Mon Maître s'approche de moi mais ne dit rien.

 Il ne fait aucune inspection mais déjà, prend des photos. Je tourne toujours le dos à la porte. C'est alors que j'entends un léger bruit et me crispe légèrement. Assez tout de même pour que mon Maître le remarque. Il me demande ce qui se passe. Je demande si nous sommes seuls. Je sais qu'il est possible qu'une autre personne soit là. Nous avons plusieurs contacts avec mon Maître et je me dis que peut être l'un des ces contacts est là.

Mon Maître me demande ce qui me fait penser ça. Je lui dis que j'ai entendu un bruit. Cela le fait sourire enfin je l'imagine ainsi car dans ma position je ne peux pas le voir. Il attrape alors le masque noir et me le pose sur les yeux. La séance, ou du moins une partie, se déroulera donc dans le noir pour moi. Arriverais-je à oublier qu'il peut y avoir quelqu'un d'autre qui voit ou même qui participe ? Pourrais-je me détendre et offrir à mon Maître le retour qu'il attend de moi ?

 Je n'ai pas le temps d'y réfléchir très longtemps puisque mon Maître commence à me toucher, enfin est-ce vraiment lui ?

Je sens des mains sur mon corps, il me semble reconnaître les siennes mais je n'en suis pas complètement certaine, elles empoignent mes seins, dessinent mes courbes, se faisant assez douces, puis elles remontent ma jupe, découvrant mes fesses et ma chatte avant de venir m'inspecter, des doigts titillant mon clito, d'autres tirant sur la ficelle de mes boules, d'autres encore pénétrant furtivement en moi pour mieux en ressortir quelques instants plus tard, j'ai chaud, je suis dans un état d'excitation des plus avancé, cela m'excite terriblement !

Puis on me guide jusqu'au lit. Il m'ordonne de me mettre à quatre pattes sur le lit pour recevoir la punition que je mérite pour différents manquements commis lors de nos précédentes rencontres et qui m'ont menés à perdre le droit de porter mon collier.

Je m'installe. Il relève ma jupe et commence. De mon côté je commence à compter.

Zéro...

Je ne sais plus très bien dans quel ordre mais mon Maître enchaîne les claques avec soit sa main, soit un petit fouet soit des tiges de bambou. Ces dernières sont particulièrement douloureuses. Les coups s'enchaînent rapidement et fermement, mon Maître me fait bien payer mes erreurs, je crois n'avoir jamais été aussi vigoureusement corrigée et la position à quatre pattes, la peau des fesses bien tendue n'arrange rien, je dérouille littéralement !

10 ... 20 ... il accélère le rythme et appuie de plus en plus fort ses claques, les coups de baguette de bambou se font particulièrement cinglants, je sens mes fesses qui chauffent et les larmes me monter aux yeux et ... nous arrivons  à 30 !

Je commence à avoir vraiment mal. Autant j'ai toujours aimé les fessées, autant là je comprends bien que c'est une punition et qu'elle a été méritée, je ne suis pas fière ! Je sens la chaleur sur mes fesses et je me dis qu'elles doivent être bien rouges. J'ai du mal à compter car certaines claques me coupent le souffle tellement elles sont fortes et ma voix se brise lorsque je compte. Et puis il y a cette douleur physique, supportable malgré tout, mais très vive, et puis aussi l'attente.

C'est parfois le plus dur ne pas savoir quand la prochaine claque va tomber. Le rythme n'est pas régulier, il est soutenu mais je ne sais jamais quand ça va tomber. Mon Maître balade parfois le fouet sur mes fesses avant de m'en asséner un bon coup. Je ne sais jamais quand je vais recevoir la prochaine, l'attente ajoute encore plus à la sensation.

Du coup au bout déjà d'une trentaine de claque j'ai tendance, parfois, à relâcher ma concentration.

Mon Maître me rappelle à l'ordre, il ne lâche rien :

- Cambres toi bien, offre moi bien ton cul petite pute désobéissante ! 

Je m'exécute immédiatement, forçant ma cambrure, repensant soudain que peut-être quelqu'un est là à nous observer, à mater mon cul bien tendu et rouge offert à mon Maître. Je sais que les coups ne sont portés que par mon Maître. Je sentirais la différence sinon.

Mon Maître se rend bien compte que je commence à avoir du mal à supporter cette fessée je le sais mais Il continue à me claquer et, moi, je continue de compter. Jamais je n'ai reçu une telle correction jusqu'à ce jour.

Les claques sont maintenant vraiment très appuyées et mon Maître les enchaines rapidement. C'est tout juste si j'arrive à suivre le rythme pour compter. seulement une dizaine de claques supplémentaires mais je les aies toutes senties passer. Ouff ! Et puis j'annonce 40 et les claques s'arrêtent, je suis en sueur, haletante, je ne bouge pas car ce n'est peut-être pas fini.

Mon Maître annonce la fin de la fessée mais m'ordonne de ne pas bouger. Je souffle un grand coup ! Puis il m’intime de m’installer à genoux au bord du lit, les fesses posées sur mes talons et d’attendre à nouveau. 

Je m’exécute, je le sens tourner encore autour de moi, m’effleurer, puis un nouvel ordre fuse accompagné cette fois d’un contact. Il me saisit par la taille et m’invite à me redresser, à me remettre debout avant de me faire me pencher en avant. Il est doux et directif en même temps, tout ce que j’aime, je sens ses mains sur mon corps et je le désire plus que jamais. Il me fait poser les mains sur le lit et rester penchée, mon dos doit rester plat, il mêle le geste à la parole pour que je prenne la position qu’il désire, me forçant à écarter plus les jambes, offrant ma chatte ruisselante à son regard que j’espère rempli d’envie.

Je sens mon Maître passer un objet le long de mes fesses. Il me dit qu'il compte y faire rentrer le plus gros des 3 plugs en sa possession. Pour faciliter l'insertion Il met du lubrifiant. Malgré tout l'insertion est difficile mais mon Maître continue. Cela fait longtemps qu'il me parle d'une séance où il s'occupera de bien m'ouvrir mon petit cul. Je crois que c'est celle là.  Le plug fini par rentrer, il ne reste plus qu'à faire passer la base plus large pour qu'il ne ressorte plus. J'essaie de me détendre au maximum mais c'est difficile. Dans un dernier geste mon Maître fait passer la base. Je laisse échapper un cri. Je sais que je vais finir par me détendre et accepter ce plug mais là c'est douloureux quoique toujours supportable.

Mon Maître m'ordonne de rester comme ça, de ne pas bouger. Je l'entends bouger dans la chambre. Je le sens monter sur le lit. Je pense savoir comment il s'installe. Assis une jambe de chaque coté de moi avec sa queue sûrement bien dressée. L'idée même m'excite déjà et pas qu'un peu, après cette punition la suite s'annonce beaucoup plus plaisante. Et c'est bien ça. Puisque j'ai toujours le bandeau, Sa main me guide jusqu'à son sexe tendu que je prends en bouche.

Je le lèche, le suce et l'avale le plus possible. Je m'applique parce que je sais qu'Il aime et parce que moi aussi j'aime ça. Il me laisse faire un moment, je fais du mieux que je peux, j'applique tout ce qu'il m'a appris et tente de le prendre le plus profondément possible en bouche. Et puis j'entends :

 - Mains dans le dos

A suivre ...