•  Séance marathon

      

    Une séance est enfin prévue avec mon Maître. Cela faisait longtemps et ça me manquait. Séance assez particulière puisqu'elle devrait, je l'espère, me permettre de récupérer mon collier. Mon Maître m'a prévenue, la séance aura lieu le jeudi après-midi mais je serai sollicitée dès le lundi.
    Et effectivement je reçois mes premières instructions le samedi soir. Pas de sous-vêtement en bas jusqu'à la séance ; un touchage dimanche, deux lundi, etc … jusqu'à La séance ; interdiction de plaisir et de jouissance quel qu'il soit ; des comptes rendus réguliers à mon Maître et le port des boules au minimum 1h30 par jour.
     

     

    Le mardi arrive et mon Maître m'informe qu'Il viendra déjeuner avec moi le lendemain midi. Je reçois donc des consignes complémentaires. Je dois obligatoirement porter une jupe avec des bas et avoir mes boules pour le rendez-vous.

    Plus la semaine avance et plus je suis pressée que cette séance aie lieu. Mais dans le même temps, je suis assez angoissée. Mon Maître attend beaucoup de moi, je dois faire preuve d'une dévotion sans faille si je veux récupérer mon collier. Je suis prête à cela et je le désire énormément mais malgré tout j'angoisse, ça me met une pression terrible.
    Le mercredi midi arrive, nous nous retrouvons devant le restaurant. Nous rentrons et nous asseyons. Mon Maître me fait remarquer qu'une bonne soumise doit avoir son petit cul posé à même la chaise. Je prends mon courage à deux mains, cela me demande tout de même quelque secondes qui s'éternisent. Maître R me fait remarquer qu'Il attend. Je me relève donc un peu et m'installe sur la chaise comme demandé, les fesses directement au contact de la chaise. Heureusement je porte une jupe assez ample et je peux ainsi m'installer sans que rien ne soit remarqué par les autres clients. J'essaie tout du moins de m'en convaincre.

    Nous partageons ce repas en parlant un peu de tout de rien, mon Maître s'amuse avec moi et avec mon angoisse comme il sait si bien faire, me confirmant qu'il attend beaucoup de moi et me précisant que cette semaine sera très chargée et dense pour la soumise que je suis, et puis la fin du repas arrive. Mon Maître me dit que je vais devoir me rendre aux toilettes. Je me lève. Il me fait signe de m'approcher de Lui. Je m'approche, me penche et Il me dit à l'oreille :

     

    - Monte aux toilettes, installe toi sur la cuvette, jupe remontée, jambes écartées, porte ouverte et attends moi !

     

    Séance marathon

      

    Je me redresse, Le regarde un instant et me dirige vers les toilettes. Une fois en haut des escaliers, je ne peux m'empêcher de m'arrêter et de guetter mon Maître. J'ai trop peur de m'installer et que quelqu'un d'autre arrive entre temps. J'aperçois mon Maître qui monte à son tour et me précipite dans les toilettes pour m'installer. Quelques secondes plus tard Il rentre et ferme la porte derrière Lui. Je suis là assise, jambes écartées, offerte. Il dirige sa main vers mon intimité et m'assène 2/3 claques sur ma petite chatte déjà toute ouverte. J'adore cela et Il le sait. Et moi je sais que j'ai toujours l'interdiction de jouir.

