• Séance de rattrapage

     

    Séance de rattrapage

    Elle a fauté, mais ceux qui la suive le savent, lors de sa séance virtuelle elle a dit non à son Maître. Au delà de la punition exemplaire que vous avez pu découvrir et à laquelle elle a eu droit, je ne suis pas de nature à rester sur un échec, d’autant que c’est aussi un peu le mien car je n’ai pas su lui faire lâcher prise. On apprend de ses erreurs, elle comme moi et la dernière séance en est la preuve, elle devient de plus en plus docile et obéissante, elle a appris à lâcher prise et à obéir comme il se doit à son Maître, mais je tenais à lui faire vivre cette fameuse séance virtuelle comme elle aurait dû se passer, je tenais à ce qu’elle arrive à surmonter ses peurs et à oser un peu plus encore.

    Il y a encore quelques mois elle était une jeune femme la tête pleine de fantasme mais elle n’osait pas, elle se sentait attirée par la soumission sans trop en comprendre les enjeux, mais au fil du temps, et les choses sont allées vite, elle a osé, elle a découvert et assumé son côté dépravée, elle a vécu de nouvelles choses et je suis devenu son Maître, d’abord pour l’initier et à présent en phase de dressage, je suis content d’elle et de ses progrès notables, il reste encore du chemin à parcourir et elle-même le sait, mais je sais qu’elle est capable de beaucoup, de tout même je pense avec le temps.

     

    Mon idée était donc de lui faire revivre une séance virtuelle dans l’esprit de celle que nous avions tenté, mais sans risquer à nouveau l’échec, cette fois j’avais mon idée en tête et c’est tout au long de la journée qui a précédé cette séance que les choses se sont mises en place ! J’ai prévu non pas une mais deux séance assez rapprochées, l’une se déroulant le vendredi et l’autre le lundi suivant, dès le début mon idée était claire, mais c’est en fonction de ses réactions que j’ai adapté le déroulement de ces séances pour la mettre à l’épreuve.

     

    1er jour, le vendredi

     

    Dès la veille au soir elle avait reçu ses instructions, elle a préféré attendre le matin pour les découvrir et se mettre dans l’ambiance de dévotion adéquate, tenue imposée ou plutôt orientée, elle devait porter une jupe ou une robe, mais je lui ai laissé en choisir le style et la longueur, seule contrainte imposée, ne porter aucun dessous, ni string ni culotte ni même de soutif, je la voulais nue sous sa robe, ce qu’elle a choisit, et brûlante de désir pour le plaire.

    3 touchages imposés dans la journée et le port de ses deux amies intimes deux heures dans la journée, en deux fois, à choisir !

    Autant dire que la journée fût chaude et j’ai tout fait dans ce sens, mails chauffants, réactions écrites à ses comptes-rendus de touchages, je lui avais ordonné de se présenter à moi au tel au moins à 10/12 d’excitation, ce qu’elle a bien tenté de faire.

    Rendez-vous fut prit, virtuellement bien sûr, sur un parking que nous connaissions et que j’imaginais calme durant cette période de congés, celui d’un centre commercial non loin de mon lieu de travail, ainsi j’aurais la possibilité de la rejoindre si le cœur m’en disait, c’est en tout cas ce que je lui ai laissé penser, car au fond de moi je savais exactement ce que je comptais faire avant même de lui parler.

    Elle devait choisir un endroit sur ce parking, et se préparer, remonter sa robe bien haut au dessus de sa tailler et commencer à se caresser, elle devait m’appeler lorsqu’elle serait prête, juteuse à souhait et disponible pour son Maître !

    Malheureusement tout ne se déroula pas comme prévu, beaucoup de monde sur la parking, j’y étais en réalité avant elle et j’eus tout le temps de l’observer changer plusieurs fois de lieu, prise de panique par cette proximité trop grande avec le monde, persuadée qu’où qu’elle se mette on la verrait, l’excitation redescendit à mesure que son angoisse montait et lorsqu’elle m’appela elle était dans un état de stress assez avancé, mais malgré tout prête, pour autant que cela fût possible, pour la séance.

     

    Elle devait m’appeler et me saluer comme son Maître, ce qu’elle fit parfaitement, je sentais dans sa voix l’angoisse qui la gagnait et je comptais tout faire pour la vaincre cette fois, pour l’amener à se laisser aller même si je savais que ce n’était pas gagné d’avance, j’avais repéré l’endroit où elle avait choisi de stationner sa voiture et m’étais moi-même garé non loin en prenant soin qu’elle ne puisse me voir, je l’observais néanmoins sans vraiment voir, à bonne distance, lorsque mon téléphone sonnait.

     

    - Bonsoir Maître !

