Au bout d'un moment, mon Maître s'arrête et me demande de m'allonger sur le ventre, cette fois bien installée dans le lit. Je m'exécute aussitôt, Il glisse un oreiller sous mon ventre et m'enlève mon boxer complètement. Et puis ses mains remontent délicatement le long de mes jambes pour atteindre mon sexe déjà plus qu'humide, j’écarte les cuisses sans même m’en rendre compte. Il me caresse la chatte et insère un doigt ou deux en moi. J'adore qu'il me doigte comme ça, en plus, la position est idéale pour moi. Je sens ses doigts en moi, me fouiller, me dilater. Il les insère profondément et j'aime ça. Et puis d'autres doigts viennent rejoindre ceux qui sont déjà dans ma chatte, je mouille terriblement.

Mon Maître prend son temps pour m'ouvrir bien comme il faut, il doit maintenant avoir 4 doigts en moi et je ne ressens aucune douleur puisqu'Il fait ça très progressivement, je me sens en revanche trempée comme jamais, dégoulinant sur ses doigts. J'essaie de retenir mes gémissements mais j'ai du mal. Le plaisir est vraiment très intense pour moi d'autant que je suis complètement détendue et complètement sienne. Je demande l'autorisation de jouir et mon Maître me la refuse. Je sens ses doigts voire sa main rentrer en moi, c'est un pur délice. Il continue comme ça encore un peu et je suis terriblement mouillée et très dilatée. Pourtant mon Maître ne peux me fister entièrement, pas qu’il se retienne mais je ne suis pas assez profonde semble-t-il car j’ai l’impression que c’est tout lui qui pourrait m’envahir à cet instant, j’adorerais ça ! Une bonne partie de sa main est en moi, je n'en peux plus, je redemande l'autorisation de jouir ! Cette fois mon Maître me l'accorde enfin et, sans me faire prier, j'explose de plaisir. Je me laisse aller, je lâche prise complètement. Mon Maître en profite pour se retirer un peu de mon sexe et venir insérer un doigt dans mon anus serré, légèrement puis plus franchement. Il me doigte profondément la chatte et le cul, je me sens pleine, mon plaisir se fait plus intense encore, je me cambre pour que mon Maître puisse y aller bien profond comme j'aime. Je ne me retiens plus du tout et mes gémissements sont terribles, devenant des cris, peu importe qu'on m'entende, je veux exprimer ce plaisir qu’il me donne ! 

Et puis mon Maître retire tous ses doigts de moi et vient se mettre au dessus de moi. Je sens ses jambes de chaque côté de mes hanches, un instant sa queue qui frôle mes fesses puis, sans aucun préambule, il vient enfoncer sa queue dans mon cul. Malgré la préparation, le premier passage est difficile voir même un peu douloureux mais tellement bon ! Et puis mon Maître commence les va et vient. Je l'encourage, j'ai vraiment envie d'une bonne sodomie bien profonde, qu’il me prenne sauvagement, qu’il me défonce même ! Je sens mon maître se lâcher plus que d'habitude, je sens sa queue entrer et sortir de moi, même mon œillet et ruisselant, c'est tellement bon ! Il continue un bon moment, variant le rythme et ma profondeur de pénétration, se faisant tantôt doux pour que je l’encourage à y aller plus fort, tantôt sauvage, faisant claquer ses couilles sur ma chatte à chaque fois qu’il me bourre le cul jusqu’à la garde. Nous y allons toujours plus fort, plus loin, je me cambre même pour venir m’empaler plus encore sur son sexe. Il en est de même pour mes gémissements voir mes "ho oui !" qui se font de plus en plus forts. Je mets ma tête dans les oreillers pour essayer de me faire plus discrète. Et puis mon Maître tend la main vers mon cou et attrape mon collier de soumise. Je ne sais pas pourquoi mais l'espace d'un instant j'ai cru qu'il allait me le retirer, … mais non ! Il le tire en arrière, m'obligeant à relever la tête, mais arrivé à un moment, je ne peux plus lever la tête mais lui tire toujours dessus. Pas très fort mais juste assez pour m'empêcher de respirer normalement. Je devrais avoir peur forcément mais ce n'est pas la cas et je sens mon désir augmenter encore, j’aime lorsqu’il me domine complètement en s’autorisant tout ! Mon Maître se déchaîne et je sens que l'orgasme n'est pas loin. Et il arrive cet orgasme, un pure délice, je suis embarquée loin, très loin, envahie par les spasmes qui inondent mon ventre, sentant mon anus se serrer sur sa queue, je tremble, je hurle de plaisir, je jubile, je sens son jus me remplir, couler en moi comme un accomplissement parfait de cette étreinte hors normes ! Mon Maître se retire et je m'écroule sur les oreillers complètement vidée, essoufflée. Pas par manque d'oxygène mais juste par la violence de cet orgasme et par l'intensité du rapport que nous venons d'avoir.

