• Satisfait de mon inspection, et après quelques caresses appuyées destinées à l’humidifier un peu, je lui remets son boxer en place et lui ordonne de se lever, elle sait déjà quelle suite l’attend, là encore j’avais donné quelques précisions dans mes instructions !

    A présent c’est à elle d’agir, elle doit me donner envie, me tenter, me montrer comme elle sait faire sa salope, je lui ai demandé de réfléchir à la manière de jouer avec moi pour me faire brûler de désir, je lui intime donc de me montrer ce qu’elle sait faire, je sais que sur ce point il y a encore beaucoup de travail et que déjà elle est très mal à l’aise !

    Elle reste un moment sans bouger, tête baissée devant moi, elle hésite, ou elle tente de trouver le courage d’agir, puis enfin elle se bouge.

    Je profite de ce temps mort pour repousser la table basse qui l’empêche d’évoluer devant moi, puis elle se lance, me lance un regard discret, et commence à onduler son corps. Elle est gauche, et pourtant elle sait danser, elle n’ose pas vraiment, elle fait de son mieux mais on ne sent aucune légèreté dans ses gestes !

    Elle bouge devant moi sans trop y croire, je l’encourage, elle fait un effort, rassurée peut-être, elle s’approche, joue un peu de son corps à quelques millimètres de mes yeux, déjà elle se frotte un peu, c’est mieux !

    Elle m’allume enfin, osant se retourner dos à moi, un peu à la manière des strip teaseuses, et faire mine de s’asseoir sur mes genoux, mon sexe est tendu comme jamais, j’aime ce petit jeu, je vois son cul moulé dans cette jupe trop courte, ses bas qui dépassent, vulgaire à souhait, j’adore !

     

    Puis elle commence à se dévêtir, prenant le temps de se dévoiler devant moi, commençant par le haut, m’offrant bien vite la vue de ses seins aux tétons dressés qui en disant long sur son excitation, puis elle revient vers moi, me laissant les lécher comme pour les saluer un par un, elle m’enjambe, remontant sa jupe assez haut, elle effleure ma queue tendue dans mon pantalon de son entre jambes humm !

    A nouveau elle se recule, je trouve qu’elle maîtrise de mieux en mieux son show même si sa tension est palpable, elle est terrorisée mais lutte contre sa propre peur car elle sait que j’aime ça !

      

    [Sans titre]

      

    Elle continue de se déshabiller, cette fois la jupe glisse au sol, elle ne porte plus que son boxer et ses bas, un délice ! Puis c’est au tour de la dernière barrière de tissus de tomber enfin, elle se tourne à nouveau et telle une parfaite professionnelle, fait glisser son boxer en se penchant en avant, me dévoilant ses fesses divines, je n’en peux plus, je bande comme un âne !

    Elle est nue devant moi, en bas et bottes, comme j’aime, je l’invite à venir encore sur moi, elle ne se fait pas prier, venant se frotter plus ostensiblement encore contre ma tige, je lui intime de déboutonner mon pantalon et elle s’exécute, libérant bientôt mon sexe dressé et luisant d’excitation, je me soulève légèrement pour lui laisser baisser l’ensemble, elle sait ce qu’elle a maintenant à faire !

     

    Elle s’agenouille devant moi, prenant soin de conserver les cuisses ouvertes comme elle le doit, s’empare de ma queue et je sens bien vite sa petite langue qui vient goûter mon gland, elle me léchouille habilement avant de descendre plus sur ma hampe, elle me prend en bouche tandis que sa main ne reste pas inactive, me branlant légèrement puis soupesant mes testicules, les faisant rouler dans sa main, elle commence doucement mais vite accélère un peu le rythme, me montrant comme elle aime me plaire de sa bouche gourmande.

    Elle me pompe vite la queue avec une avidité palpable, alternant le rythme et la profondeur de prise en bouche, elle me suce plus qu’agréablement je dois dire, je la sens partout sur mon sexe, longeant cette tige tendue, prenant mes boules en bouche pour mieux les flatter, m’engouffrant profondément ou enroulant sa langue parfaitement comme si elle m’embrassait tendrement.

    Je suis dans un état d’excitation pas possible, elle fait tout pour me rendre dingue, jusqu’à oser me regarder en pleine action et soutenir mon regard qui se veut fermé !

