• Un samedi soir pas comme les autres (fin)

    Un samedi soir pas comme les autres (fin)

      

    Malgré cela Vous dirigez Votre sexe et forcez l'entrée de mes fesses. Je ne ressens en premier lieu que de la douleur, je me sens m’ouvrir mais en force.

     

    Je Vous demande d’y aller doucement mais je ne peux m'empêcher de me contracter encore plus à cause de la douleur. Mauvaise idée puisque Vous n'avez pas l'air décidé à Vous arrêter et doucement mais sûrement Vous continuez à forcer mon petit cul. Je sens Votre queue me pénétrer centimètre par centimètre, inéluctablement, et je commence à me détendre, de toutes façons je n’ai pas le choix, je vais me faire enculer comme une petite chienne que je suis ! Dans le même temps Vous passez une main sur mon bas ventre et venez titiller mon clito. Je sers les dents pour ne pas crier, je pourrais jouir quasi instantanément mais je sais que je n’en ai pas le droit.

    Et alors que je ne m'y attends pas Vous Vous retirez !

     

    "Mets toi à quatre pattes petite chienne !"

     

    Quoi ? A quatre pattes dans ce parking sale ? J'essaie de ne pas écouter mon esprit qui se pose ses questions mais je ne me résous pas à m’exécuter comme Vous l’attendez. Très vite Vous prenez les choses en main et, d’une pression appuyée sur mon dos, me forcez à me baisser et à poser mes mains par terre. Mes genoux fléchissent tout seuls, pourtant j'hésite à mes mettre mes genoux au sol mais là encore Vous ne me laissez aucun autre choix, je sais déjà que je vais finir à quatre pattes par terre à me faire prendre comme jamais ! Vous en profitez pour revenir en moi. Je sais que Vous croyez être dans mon cul mais Vous n’y êtes pas et pour l'instant je ne dis rien, trop contente de pouvoir souffler un instant et malgré tout terriblement excitée de Vous sentir à nouveau dans ma chatte ruisselante. Je rechigne un peu à me mettre à genoux et Vous devez le sentir, alors délicatement mais fermement, en tout cas c'est ce que j'ai ressenti Vous m'appuyez encore sur le dos.

      

    Un samedi soir pas comme les autres (fin)

      

    J'abdique et pose mes genoux à terre. Je suis à Vous à présent, complètement et si c'est là que Vous souhaitez me voir à ce moment là, c'est là que je serai. Une fois à quatre pattes par terre, et alors que vos coups de reins ne faiblissent pas Vous me demandez si j’aime sentir Votre queue au fond de mon cul, et c'est là que je Vous dis que Vous n'êtes pas dans mon cul.

    Du coup, je ne sais pas trop ce que Vous faites parce que je Vous tourne le dos mais j'ai l'impression que Vous m'écartez un peu les jambes avec les Vôtres, je me sens complètement à Votre merci, Vous cherchez la position "idéale". Par la suite je verrai que Vous avez retiré complètement Votre short et une chaussure pour mieux pouvoir me prendre. Si quelqu'un était arrivé ça n’aurait pas été évident de Vous rhabiller rapidement mais ça ne semble pas du tout vous gêner, je dirais même que je suis convaincue que la question ne Vous a pas un instant traversé l’esprit.

    A nouveau je sens Votre sexe effleurer mes fesses. Je sais que Vous allez rentrer et je ne sais pas si c'est le fait d'avoir déjà complètement lâché prise mais je suis toute décontractée et cette fois Vous me prenez beaucoup plus facilement. Je ne ressens quasiment pas de douleur ou en tout cas je ne m'en rappelle pas, que du plaisir et pourtant c’est d’un seul coup de rein que Vous venez au fond de mon cul. Je ne peux retenir un petit cri de surprise autant que de plaisir !

