Mon Maître m'a demandé de choisir un jour pour une "séance virtuelle par téléphone". J'ai choisi mon jour et je l'ai communiqué à mon Maître. Il m'a demandé de choisir un lieu pour la séance et c'est ce que j'ai fait... Le jour J est arrivé. Je porte une jupe ample qui m'arrive aux genoux et un petit haut noir classique. Pas de presseion particuliere, je vais travailler comme d'habitude. Dans le courant de l'après midi je reçois des instructions de mon Maître. Je dois aller mettre mes boules de geisha et le faire comme il faut. Les insérer doucement une premiere fois pour bien me faire mouiller et puis en ressortir une tout doucement avant de me la remettre directement bien au fond de la chatte. Bien sur, je n'ai pas le droit de remetttre ma culotte. Je m'éxécute aussitot et retourne à mon poste de travail.

Comme toujours c'est assez délicat de porter des boules sans culotte. J'ai toujours peur de les perdre mais comme toujours aussi la sensation est très agréable et assez exitante. La fin de journée approchant, j'envoie un petit mail à mon Maître pour lui demander si il m'autorise à remettre ma culotte pour le chemin du retour car je rentre par les transport en commun. Très gentillement il me l'autorise. Je quitte donc mon travail, vais récuperer mon RER pour rentrer. A ma gare d'arrivée, je récupére ma voiture et me dirige vers le lieu que j'ai chosi. Il s'agit d'un parking. Celui d'un parc. Le parking est assez grand et je me gare dans un endroit qui me parait pas trop fréquenté. Mon excitation est en peu retombée et l'angoisse à fait son apparition.

J'appele mon Maître. Il décroche.

- "Bonsoir Maître, je suis prete"..............enfin c'est ce que je croyais........

- "Très bien me dit-il.

Tu vas remonter ta jupe bien haut et te caresser les cuisses". C'est ce que je fais, tout en jetant des coups d'oeil aux alentours. Je me caresse en pensant à mon Maître, un pensant que c'est sa main qui passe le long de mes cuisses. L'éxcitation ne tarde pas à revenir. Il me demande de passer ma main sur ma culotte. Je m'éxécute. Elle est déjà toute humide et j'en fais part à mon Maître. Je continue quelques instant à me caresser comme ça. C'a m'éxcite beaucoup. Je reviens un peu à la réalité en enttendant la voix de mon Maître me demandant de retirer mon soutien george. Encore une fois quelques regard alentour et je m'exécute. Il me demande de me caresser les seins, pour me faire durcir les tétons. Je lui réponds que mes tétons sont déjà bien dur. Il me demande alors, de les toucher, de les pincer, bien comme j'aime. Et effectivement oui, j'aime ça. Du coup, je fais ça bien, attrape mon téton gauche entre mon pouce et mon index, je le malaxe, le sers coucement et puis plus fort. Je fais pareil avec le droit et de nouveau je laisse échapper quelques gémissements de plaisir.. Il me demande de continuer à me toucher les seins et puis de me caresser de nouveau à travers ma culotte. Mon désir augmente, ce fait plus présent...je pense que cela se ressent dans ma voix... Mon Maître me demande alors de rétirer ma culotte, de reculer mon siege au maximum et d'incliner un peu le dossier. Je l'avais déjà fait pour être bien à l'aise et je Lui signale.

 Il m'ordonne donc de mettre mes talons sur le siége. Je commence à être génée. Jusqu'à present, les rares voitures qui passaient à proximité pouvaient penser que j'étais juste au téléphone. Là, mes genous sont surement visible mais cela reste quand meme assez discret. Mon Maître me dit de bien m'installer et d'inserer un doigt dans ma chatte. Mon doigt se retrouve donc dans mon intimité en contact avec les boules. Il me dit de retirer mon doigt et de gouter ma mouille pour voir si elle est bonne. Je n'aime pas trop ça mais je le fais. Je lui dit que c'est bien chaud. Il me dit de me caresser et de remettre mon doigt puis d'inserer un deuxième. Je m'éxécute. Il me dit de bien me branler mais bien sur sans jouir et c'est ce que je fais. Mes gémissements se font plus rapide, plus rappoché, au meme rythme que mes doigts s'insérant dans ma chatte et rentrant en contact avec les boules. Je mouille terriblement et commence à sentir mes cuisses bien humide. Il m'est difficile de ne pas jouîr. Je l'entends me demander de m'arreter et d'aller jouer un peu avec mon petit trou. L'un de mes doigts vient donc s'égarer entre mes fesses, un des mes doigts déjà enduit de ma mouille. Mon Maître me dit de l'introduire et c'est ce que je fais. Il rentre tout seul.Je le bouge un peu, l'enfonce un peu plus. Il m'ordonne de remettre un doigt ma chatte et de recommencer à me branler. J'y vais de bon coeur. Je me branle comme ça. Jai du mal à garder les yeux ouverts pour surveiller ce qui se passe autour de moi, je suis envahi par le désir, le désir de jouîr, je sens venir l'explosion de ma jouissance.. quand j'entends :

 - "Arrete tout !!" Je me stoppe imédiatement. Il me demande alors :

- "Est-ce que, comme toute vraie salope, tu as des préservatifs dans ton sac ?"