    Je n’y tiens plus, jusque là je l’ai laissée diriger car elle s’en sortait très bien mais je veux m’affirmer un peu comme Maître ! Je place ma main droite sur sa nuque ce qui a pour effet immédiat qu’elle positionne les siennes dans son dos, me laissant prendre le contrôle. Elle se fige sur ma queue et je prend le relai, serrant ses cheveux entre mes doigts c’est à présent moi qui impose le rythme, je lui baise la bouche, d’abord doucement puis plus en profondeur, lui disant comme j’aime qu’elle me suce comme une chienne, qu’elle fasse bien sa salope, l’encourageant à m’accepter toujours plus profond, la laissant d’abord s’habituer à ma présence puis lui imposant plus franchement, je force sur sa nuque, lui maintenant fermement les cheveux, je sens ses haut le cœur venir, je relâche ma pression, puis reviens, une larme coule au coin de son œil mais à aucun moment elle ne tente de reculer, elle m’est soumise, parfaitement et sans condition et sucer le sexe de son Maître lui procure un réel plaisir, plaisir qu’elle prend autant je l’espère dans le fait de me satisfaire que dans l’appréciation pure de l’acte en lui-même !

      

    Séance en sous-sol - Chauffage

      

    Je me sens durcir encore, je sens que je ne vais plus tenir, elle est douée la garce !

    Je resserre encore un peu mon étreinte, me calant presque au fond de sa gorge pour jouir, mon foutre vient directement dans sa gorge sans pouvoir ressortir, elle me boit ou plutôt je lui impose mon jus d’homme ! Un délice, dans un râle je jouis dans sa bouche, j’adore ce moment où je ressens à la fois toute l’emprise que j’ai sur elle et où je sais que c’est finalement elle qui a tout le pouvoir, me tenant entre ses lèvres, m’offrant ce plaisir innouï de la jouissance buccale humm

    Elle ne recule toujours pas, prenant le temps de me laisser donner tout mon jus, puis recule enfin lorsque je la relâche, déglutissant et avalant toute ma semence, tout ce jus qu’on ne pouvait gâcher ! J’exulte ! Elle s’en lèche les babines !

     

    Début de séance achevé, je lui dis que nous allons passer aux choses sérieuses, mais que le lieu change lui aussi, elle hausse les sourcils, inquiète peut-être, cette fois elle ne peut plus dire qu’elle n’est pas excitée mais elle sait aussi que j’ai beaucoup d’imagination et que je compte bien lui faire subir les pires outrages aujourd’hui, le lieu s’y prêtant parfaitement de mon avis. Pour corser les choses je lui bande les yeux et c’est parti pour la seconde étape de la séance.

    Je l’invite à me suivre et nous descendons au sous-sol, j’ai modifié l’éclairage de celui-ci pour que la lumière soit douce et presque crépusculaire, elle ne connaît pas les lieux et s’aventure derrière moi dans l’escalier qui mène à la cave, je lui tiens la main pour la guider !

    Parvenu en bas je la laisse pénétrer mon antre, elle semble ailleurs, probablement perturbée par cette soudaine privation de la vue qui l’empêche d’appréhender le lieu, de toutes façons je ne compte pas trop lui laisser le temps de la réflexion.

      

    A suivre ...


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      Séance en sous-sol - L'Inspection

    Une fois de plus une séance est prévue avec ma soumise et cette fois c’est le Maitre qui en fera le récit, petite particularité notable, la séance ne se déroule pas dans un lieu neutre comme une chambre d’hôtel mais a mon domicile. En effet ma femme s’est absentée pour quelques jours et j’ai la maison pour moi tout seul. Une bonne nouvelle ne venant jamais seule la plupart de mes voisins les plus proches sont aussi absents ce qui favorise grandement ma décision d’inviter ma soumise en terre connue. J’aime cette nouveauté qui devrait rester assez exceptionnelle pour plusieurs raisons :
    Tout d’abord je connais le lieu et cela fait que les idées fusent pour préparer la séance. Ensuite et une fois n’est pas coutume, le lieu est beaucoup moins impersonnel que ceux que nous avons l’habitude de fréquenter dans le cadre de notre relation adultère, seule ombre au tableau et c’est le revers de la médaille, c’est mon domicile conjugal avec tout ce que cela implique d’intimité dévoilée et je ne voudrais pas que ca la mette mal a l’aise.
    Afin d’éviter cela je prévois d’utiliser les lieux d’une manière nouvelle et d’en dévoyer les pièces et autres lieux a des fins inhabituelles...