    Il déboutonne ensuite son pantalon et me présente sa queue déjà toute raide. Je la prends en bouche et m'applique à la flatter comme Il aime. Il n'y a qu'un seul toilette homme mais malgré tout j'ai envie de prendre mon temps. Je pense avoir beaucoup progressé depuis mes débuts, ne me laissant plus déborder par l'angoisse d'être surprise, je savoure les petits plaisirs qu'Il m'offre ! Mon Maître semble très excité, Il retire son sexe de ma bouche, me fait me lever d'une manière assez directive, me retourne et vient s'enfoncer un moi d'un coup d'un seul. Je sens sa queue me pénétrer jusqu’à la garde et je ne peux retenir un petit gémissement. Je porte toujours mes boules et la sensation ne se fait pas attendre. Une sensation de plaisir et de bien être mais j'espère que ça ne va pas durer trop longtemps parce que je risque d'avoir du mal à me retenir. Mon Maître me connait bien et ne tarde pas à se retirer. Je me retourne, me rassois et reprends sa queue en bouche. Il ne tarde pas à éjaculer. Je me délecte de ce dessert improvisé et me relève. Mon Maître m'annonce que je peux retirer mes boules. Je m'étonne un peu mais je le vois sortir de son sac un petit plug noir. Il m'explique qu'une fois revenue à mon travail je devrai le mettre et faire le trajet du retour jusqu'à chez moi ce soir avec.

    Nous sortons des toilettes. Il n'y a personne qui attend. Je suis soulagée mais aussi bizarrement un peu déçue. J'aurais aimé qu'un homme attende et nous voit sortir tous les deux des toilettes. Il aurait alors pu imaginé ce qui venait de se passer.

    Je retourne à mon travail et m'exécute. C'est la première fois que je dois porter un plug et il ne reste pas du tout en place. Je fais part des mes difficultés par mail à mon Maître et demande la possibilité d'enlever mes bas et de mettre un collant qui fera que je ne perdrais pas mon plug dans les transports en commun sur le retour.

    Mon Maître l'accorde. Heureusement car je ne sais pas comment j'aurais fait.

    Dans ce même après-midi, mon Maître m'envoie un mail un peu particulier ...

     

    Séance marathon

      

    Depuis quelque temps, mon Maître est en contact avec un autre Maître, Maître K. C'est un Maître avec qui j'ai moi-même eu l'occasion d'échanger un peu et que j'ai déjà pu voir un matin lors d'une rencontre juste visuelle. Mon Maître m'informe donc qu'une rencontre est organisée avec Maître K pour jeudi matin. Maître K prend, le temps d'une station, le même transport en commun que moi et pendant ce temps je devrai être sa soumise. Je dois recevoir rapidement des instructions de Maître K. Nous avions déjà parlé mon Maître et moi du "prêt" de la soumise. Je ne m'y étais pas opposée. Le moment semble donc arrivé. J'ai confiance en mon Maître et si il a décidé de me prêter à Maître K c'est qu'il lui fait confiance mais je ne peux m'empêcher d'angoisser de nouveau, je constate que Maître R ne m'a pas menti en me disant que cette semaine serait chargée pour moi ... 

    Vais-je être à la hauteur ? D'autant que mon Maître me demande d'être une bonne soumise, une bonne chienne dont Il pourra être fière. Je continue la lecture du mail de mon Maître. Il est écrit que je devrai donc jeudi matin porter le plug tout en sachant que je n'ai pas le droit de porter de dessous. Et là c'est la panique complète. J'envoie un mail à mon Maître en le suppliant de ne pas me faire porter le plug jeudi matin. C'est la première fois que je supplie, je n'aime pas ça mais là je sais que je ne pourrais pas.

    Entre temps je reçois les instructions de Maître K. Pour jeudi matin, je devrai porter une jupe courte ni trop serrée ni trop large avec des bas. Un haut décolleté et transparent sous lequel, si je le souhaite, je pourrai porter un haut à bretelles non transparent. Oui quand même, je vais travailler et je ne peux pas me présenter au travail avec un haut complètement transparent. Et surtout je dois porter des chaussures à haut talons.

    Je devrai descendre à une certaine station, m'approcher de Maitre K et lui dire une phrase qu'il a choisit. A partir de là je serai à Lui. Il me demande mon numéro de téléphone portable afin d'être sûr que nous soyons bien en contact le jour J.

    Quelques minutes plus tard, je reçois un mail de mon Maître qui accepte ma supplication. Je ne porterai donc pas un plug pour la rencontre avec Maître K. Par contre, je devrai avoir mes boules. Ouff !

