Pour une fois mon Maître et moi avons l'occasion de nous voir pour toute une nuit. Du coup, j'ai reçu plus d'instructions que les fois précédentes. Une tenue imposée pour l'heure du rendez-vous et d'autres tenues à prévoir pour la soirée et pour la nuit à venir.  
La veille du rendez-vous je prépare donc mes affaires et mes accessoires. Je ne suis pas spécialement anxieuse ou angoissée. Je sais que je le serai demain quelques heures avant le rendez-vous. Je passe une bonne nuit.
 
Le lendemain matin, la pression se fait un peu ressentir. Je me prépare pour aller travailler. Afin d'éviter de devoir me changer avant le rendez-vous je m'habille en conséquence. Bien sûr pas de dessous, un leggin noir quelque peu transparent comme demandé par mon Maître. Il m'a aussi demandé de mettre un haut transparent et noir. J'en mets donc un mais pour aller travailler j'enfile une tunique par dessus. Je pars travailler en voiture. La journée se passe tranquillement. Je n'angoisse pas trop. En fait, je suis plus embêtée par le trajet en voiture qu'autre chose, je n'aime pas conduire dans Paris

L'heure de quitter mon travail est arrivée. Je remonte dans ma voiture, direction Paris. La pression se fait maintenant bien ressentir. Ce sentiment d'avoir en meme temps hâte d'y être mais de ne pas oser me balader dans la rue en leggin et haut transparent. 

Le rendez-vous est prévu dans un quartier assez sympa et assez chaud de la capitale. Je tourne un peu en voiture. Une fois arrivée dans le quartier, mon Maître qui était déjà arrivé me rejoint dans la voiture. Il me guide et je trouve une place dans la même rue où il a garé sa voiture. Le problème c'est que j'avais prévue de le rejoindre devant l'hôtel donc je ne suis pas encore avec la tenue exigée pour le rendez-vous. Je n'ai pas retiré ma tunique. Il me laisse donc le temps de le faire pendant qu'il rejoint lui-même sa voiture pour y récupérer ses affaires. Je retire donc ma tunique, enfile un autre haut transparent sur celui que j'ai déjà parce qu'il ne fait pas si chaud que ça et puis j'ajoute une ceinture à ma tenue. Je sors de la voiture. Il v falloir marcher un peu pour aller à l'hôtel et honnêtement je ne suis pas à l'aise du tout. J'essaie malgré tout de rester la plus naturelle possible pour ne pas attirer les regards.

Nous arrivons à l'hôtel que mon Maître a reservé. Notre chambre est au dernier étage. Nous entrons.
La chambre est assez grande, il y a un grand lit bien sûr, deux fauteuils installés devant une table basse et un petit balcon avec une table et deux chaises. Je pose mon sac et tourne un peu dans la chambre. Je plaisante histoire de faire redescendre la pression.

Je vais faire un petit tour sur le balcon ; nous avons une vue sur les toits de Paris. Enfin certains toits de Paris parce que pour certains batiments nous sommes plus au niveau des fenêtres des derniers étages. Mon Maître me dit :
 
- C'est tout à fait comme sur les photos !
Du coup, je comprends que le balcon va jouer un role dans nos ébats, la pression monte alors d'un cran, je reviens dans la chambre. 
 
Il fait encore beau et justement mon Maître qui est resté sur le balcon m'ordonne de le rejoindre. J'avoue ne pas m'exécuter tout de suite, je sais que cette injonction marque probablement le début de la séance, il me fait peur ce balcon enfin c'est surtout toutes ces fenêtres d'où l'on pourrait nous voir qui me font peur. Mais je sais que je dois y aller, donc doucement mais sûrement je rejoins mon Maître. Il fait un peu frais à cause du vent, nous nous installons l'un en  face de l'autre à la table et discutons un peu.  
Puis il me demande de lui montrer mes seins. Bien sûr ma premiere réaction est de regarder autour de moi au cas ou il y aurait quelqu'un aux alentours. Je sais que ce n'est pas bien, la bonne réaction aurait dû être de faire ce qu'Il me demandait mais c'est plus fort que moi. Et pourtant je sais que ça ne sert à rien puisque même s'il y avait eu quelqu'un, j'aurais quand même obéis à mon Maître. Alors bien évidemment je m'exécute.

Ensuite Il me demande de retirer mon leggin et de le faire de manière sensuelle. Il va donc falloir que je me lève et que je me bouge. C'est raté pour le coté discret que j'aurais aimé pour ne pas attirer l'attention mais je ne doute pas qu'il m'impose cela justement pour aller sur le terrain de mes appréhensions qu'il connaît très bien.
Visiblement je tarde à me décider, mon Maître réïtere sa demande. 
Je me lève donc, en regardant tout autour encore une fois. Je fais de mon mieux pour l'exciter mais je ne me sens carrément pas à l'aise du tout. Ce n'est pas vraiment mon truc, je ne suis pas du tout dans mon élément. J'arrive malgré tout à retirer mon leggin d'une manière plus ou moins sensuelle comme demandé, mon Maître me demande de me rassoir tout en gardant les cuisses écartées comme doit le faire une bonne soumise. Je me rassois, d'aiilleurs je suis mieux assise, je suis moins exposée aux regards qu'il pourrait y avoir. Mais mon répit n'est que de courte durée. Quelques instants après, mon Maître me demande de me lever, de poser les mains sur le bord du balcon et de me cambrer pour bien m'offrir à  lui, bien sûr jambes toujours largement ecartées et surtout interdiction de fermer les yeux ... Heureusement que je n'ai vu personne aux fenêtres sinon je ne sais pas quelle aurait été ma réaction.