    Ainsi le rendez vous est fixé au matin, le temps pour elle de se préparer et de parvenir jusqu’à son Maitre, la veille au soir je prends grand soin de préparer un certain nombre de choses pour la séance, je prévois d’exploiter trois endroits pour ce moment avec elle et j’aménage donc les lieux dans ce sens. Mon idée maîtresse est de faire de mon sous-sol une sorte de donjon et je compte bien profiter de cette séance un peu spéciale pour tester Cassandra sur ce que je qualifie d’acquis tout en mettant la barre de mes exigences un peu plus haute. J’ai à ma disposition à la fois tout mon matériel habituel mais aussi tout un tas d objets facilement détournables de leur fonction première.

    Ainsi je dispose un plaid sous lequel je prends soin de placer un tapis de camping sur le sol en béton de ce qui a la fonction habituelle de garage. Pas que je veuille spécialement ménager ma soumise mais je préfère que son supplice ne soit dû qu’à mes assauts et non à des facteurs extérieurs.
    Ensuite j’habille murs et placards d’images judicieusement choisies comme illustrations de ce qui l’attend le lendemain matin, je pose là une ambiance érotique ou carrément pornographique très orientée sm qui, je l’espère aura un certain effet sur elle...
    Puis j’accroche une corde à un tuyau de chauffage dans l’idée d attacher ma soumise pour mieux disposer de son corps, enfin je dispose bien en évidence tous les accessoires qu’elle connait déjà ainsi que quelques autres pour lesquels j’imagine d’ja quelques nouvelles fonctions...
    Je prends alors un peu de recul et admire ma petite mise en scène, je suis assez satisfait de l’effet global et je remonte alors pour finaliser mon scenario avant d’aller me coucher pour un repos nécessaire à une bonne forme pour le lendemain.

    Je lui ai envoyé ses instructions en fin d’après midi pour lui laisser le temps de se préparer pour me plaire.
    Je trouverai bien difficilement le sommeil, mon esprit déjà occupé à se mettre en condition de Maître pour le lendemain et bien excité a cette idée des plus réjouissante.

    Au matin je bondis presque de mon lit a l’appel de mon réveil que j’ai d habitude tant de mal a entendre, je file sous la douche, déjeune rapidement et attends ma soumise après avoir pris soin de vérifier que tout était prêt pour l’accueillir.

    Elle arrive un peu en retard mais je ne lui en tiens pas rigueur compte tenu du fait qu’elle ne connait pas la ville où j’habite et qu’elle a du déposer ses enfants a l’école avant de me rejoindre.

    Elle porte la tenue exigée que je découvre : une jupe assez courte au-dessus des genoux, un haut moulant sans rien en dessous, des bas ainsi que des bottes. Je trouve la tenue parfaite, elle est bien dans le ton de la soumission que je lui impose et ma queue se durcie à l’instant même où je la découvre ainsi vêtue et que mon regard croise le sien.
    Nous échangeons quelques banalités d’usage, elle me dit que cette fois elle n'est pas plus stressée ou angoissée que d’habitude, chose que je prends pour une nouvelle marque de confiance en elle mais qui s’avère être tout simplement dû au fait qu’elle a eu bien du mal à se mettre dans l’ambiance. Je suis un peu déçu, j’attends beaucoup de cette séance et j’aurais préféré qu’elle rentre dans le jeu mieux que cela, je lui demande si comme donné en instructions elle est suffisamment excitée pour se présenter à moi et si elle se sent prête. J’obtiens une fois encore une réponse qui ne me satisfait pas, en effet et malgré les masturbations habituelles imposées pour faire monter la température, elle n’est que peu excitée et ne se sent pas vraiment prête. J’apprécie cependant sa franchise que je prends comme une marque de respect envers moi, elle ne cherche pas à masquer la vérité et a conscience des conséquences que cela pourra entrainer pour la suite.

    Elle se présente donc sans faux-semblant devant moi et la séance peut alors commencer, elle attend, tête baissée que je donne mes premières instructions verbales.
    Elle sait par quoi celle-ci débute, comme à chaque fois et comme le savent les adeptes de ces jeux interdits : l’inspection.
    Je l’ai reçue dans mon salon et je lui demande de prendre place devant moi et de se pencher les deux mains à plat sur le pouf situé a coté du canapé. Elle s’exécute docilement et se penche donc comme demandé, sa jupe remontant sur ses cuisses et découvrant le haut de ses bas auto fixant à ma vue, ne faisant que grossir un peu plus le désir que parvient difficilement à contenir mon pantalon. Je presse sur le bas de son dos en lui demandant de bien se cambrer comme une bonne petite chienne qu’elle est, de me donner envie en se montrant sous son meilleur jour, de la même manière je lui intime d’écarter ses cuisses pour me découvrir son intimité de soumise.