    Le jeudi matin arrive. Bizarrement je ne me sens pas complètement angoissée ou stressée mais je me sens plutôt prête. Obéir à un autre parce que mon Maître le veut me semble à ce jour la plus belle preuve de dévotion. Je veux qu'Il soit fier de moi et je me sens prête à tout faire pour ne surtout pas le décevoir. Je porte une jupe noire qui m'arrive 5 cm au-dessus du genou environ, des bas noirs, un haut sans manches bleu électrique avec un petit gilet transparent par dessus. Comme chaussures, j'ai des boots couleur bleue jean avec des talons de 10 cm fins et pointus. Je monte dans mon train. Je reçois un sms de Maître K pour savoir si je suis bien en route. Je Lui confirme que oui. Arrivée à la gare prévue, je descends du train. Je le vois, m'approche de Lui, me penche vers son oreille et Lui dit la phrase convenue :

     

     - Je suis une petite pute, je suis votre pute pour le temps que nous passerons ensemble !

      

    A suivre ...

      


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  • Un samedi soir pas comme les autres (fin)

      

    Malgré cela Vous dirigez Votre sexe et forcez l'entrée de mes fesses. Je ne ressens en premier lieu que de la douleur, je me sens m’ouvrir mais en force.

     

    Je Vous demande d’y aller doucement mais je ne peux m'empêcher de me contracter encore plus à cause de la douleur. Mauvaise idée puisque Vous n'avez pas l'air décidé à Vous arrêter et doucement mais sûrement Vous continuez à forcer mon petit cul. Je sens Votre queue me pénétrer centimètre par centimètre, inéluctablement, et je commence à me détendre, de toutes façons je n’ai pas le choix, je vais me faire enculer comme une petite chienne que je suis ! Dans le même temps Vous passez une main sur mon bas ventre et venez titiller mon clito. Je sers les dents pour ne pas crier, je pourrais jouir quasi instantanément mais je sais que je n’en ai pas le droit.

    Et alors que je ne m'y attends pas Vous Vous retirez !

     

    "Mets toi à quatre pattes petite chienne !"

     

    Quoi ? A quatre pattes dans ce parking sale ? J'essaie de ne pas écouter mon esprit qui se pose ses questions mais je ne me résous pas à m’exécuter comme Vous l’attendez. Très vite Vous prenez les choses en main et, d’une pression appuyée sur mon dos, me forcez à me baisser et à poser mes mains par terre. Mes genoux fléchissent tout seuls, pourtant j'hésite à mes mettre mes genoux au sol mais là encore Vous ne me laissez aucun autre choix, je sais déjà que je vais finir à quatre pattes par terre à me faire prendre comme jamais ! Vous en profitez pour revenir en moi. Je sais que Vous croyez être dans mon cul mais Vous n’y êtes pas et pour l'instant je ne dis rien, trop contente de pouvoir souffler un instant et malgré tout terriblement excitée de Vous sentir à nouveau dans ma chatte ruisselante. Je rechigne un peu à me mettre à genoux et Vous devez le sentir, alors délicatement mais fermement, en tout cas c'est ce que j'ai ressenti Vous m'appuyez encore sur le dos.

      

    Un samedi soir pas comme les autres (fin)

      

    J'abdique et pose mes genoux à terre. Je suis à Vous à présent, complètement et si c'est là que Vous souhaitez me voir à ce moment là, c'est là que je serai. Une fois à quatre pattes par terre, et alors que vos coups de reins ne faiblissent pas Vous me demandez si j’aime sentir Votre queue au fond de mon cul, et c'est là que je Vous dis que Vous n'êtes pas dans mon cul.

    Du coup, je ne sais pas trop ce que Vous faites parce que je Vous tourne le dos mais j'ai l'impression que Vous m'écartez un peu les jambes avec les Vôtres, je me sens complètement à Votre merci, Vous cherchez la position "idéale". Par la suite je verrai que Vous avez retiré complètement Votre short et une chaussure pour mieux pouvoir me prendre. Si quelqu'un était arrivé ça n’aurait pas été évident de Vous rhabiller rapidement mais ça ne semble pas du tout vous gêner, je dirais même que je suis convaincue que la question ne Vous a pas un instant traversé l’esprit.

