pour immotaliser la scène avec son téléphone portable comme appareil photo, il ne manque jamais une occasion de graver ces instants où je suis sa soumise. Bien sûr j'ai toujours le plug. Maître R remonte en voiture et nous redémarrons la voiture et quittons le parking.

Maître K vient de nouveau jouer avec mon intimité. Avec en plus le plug que j'ai dans mon petit trou, je me retrouve de nouveau dans un état d'excitation des plus élevé. Maître K me demande à combien j'en suis. Dans un souffle je lui réponds :

- A 11 !

Je pense qu'il va s'arrêter mais il redouble d'intensité et me branle frénétiquement. Il me branle et je me tortille, je n'en peux plus. Je pense qu'il veut me faire jouir exprès pour que je sois punie ensuite par Maître R. Maitre K me regarde, annonce lui-même 11,5. Il sait que je suis à la limite et ... Il s'arrête. Je souffle un grand coup !

Nous déposons Maître K a une station de RER toute proche et je passe non sans mal à l'avant de la voiture avec mon plug qui ne demande qu'à se sauver bien enfoncé dans mon cul. Direction l'hôtel.

A peine arrivés dans la chambre, mon Maître m'ordonne de me déshabiller mais de garder mes bas, mes chaussures et mon soutien-gorges. Je m'exécute. Il m'ordonne ensuite de me mettre par terre à quatre pattes. Une fois en place, Il vient jouer de nouveau avec le plug. Et puis sans aucune douceur Il le retire et vient y mettre sa queue. Je pense que la petite séance en voiture avec Maître K l'a terriblement excité parce que nous ne commençons jamais nos séances comme cela.

Il enfonce sa queue directement au fond de moi. Sachant que j'avais été préparée par le plug je ne ressens aucune douleur, juste du plaisir. Il m'annonce qu'il va jouir mais se retire.

Et puis j'entends son râle de plaisir avant de sentir son sperme chaud atterrir sur ma croupe et couler sur mes fesses. C'est la première fois qu'Il vient de m'asperger ainsi

de son jus de Maître et j'adore ça. Et puis il s'empare d'un autre plug, plus gros cette fois, nous en avons trois et c'est le plus imposant des trois qu'il saisit. Je le sens le presser contre mon étoile, forcer, et pénétrer en moi ! Il est gros et je le sens bien passer, c'est à nouveau un peu douloureux mais il prend le temps sans pour autant véritablement me ménager, il est le Maître et c'est lui qui décide de la manière de faire ! Il le place bien au fond de mon cul, je gémis alors qu'il le cale au mieux, celui-ci devrait bien tenir en place ...

Il prend le temps de m'essuyer avec beaucoup de douceur et  m'annonce qu'Il va sortir pour aller rechercher l'appareil photo qu'Il a oublié dans la voiture. Pendant ce temps là, je dois mettre ma tenue pour la séance, me tourner face à la fenêtre, donc dos à la porte et attendre jambes écartées comme toute soumise qui se respecte. J'ai exceptionnellement le droit de porter mon collier que je ne mérite plus, il m'offre cette chance de lui prouver que je peux être cette soumise parfaitement dévouée et donc de retrouver le droit de le porter à nouveau, j'ai beaucoup de chance !

Mon Maître sort, je me dépêche de récupérer mes vêtements et m'habille rapidement. Je m'installe face à la fenêtre, rideaux ouverts, tout ce que je déteste, et j'attends. Je suis simplement bien contente que la chambre donne sur le parking de l'hôtel et après sur un terrain vague plutôt que sur une rue fréquentée par des d'éventuels passant.

Je porte une jupe marron en cuir très courte. Elle dissimule tout juste le haut de mes bas. Et j'ai un haut sans manche transparent. J'ai l'impression d'attendre assez longemps mais c'est toujours comme ça l'attente.

Et puis j'entends la porte qui s'ouvre, je ne me retourne pas, et la porte se referme ...

A suivre ...