     Séance en sous-sol - L'Inspection

     
    Lorsque je suis satisfait de sa position je remonte sa jupe sur ses fesses et découvre le boxer qu’elle a choisi comme dessous. Habituellement je lui interdis le port de sous-vêtements mais j ai fait cette fois une exception et j'aime trop les dessous pour me priver de ceux ci systématiquement. Elle a donc eu le choix de ce qu’elle porterait et n’avait comme unique consigne que de choisir quelque chose de sexy pour me donner envie d’elle, défi réussi puisque je découvre ce boxer dessinant délicieusement son petit cul et le mettant parfaitement en valeur.

    Je commence mon inspection sans tarder bien que je puisse merveilleusement m’attarder sur cette vue qu’elle m’offre et c’est avec avidité que ma main passe par delà son entre cuisses à la découverte de la dentelle de cet habit, venant m’attarder le long de sa fente que j’espère humide. Cette fois, humide elle ne l’est pas ou bien peu compte tenu de la sécheresse désespérante du tissu, elle ne m’a pas menti, elle n’est pas assez excitée et a fauté sur ce point de mes instructions. Je ne m’en offusque pas et compte bien remédier moi-même a ce petit raté, ce sera pour moi l’occasion de mettre à profit tout l’effet de mon emprise sur elle...
    J’écarte malgré tout son boxer pour inspecter plus directement sa source et constate une fois de plus que sa production de cyprine est bien faible compte tenu de la situation. Je profite de cette intrusion dans son intimité et si je lui signifie que je ne suis pas satisfait qu’elle ne soit pas plus mouillée je constate néanmoins que mes caresses ont un effet quasi instantané venant compenser son manquement. Je lui baisse son boxer à mi-cuisses, sachant toute l’humiliation qu’elle éprouve lorsque je fais cela, je ne me prive nullement de la caresser avec application et même déjà d’introduire mes doigts en elle ce qui a pour effet de lui tirer quelques gémissements que je lui demande de réprimer instantanément.
    Elle porte ses boules de geisha comme demandé et je m’amuse un peu avec la ficelle, connaissant tout l’effet que cela peut avoir sur elle, elle contient cette fois ses gémissements lorsque j’en sors une presque entièrement pour mieux la remettre en elle sans le moindre ménagement.

    A suivre ...


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  • Je pense que les rapports D/S, quand ils sont bien partagés et acceptés, peuvent être libérateurs. Plus vraiment de tabous, la psychologie change. En tout cas c'est comme ça pour moi. J'ai appris et j'apprends encore plein de choses avec mon Maître mais je sais déjà qu'il y a eu un déclencheur pour moi. Je me sens plus femme. La preuve en est que maintenant, même mon subconscient s'y met. Je voudrais donc vous faire part d'un de mes rêves. Et surtout, et c'est quelque part quelque chose d'impressionnant, à quel point l'appartenance à mon Maître est inscrite en moi comme une évidence.    

