Il se lève, va chercher son appareil photo.

L'appareil photo et moi ne sommes clairement pas bons amis. Vous avez d'ailleurs dû vous en rendre compte dans les récits précédents. Je comprend donc que nous allons travailler l'obéissance et la confiance en soi. Mon Maître me demande de rester assise sur la chaise les jambes bien écartées et Il commence à prendre des photos. De nouveau je ne suis pas à l'aise du tout, mon Maître me demande de prendre des pauses sexy pour lui.

Maladroitement je bouge sur ma chaise et prend quelques pauses, et puis je me laisse embarquer, me sens de plus en plus à l'aise et offre des pauses de plus en plus sexy à mon Maître qui à l'air d'apprécier. Il me propose lui aussi des pauses et n'hésite pas à utiliser son appareil photo, me mitraillant littéralement, il semble aimer le spectacle que je lui propose. Il me demande à un moment donné, de garder une de mes jambes sur la chaise et de poser l'autre par terre, ainsi il découvre mon entrejambe, peut apprécier ma cambrure, la position est très explicite et je ne doute pas que la vue qu'il a soit un délice à ses yeux. Il passe sa main sur mon sexe à travers mon boxer et remarque que je mouille déjà un peu, il me le fait remarquer, me faisant me sentir un peu honteuse, mais je sais qu'il apprécie, il sait déjà que je suis excitée par tout ce cérémonial et qu'il n'aura aucun mal à tout obtenir de moi !

Il pose son appareil et va chercher les boules de geisha. Il passe comme il peut la main dans mon boxer, écartant celui-ci, il m'insère les boules l'une après l'autre à la fois doucement mais fermement, je les sens bien passer une par une, rentrer en moi et commencer à trembler dans ma chatte de plus en plus ruisselante. Une fois qu'elles sont en place, Il joue un peu avec la ficelle, les faisant vibrer dans mon ventre, m'excitant un peu plus encore. Puis Il replace mon boxer et me demande de retirer ma robe. Je l'enlève le plus sensuellement possible et le laisse découvrir plus complètement mes dessous blancs. Un soutien gorge légèrement rembourré pour accentuer le décolleté et mon boxer.

De nouveau, Il va récupérer son appareil photo et me demande de prendre encore une fois la pause. Je me sens déjà plus à l'aise et me prête volontiers au jeu je commence clairement à aimer faire cela. Mon Maître m'ordonne de m'approcher de la fenêtre (nous sommes au deuxième étage) et d'ouvrir les rideaux. Je m'exécute. Notre fenêtre donne sur la rue avec un arrêt de bus sur le trottoir d'un face. Heureusement il n'y a personne. Mon Maître fait encore quelques photos puis Il se lève. Il s'approche de moi, me retire mon soutien gorge et me retourne face à la fenêtre. Il se colle derrière moi. Nous voyons tous les deux dehors. Je me dis donc que forcément si quelqu'un lève la tête, il pourra nous voir. Mon Maître m'empoigne les seins fermement, un dans chacune de ses mains, marquant clairement sa propriété, Il me plaque à la fenêtre, m'écrasant les seins contre la vitre et m'ordonne d'ouvrir les yeux et de regarder dehors. C'est, comme par hasard, le moment que choisi un homme qui passe pour lever la tête. C'est sûr, il nous a vu et ne s'en cache pas. Il profite gentiement du spectacle. Je voudrais m'éloigner de cette fenêtre mais je n'en fais rien. Mon Maître, j'en suis sûr, est tout autant ravi qu'excité par cette situation. L'homme s'éloigne et il n'y a plus personne dans la rue. Mon Maître m'éloigne donc de la fenêtre, je suis tremblante !