Je sens sa main passer sur moi, descendant de mon ventre vers mon intimité sans autre forme de préparation. Rien de tel pour me sentir déjà un peu plus à l'aise, je mouille déjà beaucoup, la situation est très excitante. Il s'attarde sur ma chatte, me carresse, je me cambre un peu plus pour lui plaire, je veux m'offrir à lui, qu'il me touche encore et encore.
Et puis il insère ses doigts, joue avec mon clito, je me trémousse, je veux bien le sentir, il s'attarde, j'adore ça ! Il me pousse à me cambrer plus en me l'ordonnant et en pressant sur le bas de mon dos, que je sois bien chienne, bien offerte !

Et il se baisse, s'agenouillant derrière moi, me demande d'écarter mes fesses de mes mains, je m'exécute et je sens sa langue se faufiler le long de ma raie, il vient lécher mon anus ...  Si je n'avais pas l'interdiction de jouir, je me serais laissée aller. 

Il me flatte ainsi un moment, m'arrachant quelques gémissement, puis il se rassoit tranquillement, me laissant dans ma position, et déboutonne son pantalon. Il me demande de venir le satisfaire, je m'approche de lui, fléchis mes jambes et me baisse pour être à hauteur de son sexe. Il me dit qu'il va me laisser faire, sans intervenir mais que je dois me forcer le plus possible toute seule pour le prendre en entier.  
 
Je commence avec quelques baisers sur son gland, il est déjà bien dur visiblement ce qui a précédé lui a plu, j'apprécie grandement ! Avec ma langue je pars ensuite de la base de son penis pour remonter jusqu'en haut. J'aime sentir sa queue durcir au passage de ma langue. J'en oublie l'endroit où nous nous trouvons pour uniquement me concentrer sur son sexe et sur son plaisir, je veux bien faire !   
Je prends sa queue à pleine bouche, j'y vais doucement, avançant avec précaution le long de cette hampe qui me paraît interminable , il me laisse faire, m'encourage même à aller plus loin. Il me parle, me conseille, me rassure sans le savoir, me dit d'y aller progressivement. Et c'est ce que je fais, je prends mon temps. Ca ne me gêne absolument pas d'y aller doucement autant pour son plaisir que pour le mien.  

C'est donc doucement et progressivement que je continue mais même de cette manière la réaction que je craignais arrive : des haut-le-coeur. Ca me gêne de réagir comme ça et du coup je m'arrête ne sachant trop quoi faire, j'ai honte de ma réaction, mais mon Maître me dit de continuer toute seule sinon c'est lui qui prendra le contrôle, il ne cesse de m'encourager sans me réprimander.   
Je continue donc comme ça, je me recule un peu et reprends de plus belle, doucement et progressivement. De nouveaux j'ai des haut-le-coeur et de nouveau je me recule un peu mais je me concentre et à nouveau je recommence. Cela se passe comme ça plusieurs fois, je peine à le prendre en entier mais je fais de mon mieux et lui m'encourage toujours sans me forcer.
Puis, les haut-le-coeur se font moins présents, j'arrive à les contrôler, je m'habitue à la présence de sa queue dans ma gorge, et lui me guide en m'incitant à le garder le plus longtemps possible en bouche, sa main sur ma nuque mais sans appuyer, ce sont ses mots qui me poussent.Par contre, je ne contrôle pas les larmes qui coulent toutes seules sur mes joues. Ce ne sont pas des larmes de douleurs, juste une réaction physiologique de mon corps. Je parviens enfin à le prendre quasiment tout entier pour la première fois, je parviens à le sucer comme une soumise doit savoir le faire et c'est loin d'être évident, je le pompe et j'y prends plaisir, comme une chienne en chaleur, je sens mon jus couler le long de ma fente, ça m'excite au plus haut point et son regard me plaît.
Mon Maître doit juger soit que c'est trop long à son goût ou que j'ai bien accompli sa demande puisqu'il me demande de le faire jouir, il semble très excité.
Je m'active donc d'avantage, me forçant encore plus, je le suce du mieux possible et lui m'invite à me branler en même temps. Je le sens partir, dans un râle, j'acceuille son jus avec beaucoup de plaisir et une certaine délivrance, il fourni baeucoup mais hors de question de reculer, j'avale tout, avec avidité, comme une récompense. Je m'attarde un peu à le lêcher juste pour le plaisir, recueillant les dernières gouttes de son sperme sur le bout de son gland.
 
Puis je relève la tête vers mon Maître, il essuie les larmes de mes joues. Je me relève. 

Il me demande alors mon ressenti vis à vis de ce qui s'est passé. Je lui réponds que je comprends maintenant cette sensation d'étouffement dont j'ai déjà entendu parlé.  C'est tout à fait ce que l'on ressent lors d'une fellation plus poussée. Je pensais cela moins difficile, il a su me faire comprendre à la fois la signification et la complexité de cette pratique, je devrai m'entrainer avant de pouvoir prétendre maîtriser le sujet mais j'ai carrément apprécié ce moment et surtout la manière dont cela a été fait.  

Encore une fois je remercie mon Maître de faire de moi une bonne soumise dans des conditions tout à fait respectables et de prendre autant soin de mon ressenti.