    A nouveau je sens Votre sexe effleurer mes fesses. Je sais que Vous allez rentrer et je ne sais pas si c'est le fait d'avoir déjà complètement lâché prise mais je suis toute décontractée et cette fois Vous me prenez beaucoup plus facilement. Je ne ressens quasiment pas de douleur ou en tout cas je ne m'en rappelle pas, que du plaisir et pourtant c’est d’un seul coup de rein que Vous venez au fond de mon cul. Je ne peux retenir un petit cri de surprise autant que de plaisir !

    Je Vous sens bien aller et venir en moi et certainement plus que fois précédentes où Vous m’avez sodomisée. Je sens Vos boules frapper ma petite chatte à chaque coup de rein, un pur délice. Je me sens chienne, dominée, prise de force et j’adore cette sensation ! J'adore sentir Vos couilles qui claquent ma chatte, je me sens couler tellement c’est bon. Alors, comme pour remonter encore le truc d’un cran Vous m'attrapez par les cheveux, me tirez la tête en arrière et venez Vous enfoncer encore plus profondément entre mes fesses. On aurait pas été dans un parking avec ce risque évident de croiser quelqu’un, je pense que la soumise Vous aurait même provoqué un peu pour que Vous me défonciez carrément quitte à me faire mal (oui je sais je suis barge !!)

     

    Un samedi soir pas comme les autres (fin)

      

    Vous me demandez si j'aime et je Vous réponds franchement que oui j'adore que Vous me défonciez le cul comme une chienne, que j’aime sentir Votre bite en moi humm !

     

    Du coup, dans un coup de rein plus violent encore, Vous venez Vous enfoncer plus profondément encore, je pense que j'ai laissé échapper un cri, de surprise, de plaisir. Je Vous sens totalement en moi, je sens tout Votre sexe dans mon cul c’est terriblement bon, j’ai envie de hurler mais je me retiens et me contente de gémir comme une petite chienne que je suis !

     

    Et puis Vous Vous retirez, sur le coup je ne comprends pas pourquoi  et Vous me  dites que Vous allez finir dans ma bouche. Je me redresse, vois Votre sexe et mon esprit fourmille à nouveau de contradictions. Je repense au blog d’une soumise que je suis, j'avais déjà lu cette pratique, j'avais d'ailleurs trouvé ça un peu "spécial" et puis nous n'en avons jamais parlé je crois alors je suis super étonnée et puis j'entends un :

     

    "Vite !" 

     

    Et sans plus réfléchir, j’obéis, je m'approche, pose mes lèvres puis ma bouche sur Votre queue bien raide. Il était temps, à peine mes lèvres sur Votre queue je reçois Votre jus et là je n'ai plus aucun doute ... Je n'aurais raté ça pour rien au monde, je me délecte donc de ce moment et prends le plus que je peux, savourant Votre nectar et n’en perdant pas une goutte. Puis, une fois que je Vous ai bien soulagé je me retire.

     

    Un samedi soir pas comme les autres (fin)

      

    Je me relève, Vous me félicitez je crois, mes souvenirs sont troubles, je me souviens surtout de l’intensité de cet instant, de m’être sentie plus soumise que jamais mais comme certaines choses très puissantes ça reste un peu flou. Vous m’offrez un baiser des plus sensuel et remontez dans Votre voiture, pas un mot de plus, pas besoin de mots ! 

    Je rejoins mon immeuble, ouvre la porte et m’engouffre dans l’ascenseur, je me regarde dans le miroir, j'ai les genoux sales.Ca me fait sourire et je repense à ce qui vient de se passer, … Surréaliste ! Est-ce bien moi qui vient de faire tout ça ? Et oui, je me sens chienne, humiliée, baisée, enculée, salie mais comblée, j’adore cette sensation. Je nettoie mes genoux au mieux, je suis encore comme sur un nuage. Les portes s'ouvrent, je suis chez moi ! 