    Je Vous sens bien aller et venir en moi et certainement plus que fois précédentes où Vous m’avez sodomisée. Je sens Vos boules frapper ma petite chatte à chaque coup de rein, un pur délice. Je me sens chienne, dominée, prise de force et j’adore cette sensation ! J'adore sentir Vos couilles qui claquent ma chatte, je me sens couler tellement c’est bon. Alors, comme pour remonter encore le truc d’un cran Vous m'attrapez par les cheveux, me tirez la tête en arrière et venez Vous enfoncer encore plus profondément entre mes fesses. On aurait pas été dans un parking avec ce risque évident de croiser quelqu’un, je pense que la soumise Vous aurait même provoqué un peu pour que Vous me défonciez carrément quitte à me faire mal (oui je sais je suis barge !!)

     

    Un samedi soir pas comme les autres (fin)

      

    Vous me demandez si j'aime et je Vous réponds franchement que oui j'adore que Vous me défonciez le cul comme une chienne, que j’aime sentir Votre bite en moi humm !

     

    Du coup, dans un coup de rein plus violent encore, Vous venez Vous enfoncer plus profondément encore, je pense que j'ai laissé échapper un cri, de surprise, de plaisir. Je Vous sens totalement en moi, je sens tout Votre sexe dans mon cul c’est terriblement bon, j’ai envie de hurler mais je me retiens et me contente de gémir comme une petite chienne que je suis !

     

    Et puis Vous Vous retirez, sur le coup je ne comprends pas pourquoi  et Vous me  dites que Vous allez finir dans ma bouche. Je me redresse, vois Votre sexe et mon esprit fourmille à nouveau de contradictions. Je repense au blog d’une soumise que je suis, j'avais déjà lu cette pratique, j'avais d'ailleurs trouvé ça un peu "spécial" et puis nous n'en avons jamais parlé je crois alors je suis super étonnée et puis j'entends un :

     

    "Vite !" 

     

    Et sans plus réfléchir, j’obéis, je m'approche, pose mes lèvres puis ma bouche sur Votre queue bien raide. Il était temps, à peine mes lèvres sur Votre queue je reçois Votre jus et là je n'ai plus aucun doute ... Je n'aurais raté ça pour rien au monde, je me délecte donc de ce moment et prends le plus que je peux, savourant Votre nectar et n’en perdant pas une goutte. Puis, une fois que je Vous ai bien soulagé je me retire.

     

    Un samedi soir pas comme les autres (fin)

      

    Je me relève, Vous me félicitez je crois, mes souvenirs sont troubles, je me souviens surtout de l’intensité de cet instant, de m’être sentie plus soumise que jamais mais comme certaines choses très puissantes ça reste un peu flou. Vous m’offrez un baiser des plus sensuel et remontez dans Votre voiture, pas un mot de plus, pas besoin de mots ! 

    Je rejoins mon immeuble, ouvre la porte et m’engouffre dans l’ascenseur, je me regarde dans le miroir, j'ai les genoux sales.Ca me fait sourire et je repense à ce qui vient de se passer, … Surréaliste ! Est-ce bien moi qui vient de faire tout ça ? Et oui, je me sens chienne, humiliée, baisée, enculée, salie mais comblée, j’adore cette sensation. Je nettoie mes genoux au mieux, je suis encore comme sur un nuage. Les portes s'ouvrent, je suis chez moi ! 


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  • Commentaires

    1
    combava70
    Vendredi 3 Août 2012 à 14:40

    Bien narré! Et promis cela fait bander.

    2
    bejam
    Lundi 10 Septembre 2012 à 14:39

    Mmmmmmmm, c'est vrai que ça fait bander ! Tu as accepté de lui sucer la queue alors qu'il venait à peine de la sortir du trou de ton cul... Peu de femmes le font. Bravo ! Tu es vraiment la salope que tu dis qui aime qu'on la baise et qu'on l'encule à fond, qui suce tout ce qui passe

    3
    Philboo
    Samedi 22 Septembre 2012 à 06:41

    À quand la suite!


    Bandant!


    Merci pour ce blog !

    4
    moicassandra Profil de moicassandra
    Lundi 24 Septembre 2012 à 20:15

    Merci à vous pour vos commentaires. Plusieurs posts sont en préparation mais je suis un peu débordée en ce moment.

    Bisous à vous

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