Nous traînons un peu dans ce lit d'hôtel, nous discutons, reprenant un peu nos esprits aussi. Et puis je décide de faire un petit massage à mon Maître. Il se met à plat ventre, je me mets sur lui. Je commence à le masser, je prends mon temps, je me fais sensuelle. Malgré l'étreinte précédente j'ai encore envie de Lui. Je fais donc ce que je peux pour l'exciter encore, sachant très bien qu’il reprend vite des forces. Et puis je m'arrête et ose lui dire que c'est à son tour de me masser, j’ai envie de le sentir à nouveau sur moi et je lui fais sentir, jouant un peu la provoc mais sachant que ce ne sera pas mal prit ! Il accepte ma proposition, me disant que je l’ai bien mérité. Je m'allonge donc à mon tour à plat ventre. Mon Maître vient à son tour se mettre sur moi, ne s’asseyant pas mais se plaçant très bas en dessous de mes fesses. A peine est Il installé que je sens sa queue déjà dure contre moi, son gland à l’orée de mon intimité. Il me masse les épaules, le dos, les fesses, c’est délicieux, ses mains me donnent encore plus envie de lui. Je le sens Lui aussi encore bien excité. De mes fesses, Il remonte ses mains le long de mon dos pour arriver jusqu'à mes épaules. Dans le même temps, son sexe est venu effleurer le mien. Il reproduit le même rituel plusieurs fois et au fur et à mesure, j'écarte un peu les jambes pour Lui permettre de s'insérer en moi. Et c'est ce qui se passe, petit à petit et comme ses mains remontent le long de mon dos, sa queue glisse en moi, la sensation est sublime ! Le massage n’en est plus vraiment un, j’en veux plus et il le sent bien, je replie ma jambe gauche pour Lui permettre de me pénétrer plus profondément parce que j'adore ces pénétrations profonde. Et de nouveau, le plaisir s'empare de moi. Mon Maître de nouveau très en forme me prend bien fort et bien profondément. Notre rythme est soutenu et encore une fois je jouis plusieurs fois et bruyamment, lui, déjà comblé deux fois ne jouira pas cette fois mais saura me combler comme jamais, m’obligeant à rendre les armes lorsque je n’en peux plus de ses assauts répétés ! 

Mon Maître me dit qu'il a mis fin à ma petite démonstration de tout à l'heure mais qu'il est maintenant temps de continuer. Il s'allonge sur le lit et me demande de continuer à l'exciter. Je ne porte plus que mon boxer et mes bas. Je monte alors sur le lit et comme une chatte, m'approche de mon Maître et m'assois sur Lui. Je déboutonne sa chemise et la lui retire. Je Lui caresse le torse. Je m'applique aussi à lui baiser et lécher le torse, tout doucement, juste pour le rendre dingue. Je sens sa queue grossir encore plus dans son pantalon. Je décide donc de Lui retirer, je fais glisser mon corps le long du Sien jusqu'à arriver à sa ceinture que je défais. J'ouvre son pantalon et le Lui retire. Sa queue raide déforme complètement son boxer noir. Cela m'excite beaucoup. Je voudrais faire durer encore un peu mais j'ai trop envie de libérer sa queue, de la voir se dresser comme ça, n'attendant que moi, ça me rend dingue ! Je n'y tiens plus !    Je Lui retire donc son boxer et libère son sexe dressé. J'ai envie de le prendre en bouche tout de suite mais je n'en fais rien. Je remonte doucement mon corps sur celui de mon Maître. Je ne peux malgré tout pas m'empêcher un petit coup de langue au passage. Je passe mes seins le long de sa queue. Mon Maître m'attrappe les tétons et, les tirant vers lui, ressert mes seins sur sa queue et se branle légèrement. Je penche la tête pour le voir faire. Je vois son gland rouge entre mes seins. C'est divin !    