    MON REVE 

    Nous sommes tous les deux un soir avec Maître. Il me dit qu'Il va m'emmener dans un bar un peu particulier mais ne m'en dis pas plus. Il me demande bien sûr d'être habillé sexy et surtout me dis qu'une fois à l'intérieur, nous ferons comme si nous ne nous connaissions pas, mais qu'Il me surveilleras bien sûr. Je ne sais pas trop ce que j'ai comme tenue mais c'est sûr, j'ai une jupe ou une robe. Nous arrivons dans ce fameux bar. Je passe la première. A l'entrée, on m'accroche à mes vêtements une petite carte avec un numéro. Je rentre.   Apparemment beaucoup de personnes sont venues seules aussi. Certaines sont au bar, d'autres assises sur des poufs devant des petites tables. Je m'approche du bar et commande un verre. Je vois rentrer mon Maître. On ne Lui donne pas de numéro. Il va Lui aussi commander un verre mais en se mettant loin du bar.   Au bout de quelques minutes, le barman me dit que je devrais un peu me balader dans le bar pour que l'on puisse repérer mon numéro car il doit sûrement y avoir des amateurs etant donné que je suis assez bien foutue.   Je comprends rien ???? Mais je prends mon verre et vais faire un petit tour dans le bar... Je vois mon Maître m'observer. Et puis je vois un pouf de libre donc plutôt que de retourner au bar je m'installe là. Au bout de 5 bonnes minutes, je vois le barman se rapprocher de moi avec un verre. Il me demande si je l'accepte. Je lui dis que je n'ai rien commandé. Il me répond que c'est un des hommes du bar qui me l'offre. Je lui demande lequel et il me dit qu'il n'a pas le droit de me le dire ?????  J'hésite donc mais j'accepte.   Je sirote mon verre tranquillement, tout en regardant autour de moi... Mon verre même pas terminé je vois le Barman revenir avec un autre verre. Je lui demande si c'est le meme homme que précédemment qui me l'offre. Il me répond que non, que ici les hommes n'ont le droit d'offrir qu'un verre et à une seule femme.. Ok ! Définitivement je ne comprends rien de l'endroit où nous sommes.  Le barman me redemande si j'accepte le verre. Encore une fois j'hésite mais je le prends.  Je regarde mon Maître et je Le vois sourire ; un vrai sourire qui en dit long.   Bon dans mon rêve, mon verre se fini vite et je vois le barman revenir avec un autre. Je ne sais plus quoi faire et je demande au barman si ça va etre comme ça toute la soirée. Il me répond que non parceque de toute façon au delà e 3 verres les hommes ne peuvent plus m'en offrir d'autre. Mais bien sûr!!!   Je pense que je vais refuser ce verre mais je ne sais vraiment pas quoi faire et je me tourne vers  mon Maître. Discrêtement Il me fait un signe de la tête en me faisant comprendre d'accepter ce verre.    Je bois un peu, me lève, et vais aux toilettes. Je reviens et continue à boire mon verre. Mon anxiété est très forte parceque je ne comprends rien à ce qui se passe et que mon Maître est loin de moi... Je commence limite à paniquer...   Et puis une voix résonne dans le bar. "Bonsoir à tous, un certains nombre de verres ont déjà été offerts et acceptés. La soirée peut commencer". Mon angoisse monte encore d'un cran.   Et de nouveau la voix se fait entendre : "La femme avec le n° 19 est priée de se rendre au bar" Ouf ce n'est pas mon numéro.   J'observe une très belle femme se lever et se rendre au bar. Un autre employé du bar (me demandez pas comment je le sais c'est un rêve) vient la chercher et l'emmène derrière le rideau situé à coté du bar.   Cinq minutes après un autre numéro est appelé par la voix et il se passe la même chose.   Cinq autres minutes plus tard, la voix appelle le numéro 13. Merde c'est le mien. Je me lève et me dirige vers le bar. Mon Maître me suit du regard. Comme les deux autres filles, je suis emmenée derrière le rideau. En fait il s'agit d'un long couloir avec plusieurs portes.. L'employé me demande si c'est la premiere fois que je viens et je lui réponds que oui. IL me dit :   - Une fois la porte passée, vous allez vous retrouvez dans une toute petite pièce, vous faites quelques pas devant vous et vous aurez une porte qui mène là ou il faut. Pour le retour, le ou les hommes repasseront par là et vous attendrez 5 minutes avant de ressortir.   Hein ? Quoi ? Qu'est ce qu'il dit le monsieur ???   - Vous avez bien compris ? - Oui très bien !   L'employé m'ouvre la première porte et je rentre dans cette toute petite pièce sombre. Je m'avance de quelques pas et ouvre une seconde porte. Il fait tout noir mais je sens que je suis dans une pièce plus grande. Le seul éclairage vient du néon "Sortie de secours".    Mes yeux n'ont pas le temps de s'habituer au noir que de nouveau j'entends la voix.   - Vous avez accepté 3 verres de 3 hommes differents. Le premier homme à vous avoir offert un verre va rentrer par la porte d'où vous êtes arrivée. Au bout de 10 minutes, le deuxième homme rentrera. Libre à vous de faire sortir ou pas le premier à ce moment là. Le troisieme homme rentrera 10 minutes après le deuxième. Au total vous disposez de cette pièce pendant 1h30. Des préservatifs sont a votre disposition près de la sortie de secours. Bonne soirée !    Ha ok ! c'est comme ça que ça se passe. En moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, mon esprit bouillonne. Mon Maître est-il un de ces trois hommes ? Si oui, le premier pour me dire quoi faire  ? Je suis debout et je ne peux plus bouger. C'est à ce moment là que la porte à laquelle je tourne le dos s'ouvre. J'attends en espérant que se soit Lui et qu'Il  me fasse un signe.   J'entends alors un "Bonsoir"........... Ce n'est pas mon Maître...   Bon ok ce n'est pas Lui mais je sais, enfin je me doute, de ce qu'Il voudrait que je fasse. Je réponds donc par un "bonsoir" et me retourne. Je m'approche a tâton de l'homme et lui demande si je peux lui toucher le visage pour avoir une idée de ce à quoi il ressemble parceque contrairement à lui moi je ne l'ai pas vu. Je m'approche donc et lui touche le visage et je descends un peu sur son corps pour voir comment il est foutu. Pendant ce temps, là il me parle, me dit qu'il m'a trouvée très mignonne dans ce bar.. etc...En fait, il a l'air super timide, mauvais drageur et il doit se sentir plus à l'aise dans le noir. Même pas le temps de faire plus ample connaissance que le deuxième entre. Le premier me demande si il doit rester ou pas ... Heu qu'est ce que j'en sais moi ? ... Ben oui restes vas-y ... Même technique avec le deuxième ... Lui a l'air beaucoup plus sûr de lui, plus grand, pas très jeune mais avec des abdos ... hummm. Je fais plus vite. mes yeux s'habituent un peu.   Du coup, nous nous installons tous les 3 sur le canapé. Moi au milieu et un mec de chaque coté. On parle un peu et rapidement chacun des mecs pose une main sur mes cuisses. Je me contracte, c'est très bizarre pour moi. Le plus vieux s'en rend compte et me demande si ça va. Je lui dis que oui et pose ma main sur la sienne.   Et la voix annonce la venu du troisième homme. Je me lève, soulagée de laisser les deux ici. Tous les deux me demandent en coeur s'ils doivent rester. Je sais très bien que c'est ce que mon Maître voudrait alors je leur réponds que oui. Je m'approche du troisième homme et lui demande aussi si je peux lui toucher le visage. Il me répond " Oui volontiers !"... C'est Lui, mon Maître ... Je suis un peu soulagée. Tout doucement à l'oreille Il me donne quelques consignes et me dit qu'Il es fier de moi d'avoir gardé les deux premiers. Nous sommes dans le noir mais je pense quIl devine mon grand sourire. Je me sens rassurée par sa présence et je dis haut et fort dans toute la pièce :   - Maintenant que vous êtes tous là les choses sérieuses peuvent commencer.   Je me rappoche de la banquette mais je n'ai même pas le temps d'y arriver que le plus vieux m'intercepte et m'embrasse goulûment.