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  •  Un samedi soir pas comme les autres

    Nous sommes samedi soir, n’y ayant rien à voir à la télé je me dis que je vais aller consulter mes mails. Je sais que Vous êtes seul chez vous ce WE mais je ne pensais pas Vous trouver connecté. Quel plaisir donc lorsque je me connecte de voir que Vous êtes là, bien présent.   

    Nous discutons un peu et bien vite Votre esprit qui fonctionne à 100 à l'heure me propose une rencontre un peu spéciale, Vous faites tout pour me tenter et ça fonctionne, je sens déjà cette boule qui grossit dans mon ventre.

    Vous me proposez de Vous rejoindre dans un parking non loin de chez moi pour un moment volé que Vous me promettez des plus chaud.

    Dès que Vous avez émis cette idée mon désir et mon envie avaient déjà dit oui mais mon esprit ne trouvait pas ça très bien justement vis à vis de mon mari absent pour la soirée. Vous insistez parce que Vous savez très bien que mon désir de retrouver mon Maître est certainement plus fort que mes petits états d'âme et Vous avez raison. Le rendez-vous est donc pris et Vous prenez la route pour me rejoindre.

     Je suis déjà en tenue pour aller au lit, j’ai accepté la proposition et mon cœur bat déjà bien vite, je suis un peu angoissée, inquiète, je suis encore à me dire que je vais  Vous envoyer un texto pour Vous dire de repartir mais au bout du compte non, je crève d’envie de Vous voir là maintenant. Je passe un bon quart d’heure à tourner en rond sans trop savoir quoi faire.

    Je reçois un texto sur mon téléphone, comme convenu Vous me prévenez de Votre arrivée.

    Je pends ma veste 3/4, je la mets par dessus ma petite chemise de nuit. J'aurais bien mis des chaussures à talons mais ça aurait fait bizarre. Les questions se bousculent dans ma tête, je suis partagée entre angoisse et excitation.

    Je prends mes clés et je sors le plus discrètement possible mais j'ai l'impression de faire énormément de bruit, je ne veux surtout pas que mes voisins m’entendent. Je prends l'ascenseur, j'avais pensé enlever ma culotte dans l'ascenseur mais je suis un peu stressée et j'oublie. Je sors dans la rue, heureusement je ne croise personne, j'arrive dans le parking sous-terrain que Vous m’avez indiqué et je m’y engouffre. Je fais quelques pas en tendant l’oreille, je ne Vous vois pas, quelques autres encore et j’entends une portière claquer, Vous sortez de Votre voiture, je ne bouge pas parce que j'ai envie que Mon Maître puisse me voir, m’observer. A part les chaussures, je me sens sexy et j'ai envie de Vous le montrer, j'ai envie de Vous donner encore plus envie.

    Vous venez tout de suite m'embrasser et m'enlacer. Je Vous dis que je n'ai pas beaucoup de temps mon mari peut rentrer d’un moment à l’autre, on ne sait jamais, je suis un peu paniquée mais tout aussi excitée par Votre présence. 

    Vous me demandez ce que je porte sous ma veste. Je défais ma ceinture, mes boutons en prenant mon temps et j'ouvre ma veste pour Vous laisser découvrir ma petite robe chemise de nuit toute légère qui ne couvre pas grand chose de mon corps en définitive.

    Je Vous sens emballé, Vous venez de suite Vous coller à moi et passer une main sous ma chemise de nuit. Je sens cette main qui me fait tant d’effet remonter le long de ma cuisse et passer délicatement sur la culotte que je porte. Puis Vous arrêtez et Vous reculez.

    Un samedi soir pas comme les autres

    Vous déboutonnez votre short et sortez Votre sexe déjà tout raide. Sans même réfléchir je m'approche et prend Votre queue en main. Elle me fait trop envie mais bizarrement je n'ai pas spécialement envie de venir Vous sucer c'est pour ça que c'est ma main qui est venue directement pour Vous branler un peu. Evidemment si Vous me demandiez de Vous satisfaire de ma bouche je m’exécuterais mais ça ne semble nullement Vous gêner que je m’y prenne de cette manière.