Il en profite autant pour se branler que pour jouer avec mes tétons. Il sait que j'aime beaucoup cela. J'avoue que j'ai beaucoup de mal à me contrôler. Il fini par lâcher mes tétons. N'y tenant plus, je redescends immédiatement mon corps de manière à avoir ma bouche au niveau de son sexe. Et je me mets à le sucer et à lui carresser les boules en même temps.  Encore une fois, je prends mon temps. Je martelle sa queue de grands coups de langue longs et prolongés, je Lui lèche littéralement toute la queue et je m'en délecte. Je m'attarde un peu sur son gland et finis par le prendre en bouche. Je fais glisser mes lèvres sur sa queue raide et humide. Je joue aussi de ma langue. Je le prends en bouche le plus possible. Un ou deux hauts le coeur viennent perturber ma progression mais je gère. Je gère beaucoup mieux qu'avant parce qu'à force d'envie et de persévérence, je n'ai quasiment plus de haut le coeur.  Je sens qu'il apprécie et ça me réjouit car j'apprécie tout autant de m'occuper de son sexe que je le sens grossir en bouche. Un régal.   

Et puis mon Maître me demande si je veux changer de position. Il ne l'impose pas parce que justement je viens de lui dire que je ne me sens pas forcément prête pour une gorge profonde. Mais bien sûr pas forcément ne veut pas dire non surtout pour un Maître. Mais je pense qu'il me sent prête alors pour une fois il propose. Sa proposition ne me surprend pas.  En tout cas elle ne me fait pas peur et ne m'angoisse pas, alors que cela devrait sûrement. Il est clair qu'avec une queue au fond de la gorge il me sera très difficile de prononcer le stop word mais cele ne me vient même pas à l'esprit. Je pense que ma confiance envers mon Maître est telle que je me dis qu'il le sentira de lui même de toutes façons si ça ne va pas. Je réponds donc positivement à sa proposition.

Mon Maître me demande alors de m'allonger sur le dos. Je m'exécute et me rapproche du bord du lit. Ca y est, je suis en postion. Allongée sur le lit, les jambes pliées, la tête en dehors et mon Maître debout avec son sexe dressé. Je le sens rentrer sa queue dans ma bouche. Je n'ai aucune crainte. Il s'insère doucement et phénomène étrange plus il rentre dans ma bouche plus mes jambes s'écartent. C'est instinctif. Plus mon Maître avance vers ma gorge, plus mon plaisir est grand et plus mes jambes s'écartent d'elles mêmes. Malgré mes "entraînements" précédents, je ne peux tout de même pas réprimer un ou deux hauts le coeur. Mais en fait, la position semble idéale pour ce genre de pratique et tout se déroule très bien. Mon Maître y va doucement alors que je pense qu'il aurait envie de plus mais il se retient je pense.

Il souhaite réitérer cette pratique dans d'autre occasions et ne souhaite en aucun cas me dégoûter. C'est sûrement pour cela que, pour une fois, il n'éjacule pas dans ma bouche.

 Je le sens se retirer de ma gorge. Je sais qu'il va éjaculer et si je ne bouge pas, il le fera sur moi. Je n'aime absolument pas ces photos où l'on voit des femmes le visage plein de sperme et je me doute que c'est ce qui va m'arriver si je ne bouge pas. Et pourtant, je ne bouge pas. Mon maître éjacule et bien évidemment j'en reçois sur le visage et contre toute attente, je sors ma langue pour en récuper un maximum.

Bien évidemment je n'en récupère qu'une petite quantité et le reste coule dans mon cou. Une fois terminé, c'est mon Maître lui même qui m'essuie et qui me félicite.  