    C’était parti et déjà ma queue se gonflait dans mon pantalon, à la pensée de ce qui allait suivre, au son de sa voix de soumise dévouée, je lui posais quelques questions d’usage pour détendre un peu l’atmosphère, vérifiant son niveau d’excitation et son état de stress et puis je lui ordonnais de reprendre son touchage, d’abord doucement, puis avec plus de précision, la forçant à me parler, à me décrire ses actes, chose qu’elle peine encore un peu à faire. Malgré tout elle faisait de son mieux, fort peu désireuse de me décevoir à nouveau, elle me décrivait sa main venant titiller son bourgeon, ses doigts glissant sur sa chatte humide, venant longer sa fente pour s’y glisser, je goûtais à cette voix de petite chienne qui avait envie de sexe, son excitation ne tarda pas à monter d’un cran et malgré la peur d’être surprise elle obéissait, faisant tout son possible pour m’obéir. Elle se doigtait d’un puis de deux doigts, jouant d’abord avec son intimité puis avec son œillet sur mon ordre, s’enfonçant profondément ses doigts en elle, branlant vigoureusement son clito, le 10 d’excitation elle l’atteint finalement assez vite, juste ce qu’il fallait pour que nous passions à l’étape suivante.

      

    Séance de rattrapage

      

    Je lui demandais alors si elle savait ce que j’allais lui imposer, elle ne voulait pas l’imaginer, elle pensait que je ne reviendrais pas sur ce sujet une seconde fois, ne l’ayant pas habitué à réchauffer mes demandes, je lui rétorquais que vu que la chose ne s’était pas vraiment concrétisée ça ne me paraissait pas être du réchauffé !

    Ainsi elle dû à nouveau enfiler une capote à son levier de vitesse, et cette fois je lui fis comprendre que je ne tolérerais pas de refus à mes ordres, elle allait devoir se baiser avec lui, faire sa salope au-delà de ce qu’elle n’avait jamais fait dans ce parking, au vu et au su de tous !

    Elle tenta de discuter mais je la remis bien vite en place, lui ordonnant fermement de m’obéir, ce qu’elle finit par faire alors que je m’approchais discrètement de sa voiture pour la surprendre, elle dû se placer face à son pare brise et donc face aux allées du parking, les deux genoux posés sur chaque siège avant de sa voiture, et se frotter sur le levier de vitesse, je l’entendais gémir malgré ses supplications pour que j’arrête de lui en demander tant ! Cette fois elle obéissait et ce qui comptait c’était ça, même si je savais que son plaisir serait un peu gâché par le stress ça faisait partie de son dressage, devoir m’obéir malgré la peur, avec le temps elle apprendrait à gérer ça !

    Alors qu’elle tentait enfin de faire glisser le levier de vitesse en elle elle m’aperçu proche de son véhicule, je voulais la surprendre, c’était réussi parce qu’elle ne m’avait pas vu arrivé mais j’aurais aimé la prendre sur le fait, elle crut pouvoir se détendre lorsque je pénétrais à l’arrière de sa voiture mais je la recadrais, elle croyait pouvoir arrêter ce qu’elle faisait mais je lui ordonnai de continuer, de me montrer comme elle faisait sa chienne, elle se fit une fois de plus prier mais elle s’exécuta néanmoins.

    Le problème était la position du levier de vitesse, implanté dans le bas du tableau de bord et non entre les sièges comme sur la majorité des véhicule, cela rendait difficile la pénétration surtout compte-tenu de son état  de stress avancé ! JE décidai  alors de mettre fin à son supplice d’une certaine manière, j’avais déjà ma petite idée pour résoudre ce léger contre temps et bien d’autres envies à la voir ainsi excitée par son acte de soumission et puis le principal était qu’elle m’aie obéit ce qu’elle avait très bien fait cette fois ! Je passai donc à l’avant, la faisant reprendre sa place sur son siège conducteur et je lui annonçais que tout cela m’avait bien excité et que je désirais qu’elle me suce.