    Vous me demandez si je veux la sentir en moi. Bah oui bien sûr que je veux la sentir en moi et ce même si mon esprit paniqué me dit  "peut-être pas non !"

    Vous saisissez ma main, vous approchez plus encore de moi jusqu’à me toucher et d’une main ferme et décidée, Vous me retournez et me collez contre une voiture. Sans un mot Vous baissez ma culotte et d’un seul coup de rein vous venez directement Vous enfoncer en moi. J'adore tout comme j'adore sentir Votre main passer le long de mon corps pour remonter jusqu'à mon sein. Ce sein que vous attrapez fermement avant de pincer mon téton. Vous savez comme j’aime ça et c'est pour ça que je Vous traite de salopard. Parce que Vous me connaissez si bien, parce que Vous savez ce que j'aime et parce que Vous me faites oublier mes états d'âme. Je sais que ça ne peut que vous encourager à prendre plus encore le pouvoir sur moi, à me soumettre à Votre volonté humm. Votre queue ne cesse de s'enfoncer en moi et je la sens grossir encore alors que Vous pincez mon téton bien fort. Je retiens mes gémissements, je ne veux pas que l'on nous remarque. Et j'ai bien du mal à ne pas faire de bruit, d'autant qu'avec Votre autre main Vous venez de glisser un doigt dans mon petit trou. La scène est terrible, je sens la température monter, la fermeté de mon Maître s’affirmer, je mouille comme une folle, j’aime sentir Votre emprise sur la petite chienne que je suis et chienne je me sens complètement, en chaleur !

    Un samedi soir pas comme les autres

    Je suis déjà à la limite de la jouissance, excitée par cette situation, excitée de me sentir si soumise et je me contrôle difficilement. Je comprends que Vous allez vouloir me sodomiser et ça me crispe un peu même si je sais que Vous obtiendriez tout ce que Vous pourriez vouloir de moi dans cette situation.

    Et puis Votre queue quitte mon intimité pour venir se poser à l'entrée de mes fesses. Je ne peux retenir un "Non !" mais déjà je sens Votre gland qui force l’entrée de mon anus.

    Je ne veux pas déjà parce que je sais que je ne suis pas assez préparée et que je vais avoir mal et d'autre part parce que je ne suis pas sûre de pouvoir contrôler les bruits que je vais faire lorsque vous me sodomiserez.


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  • Petite chienne enchainée

    En attendant la suite de mes aventures à venir très prochainement, voici une petite illustration de la manière dont mon Maître aime me voir, soumise, dévouée, offerte à souhait ! J'espère que cela vous plaira autant qu'à lui ...

    N'hésitez pas à laisser des coms ! Plus il y en aura plus ça me donnera envie de vous en montrer plus encore ...

     


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  •  MES PREMIERS PAS EN EXTERIEUR

    Mon Maître et moi ne nous sommes pas vus depuis depuis quelque temps déjà. D'une part parce que mon Maître n'était pas là et puis parce que j'ai mal agis ces derniers temps.
     