Je lui réponds que oui. Il me demande d'en sortir un. Je vois immédiatement où il veut en venir et je commence à prendre peur. Je n'avais pas du tout penser à celà et je comprend tout de suite que j'ai très mal choisi mon lieu. Mon excitation vient de retomber d'un coup pour laisser place à une vive angoisse. Autant en privé je me sens capable de beaucoup de choses autant dehors comme ça je panique vite et mon Maître le sait. Il me dit de mettre le préservatif sur le levier de vitesse. Mes mains tremblent mais j'arrive à le mettre en place. Il me demande ensuite de tourner le dos au levier de vitesse et de mettre mes genoux sur chaque siege de chaque coté du levier. Je regarde autour de moi, je panique. Cela fait déjà 2 fois que la meme voiture passe devant moi. Et puis l'heure de fermeture du parc approche et il commence a y avoir plus de mouvents. Il est clair que dans cette position, tout personne passant à proximité serait tout de suite ce que je suis en train de faire. Alors que je réfléchissais à tout cela j'entends :

 - "C'est fait"

 - "Non pas encore, je peux pas..."

- "Tu ressevras 20 claques sur le cul comme punition la prochaine fois. Bouges toi !"

Doucement, je me bouge dans ma voiture. Ce n'est pas que je craigne la punition en elle même (quoi que.) mais ce qui me fait réagir c'est surtout que si mon Maître me parle de punition c'est qu'il juge que je ne fais pas ce qu'il faut. Ce qui du coup me laisse penser qu'il est déçu que je n'agisse pas assez vite et c'est surtout ça qui me fait réagir. Doucment donc, en regardant tout autout de moi je m'installe comme il me l'a demandé.

- "Ca y est ? " me demande-t-il

- "oui" Je suis tellement mal que j'en oublie même de l'appeler Maître. Juste un "oui" peut soritr de ma bouche.

- "Maintenant, retire tes boules" Je m'exécute et laisse ma jupe retombé sur le levier pour cacher ce que je suis en train de faire. Mon Maître me demande de me frotter au levier. Je m'éxécute mais je ne prends pas vraiement de plaisir, je suis trop stréssée. C'est très difficile pour moi. Puis il me demande de m'empaler sur le levier. c'est ce que je fais mais il ne rentre pas très loin, je suis dans une mauvaise position et je suis trop angoissée. Il me demande de bien m'enfoncer dessus, de laisser ma chatte aspirer le levier. Je m'entends lui répondre, et je me demande encore maintenant comment c'est possible, que je ne peux pas, que je suis trop serrée pour ça.

- "Ben force alors !!" me dit-Il Je ne peux pas et je ne peux plus non plus rester dans cette position c'est trop pour moi. Je le signale à mon Maître. Il me réponds :

-"20 claques de plus pour la prochaine fois"

Mais ce coup-ci meme cela ne me fait pas réagir. Je ne peux pas et je le redis à mon Maître. Il me demande :

 - "Tu t'es rassise là ?" et je lui répond, la tête baissée et d'une tout petit voix - "oui"

- "Très bien me dit-il. Tu viens de gagner 50 claques sur le cul pour la prochaine fois où nous nous verrons. De plus, tu vas devoir choisir toi même une autre punition à la hauteur de ta désobeissance. Et bien sur, pour les 4 jours à venir, le plaisir t'es complétement interdit. Tu as bien compris ?

" - "oui. Je m'excuse. C'est entierement ma faute"

- "C'est bien que tu le reconnaisses.

Maintenant, remet tes boules mais aucun de tes souvetements et rentre chez toi comme ça pleine de mouille sans meme avoir pris du plaisir !" C'est ce que je fais. Puis je lui dis aurevoir et nous racrochons. Je remet mon moteur en route et prend la direction de chez moi. Une fois arrivée dans mon parking, je déscend de voiture et attends l'ascenseur. Et là, je suis obligée de me tenir. Mes jambes tremblent. Je suis envahie par la honte. La honte de ne pas avoir pu faire ce que mon Maître me demandais, la honte de l'avoir déçu. J'en pleurerais presque. Cette sensation va durer un long moment et elle est de nouveau présente au moment ou j'écris ces lignes. D'autant que si j'en suis là c'est que j'ai commis deux grosses erreurs. La première a été de très mal choisir le lieu alors que j'avais la chance de pouvoir le choisir. Mon Maître aurait très bien pu me l'imposer mais il m'a laisser le choix. Et ma deuxième erreur a été de prendre cette séance trop à la légère surement du fait de la non-présence de mon Maître sur les lieux. C'est sur ce sont deux erreurs que je ne referais plus.

Je termine souvent mes articles en remerciant mon Maître, celui ci je voudrais le terminer en m'excusant. "Maître, je vous présente mes excuses pour vous avoir déçu. J'espere que vous les accepterez".