Il est vraiment bien mon Maître. Et puis Il  met un genou de chaque coté de mes épaules et vient carrément me bouffer la chatte à travers mon boxer. De mon coté, j'ai un peu la tête dans le vide mais j'ai une excellente vue sur ses boules et sa queue. Je redresse donc la tête et vient lui lécher et prendre en bouche ses boules. Nous passons un moment comme ça à nous déguster l'un l'autre.

Je constate avec une certaine déception que les propositions de scénarios ne se bousculent pas dans ma boîte mail, j'aurais pensé, tout comme mon Maître, que la perspective de passer du fantasme à la réalité en tenterait plus d'un ...

Vous n'osez pas ? Vous pensez que ce n'est pas pour vous ? Vous avez tort ! Nous étudions toutes les propositions et la réalisation du scénario gagnant se fera, à vous de vous montrer originaux dans vos mots et dans vos idées, et puis qui sait, peut-être que plusieurs retiendront notre attention ...

J'aimerais lire des femmes aussi, qu'elles soient tentées par la soumission, la domination ou simplement par une expérience saphique, rien que d'y penser je sens mon boxer devenir humide !

Offerte je le suis, à mon Maître, à ses moindres désirs et je saurais en faire autant pour celui ou celle qui gagnera le challenge lancé ! Les 10 000 visiteurs sont passés, je vous remercie vous tous qui me suivez dans mes aventures charnelles, qui restez fidèles au blog. 

Je vous souhaite une bonne et heureuse année 2012

qu'elle soit pour vous sous le signe des coquineries les plus abouties !

  moi.cassandra@live.fr ... pour m'écrire !!

Baisers torrides

Cassandra

 Et puis vient l'heure de ma punition. Et oui, encore une, malheureusement. Malheureusement parce que cela veut dire qu'une fois encore je n'ai pas été à la hauteur. Lors d'une de nos séance virtuelle j'ai désobei. Mon Maître était mécontent mais pire encore Il était déçu. J'ai horreur de décevoir mon Maître et j'ai bien l'intention de recevoir cette punition sans broncher Je l'ai méritée.   

Mon Maître me demande donc de me mettre à genoux sur la chaise. J'ai toujours mon boxer. Je me mets donc à genoux sur la chaise comme demandé. La première claque ne tarde pas à s'abattre sur mes fesses. Je commence à compter "Zéro". J'ai presque failli oublier de compter tellement cette première claque était plus forte que toutes les premieres claques que j'ai pu recevoir. Cette fessée promet d'être corsée. Une vraie fessée punitive. Une autre claque s'abat sur mon autre fesse. Ce n'est que la deuxième mais mes fesses me chauffent déjà terriblement. La main de mon Maître s'abat de nouveau sur mes fesses.   

L'intensité des claques reste toujours à peu près la même mais le rythme change. Je ne sais jamais quand la prochaine va tomber et pour le coup, les claques sont tellement fortes que je me contracte quand je pense en recevoir une. C'est la première fois que cela m'arrive ce qui prouve bien que les claques sont beaucoup plus appuyées que les fois précédentes. Mais je ne dis rien et continue de compter. Nous arrivons à 10 claques. Je sens mon Maître s'éloigner et je souffle un peu.

Honnêtement je pense que la punition est terminée mais, pour le coup, c'est mal connaître mon Maître. Je ne Le vois pas mais l'entends bouger. Il revient vers moi et me baisse mon boxer. De nouveau je reçois une claque mais cette fois mon Maître a utilisé une sorte de petit battoir. J'en ai le souffle coupé mais je n'oublie pas de compter, c'est une première pour moi avec ce type d'instrument et la douleur est mordante. Un deuxième coup vient s'abattre très vite. Je me mords presque les lèvres pour ne pas crier. Et surtout, cette fois, je ne supplierais pas mon Maître d'arrêter. Je sais que je mérite cette punition et je la supporterai jusqu'au bout pour lui prouver que je peux être obéissante et bien soumise.

Un troisème coup de battoir vient s'abbatre sur mon cul déjà bien rougit et bien chaud. La voix étranglée par la douleur, je continue tout de même de compter. Je veux être irréprochable sur ce coup là. Mon Maître m'assénera encore deux autres coups bien appuyés avant de s'arrêter et de me demander si la punition n'était pas trop forte. Je lui réponds qu'elle était à la hauteur de mon erreur. Il a l'air de grandement apprécier ma réponse.