    J'ai laissé mes peurs du début revenir et prendre le dessus. Du coup avant son départ mon Maître m'a envoyé un mail m'expliquant qu'Il était très déçu et qu'Il me retirait mon collier. Tout au moins le temps de son absence et afin que je réflechisse à ce que je souhaitais vraiment et si j'étais toujours décidée à être Sienne. Je vais donc devoir refaire mes preuves, je redescends au stade de petite chienne, tout ce travail pour rien, mais je l'ai mérité et je le sais. Je devais donc lui adresser un mail pour lui expliquer que je suis toujours motivée. J'ai envoyé un premier mail que je trouvais bien mais qui n'était pas mon meilleur. Mon Maître y a répondu en me disant que c'était déjà un bon début mais que je devais faire mieux pour le convaincre de ma volonté.
    Et puis un déclic s'est produit en moi comme cela se produit régulièrement et j'ai envoyé un autre mail beaucoup mieux, beaucoup plus prometteur. Il était temps puisque mon Maître était de retour et qu'il attendait ce mail avec impatience. Mon Maître a eu l'air très satisfait de ce nouveau mail. J'ai reçu un bon retour. Mon Maître m'explique aussi qu'il sera plus présent, que j'aurai peu de répit et qu'il ne tardera pas à vérifier ma motivation. Et que seule une dévotion sans faille me permettra de récuperer mon collier et donc mon statut de soumise. Effectivement cela n'a pas tarder. Le jour même je reçois des instructions. Je suis au travail mais je dois me rendre aux toilettes, je suis en pantalon, je dois retirer mon string, effectuer un touchage de 3 minutes sans jouissance et mettre mes boules de geisha que je devrai garder jusqu'à mon retour chez moi. Je m'exécute, retourne à mon poste de travail et envoies un mail à mon Maître pour lui dire que c'est fait et lui indiquer mon niveau d'excitation.   Il m'informe en retour qu'Il va venir me chercher à mon travail pour vérifier mes dires. Cela ne m'angoisse pas vraiment parce que je pense ce que je Lui ai écrit. Malgré tout même avec la plus grande volonté il n'est pas toujours possible de vaincre ses peurs.   L'heure est arrivée. Je Le rejoins dans sa voiture et le gratifie d'un   "Bonjour Monsieur". N'ayant plus mon collier je ne peux me permettre de l'appeler Maître   Nous parlons un peu de nous, de nos échanges par mail lors de son absence. Une fois bien engagés sur l'autoroute, il me demande de retirer mon jean. Je m'éxécute rapidement pourtant c'est une chose qui me gêne beaucoup. J'ai toujours peur d'être vue par les autres voitures ou les camions. Il me demande de remettre mes chaussures. Je me permets de dire que ce n'est pas vraiement nécessaire mais Il me répond qu'il adore me voir avec mes chaussures à talons. Je remets donc mes chaussures et reprends ma position de soumise c'est à dire les jambes écartées. Mon Maître me demande mon niveau d'excitation sur une échelle de 1 à 12. Je lui réponds que je suis à 9. Il vient donc passer sa main sur mon clito et me connaissant très bien Il me branle. J'ai du mal à retenir mes gémissements. Il me demande où en est mon niveau. Je Lui répond à 11 et Il me rappele que je n'ai pas l'autorisation de jouir.   Il s'arrête, nous approchons de la sortie. Nous sortons de l'autoroute et nous retrouvons dans les embouteillages avec des voitures très proches de nous. J'essaie de faire comme si de rien n'était pas c'est difficile. Et puis mon Maître s'arrête au niveau d'une voiture plus haute que nous. Je jette un coup d'oeil il y a un homme qui conduit et une femme à coté. Je sais que si la femme tourne la tête elle me verra. Je prends énormément sur moi pour ne pas resserrer les cuisses. Et de nouveau, mon Maître vient poser ses doigts sur ma chatte et me titiller le clito. C'est tout juste si j'ose garder les yeux ouverts et surtout je ne regarde pas en direction de la voiture d'à coté. Et puis nous nous engageons sur une route beaucoup moins fréquentée. Je sais où elle mène. Dans un lieu en travaux, très peu fréquenté mais où l'on croise quand même parfois du monde puisqu'il y a une sortie de société apparemment. Nous arrivons. Mon Maître se gare de manière à être un peu à l'abri des regards.

    Il me regarde et me dit :  "Je ne t'ai pas fait remettre tes chaussures pour rien, je vais t'autoriser à ouvrir la portière arrière. Tu vas sortir, te mettre entre les deux portières face à la voiture et cul bien tendu". Je ne crois pas avoir répondu quoi que se soit ou plutôt si, je lui ai fait répéter pour être certaine d'avoir tout bien compris et ne pas commettre d'erreur.