    Là encore petit moment de panique pour elle, mais là encore elle su surmonter sa peur et s’exécuter, me déboutonnant mon pantalon et en extirpant ma queue tendue, elle ne réfléchit pas trop longuement et se pencha après avoir scruté partout autour de nous, je lui indiquais qu’une fois en position elle ne verrait plus et n’aurait donc plus à risque de croiser le regard d’un voyeur. Je sentais ses lèvres m’envelopper, sa langue revenant découvrir mon gland gorgé de sang, je la sentais me prendre en bouche et je me faisais la réflexion qu’elle avait grandement progressé sur sa pratique de la fellation, elle y allait maintenant de bon cœur, me prenant considérablement en bouche, se laissant faire lorsqu’il s’agissait que j’impose le rythme et je profitais de la situation, lui intimant de joindre ses poignets dans le dos et de me laisser prendre le contrôle. Là encore hésitation et puis elle s’exécuta, se retrouvant alors complètement dominée et incapable de gérer quoi que ce soit. C’est moi qui maintenait sa tête, la saisissant par les cheveux pour gérer la profondeur de pénétration de ma queue dans sa bouche, y allant d’abord doucement puis me faisant plus plaisir, forçant le passage, provoquant un peu d’écoeurement au passage de mon chibre dans sa gorge mais me faisant grandement plaisir en constatant qu’elle ne tentait pas de reculer ou de reprendre le contrôle, je lui maintenais les poignets dans le dos d’une main, faisant coulisser sa bouche sur ma queue de l’autre en rythmant le mouvement de ma main dans ses cheveux. Voyant qu’elle ne tentait pas de résister je lachais ses mains pour venir m’occuper de sa chatte et de son cul, histoire qu’elle aussi prenne du plaisir et pas seulement à sentir la queue de son Maître envahir sa gorge, j’étalais sa mouille sur sa chatte et sur son cul, glissant mes doigts en elle sans grand ménagement, je la doigtais comme une chienne, lui faisant bien sentir mon emprise, je savourais ses gémissements étouffés par le fait qu’elle aie la bouche bien remplie.

      

    Séance de rattrapage

      

    Cette petite gâterie dura un moment mais il n’était pas question de trop trainer non plus, chacun d’entre nous devant rentrer à une heure acceptable dans son foyer.

    Je décidais alors qu’il était temps de se soulager, j’étais dans un état terrible d’excitation, elle devait bien le sentir, ma queue me faisait mal tellement elle était tendue et il allait falloir faire baisser la pression mais alors que j’aurais pu m’épandre dans sa gorge et ainsi me satisfaire je préférais l’option baise qui, au-delà de permettre encore de lui faire vivre une épreuve, allait aussi lui procurer plus de plaisir.

     

    Ainsi je lui expliquais je que j’attendais d’elle, elle devait sortir de la voiture, se rendre à l’arrière, ouvrir son coffre placé contre le mur du fond du parking et s’y pencher en relevant sa robe au dessus de sa taille, la suite je m’en occupais !

    Elle fit une tête hallucinée lorsqu’elle m’entendit mais c’est sans trop rechigner qu’elle ouvrit sa portière pour se rendre presque en courant à l’arrière de la voiture, lorsqu’elle eût ouvert le coffre et ce fût installée elle m’en fit part, je descendis alors à mon tour sans même avoir pris soin de ranger mon "matériel" et me dirigeai à mon tour vers l’arrière de la voiture, je la trouvait offerte, penchée et les coudes appuyés dans son coffre, le cul tendu, je forçais sa pause, lui ordonnant de bien se cambrer et pressant sur son bassin, je lui fis écarter largement les cuisses et c’est sans autre forme de préliminaire que je lui mis mon sexe d’un coup au fond de son con ruisselant de mouille, je la pris énergiquement et à grands coups de reins, faisant claquer mes couilles sur sa chatte, passant une main sur son ventre pour branler son clito en même temps et me permettant même de lui asséner quelques claques bruyantes et raisonnant dans le parking, ce qui ne manqua pas de la faire râler et d’attiser sa peur que nous soyons surpris en pleine action.

    Je la baisais fort, et tout alla très vite compte tenu de mon niveau d’excitation, malheureusement elle n’eût pas le temps de jouir, à la fois à cause de la rapidité de l’action mais surtout à cause de sa peur qui la tenaillait, moi en revanche je jouis et délicieusement, sentant mon sperme jaillir et butter dans son ventre, venant l’inonder, je fournissais beaucoup et elle gémit malgré tout considérablement, il n’aurait pas fallu longtemps pour lui faire oublier le lieu et la situation je pense …

    Lorsque j’eus fini de me vider en elle je me retirais, elle coulait de nos jus mêlés et maudit la position lorsqu’elle sentit nos semences lui couler entre les cuisses et le long de celles-ci, nous reprîmes place en voiture pour une petite séance d’essuyage avant de nous rajuster, il était déjà temps que nous nous quittions, pour mieux nous retrouver le lundi suivant, le temps d’échanger un peu d’abord de vive voix puis au téléphone le temps que chacun de nous rejoigne son chez lui. Elle avait aimé la séance, elle était contente d’elle et moi tout autant, elle avait cette fois réussi l’examen qui lui avait fait défaut la fois précédente, j’étais fier de ma soumise !


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  • Commentaires

    1
    fifi38
    Vendredi 29 Juillet 2011 à 13:25

    bien!

    2
    tomerlo
    Lundi 29 Août 2011 à 16:57
    tomerlo

    Je suis ravi d'avoir eu la possibilité de participer à la séance que t'a permis de devenir officiellement soumise à ton Maitre.


     


    T.

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