Contrairement à d'habitude, je n'ai pris aucun plaisir physique à cette fessée punitive. Mon plaisir à été purement psychologique. Celui-ci résidait dans la fierté d'avoir reçu cette punition sans rien dire, de l'avoir acceptée pour ce qu'elle était c'est à dire, une remise à ma place. Mon Maître se devait de me rappeler sa supériorité et il l'a fait merveilleusement bien.     

 Il se lève, va chercher son appareil photo.

L'appareil photo et moi ne sommes clairement pas bons amis. Vous avez d'ailleurs dû vous en rendre compte dans les récits précédents. Je comprend donc que nous allons travailler l'obéissance et la confiance en soi. Mon Maître me demande de rester assise sur la chaise les jambes bien écartées et Il commence à prendre des photos. De nouveau je ne suis pas à l'aise du tout, mon Maître me demande de prendre des pauses sexy pour lui.

Maladroitement je bouge sur ma chaise et prend quelques pauses, et puis je me laisse embarquer, me sens de plus en plus à l'aise et offre des pauses de plus en plus sexy à mon Maître qui à l'air d'apprécier. Il me propose lui aussi des pauses et n'hésite pas à utiliser son appareil photo, me mitraillant littéralement, il semble aimer le spectacle que je lui propose. Il me demande à un moment donné, de garder une de mes jambes sur la chaise et de poser l'autre par terre, ainsi il découvre mon entrejambe, peut apprécier ma cambrure, la position est très explicite et je ne doute pas que la vue qu'il a soit un délice à ses yeux. Il passe sa main sur mon sexe à travers mon boxer et remarque que je mouille déjà un peu, il me le fait remarquer, me faisant me sentir un peu honteuse, mais je sais qu'il apprécie, il sait déjà que je suis excitée par tout ce cérémonial et qu'il n'aura aucun mal à tout obtenir de moi !

Il pose son appareil et va chercher les boules de geisha. Il passe comme il peut la main dans mon boxer, écartant celui-ci, il m'insère les boules l'une après l'autre à la fois doucement mais fermement, je les sens bien passer une par une, rentrer en moi et commencer à trembler dans ma chatte de plus en plus ruisselante. Une fois qu'elles sont en place, Il joue un peu avec la ficelle, les faisant vibrer dans mon ventre, m'excitant un peu plus encore. Puis Il replace mon boxer et me demande de retirer ma robe. Je l'enlève le plus sensuellement possible et le laisse découvrir plus complètement mes dessous blancs. Un soutien gorge légèrement rembourré pour accentuer le décolleté et mon boxer.

De nouveau, Il va récupérer son appareil photo et me demande de prendre encore une fois la pause. Je me sens déjà plus à l'aise et me prête volontiers au jeu je commence clairement à aimer faire cela. Mon Maître m'ordonne de m'approcher de la fenêtre (nous sommes au deuxième étage) et d'ouvrir les rideaux. Je m'exécute. Notre fenêtre donne sur la rue avec un arrêt de bus sur le trottoir d'un face. Heureusement il n'y a personne. Mon Maître fait encore quelques photos puis Il se lève. Il s'approche de moi, me retire mon soutien gorge et me retourne face à la fenêtre. Il se colle derrière moi. Nous voyons tous les deux dehors. Je me dis donc que forcément si quelqu'un lève la tête, il pourra nous voir. Mon Maître m'empoigne les seins fermement, un dans chacune de ses mains, marquant clairement sa propriété, Il me plaque à la fenêtre, m'écrasant les seins contre la vitre et m'ordonne d'ouvrir les yeux et de regarder dehors. C'est, comme par hasard, le moment que choisi un homme qui passe pour lever la tête. C'est sûr, il nous a vu et ne s'en cache pas. Il profite gentiement du spectacle. Je voudrais m'éloigner de cette fenêtre mais je n'en fais rien. Mon Maître, j'en suis sûr, est tout autant ravi qu'excité par cette situation. L'homme s'éloigne et il n'y a plus personne dans la rue. Mon Maître m'éloigne donc de la fenêtre, je suis tremblante !