    MES PREMIERS PAS EN EXTERIEUR

    MES PREMIERS PAS EN EXTERIEURJ'ai ouvert  ma portière, celle de derrière et je suis sortie. Le regard aux aguets.  Je suis d'abord restée un moment dos à Mon Maître qui ne s'est pas privé de me demander de remonter mon haut pour pouvoir observer mes fesses, puis je me suis tournée face à lui, j'ai posé mes mains sur les barres de toit de la voiture comme il me l'avait demandé, et j'ai attendu, j'étais dans un état second. 

    MES PREMIERS PAS EN EXTERIEUR

    Mon Maître descend à son tour et vient me rejoindre. Il me reproche de ne pas être assez cambrée. Je me cambre donc d'avantage pour lui offrir mon cul.   La première claque retentie rapidement. Je suis surprise, elle était bien cinglante. Une deuxième tombe et j'ai peur que le bruit n'attire des regards indiscrets. C'est pourquoi j'en oublie le principe de base qui est de compter les claques à haute voix. Mon Maître me rappele à l'ordre avant de m'en assèner une nouvelle. Je sais que c'est la troisième mais j'annonce : "zéro".   Puis un, deux, trois, quatre...

    MES PREMIERS PAS EN EXTERIEUR

    Mes fesses commencent vraiment à me chauffer ce qui est rare au bout de 4 claques. Et puis mon coeur manque un battement, mon Maître s'est rapproché, Il est tout prêt de moi et je sens qu'il va me parler à l'oreille. "C'est un avant goût de ta prochaine punition petite pute !". Sans avoir le temps de réaliser je reçois les autres claques jusqu'à dix. Elles font mal !  Il me demande de me retourner et de me baisser. Je n'hésite presque pas. Il déboutonne déjà son pantalon. Sans rien chercher à comprendre, je me jette presque sur sa queue, la saisis dans ma main droite et la glisse entre mes lèvres. Je le suce avec avidité, il me fait remarquer que j'ai fortement intérêt à m'appliquer car il compte bien en profiter et que c'est la qualité de ma fellation qui déterminera la durée de celle-ci, autant dire que vue la situation j'ai envie de tout donner pour qu'il jouisse vite ! Il me laisse d'abord gérer, je prends du plaisir à retrouver son sexe et à le sucer, je fais de mon mieux, je le prends le plus profondément possible en bouche, je pense bien faire ! Et puis Il m'ordonne de mettre mes mains dans mon dos et pose les siennes sur ma tête, prenant le contrôle total de la situation et m'obligeant à le prendre bien en entier en bouche.

    MES PREMIERS PAS EN EXTERIEUR

    Un seul haut le coeur au début mais il parvient à bien m'envahir la gorge sans que cela ne m'écoeure, j'adore ça, je le suce comme ça pas très longtemps je pense, il me baise la bouche et j'apprécie de ressentir à nouveau son emprise sur moi. Il s'enfonce profondément en moi et je sens qu'il va jouir, il me bloque, m'empêchant de reculer et je sens son sperme gicler de sa queue tout à coup encore plus dure. Il est tellement loin que son foutre s'engouffre directement dans ma gorge. Je n'ai même pas le temps d'en profiter, dommage ! Il se retire, mais me fait remarquer une nouvelle goutte au bout de sa queue en l'agitant sous mon nez, quelques coups de langue plus tard  Il m'autorise à retourner dans la voiture, je m'exécute et demande si je peux me rhabiller. La réponse fuse : "non !"

    Non ?   Mon Maître me dit que c'est à mon tour, il s'approche de moi, pose ses doigts sur moi et me fait rapidement jouir en me branlant comme il sait si bien le faire, je pars en quelques secondes à peine avec son autorisation, je le fixe du regard alors que je m'abandonne à lui, je sais qu'il aime cela, c'est exquis ! Avec ce qui s'était passé avant je n'avais meme pas pensé à mon plaisir.

    Merci à mon Maître.    

     

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