    MON REVE

    Il n'hésite même pas à passer sa main sous ma jupe. Je ne sais trop comment, je me retrouve allongée sur la banquette. Le timide ne bouge pas. Il devait penser que les choses se feraient plus doucement ou alors qu'il pourrait être seul avec moi. Le plus vieux lui a déja soulevé ma jupe, enlevé ma culotte et est en train de me faire un cunni d'enfer. J'entends mon Maître parler au timide... Il le motive... Je trouve cela à la fois très drôe et aussi très flatteur... (bizarre) Je sens alors une présence près de moi, il me prend la main et la pose sur sa queue déjà bien raide. Je lui demande de s'approcher que je puisse le sucer parceque j'adore ça ... Je ne sais plus trop où se trouve mon Maître. Et puis je l'entends parler.   - Nous sommes trois c'est très bien, nous allons pouvoir combler cette femme par tous les trous.   J'exige l'utilisation de préservatifs sauf pour sucer et je dis que je refuse l'éjac bucale.   Le plus vieux s'installe sur la banquette, je viens m'empaler sur sa queue et je sens quelqu'un venir titiller mon anus et venir me prendre en sodo. je pense reconnaitre mon Maître. Et puis je sens quelque chose passer sur me lèvres, je sors ma langue et commence à lécher un sexe que je ne vois même pas ... Tout va très vite, en quelques instants je suis prise de parout, deux queues bien enfoncées en moi, une dans la bouche , ouff! Finalement ça me paraît preque naturel, bizarre hein !  Et puis la position change et au bout du compte je ne sais même plus qui je lèche, qui me baise, qui m'encule. C'est à la fois très excitant, comme si du fait qu'on ne se voyait pas tout devenait permis et c'est aussi très perturbant.   Et puis la voix résonne:   - Il ne vous reste que 15 minutes. Du coup, tout le monde se rhabille. Le premier à être rentré sort, le deuxième le suit presque tout de suite. La voix annonce qu'il nous reste encore 5 minutes. C'est alors que je me sens plaquée sur le mur. J'entends mon Maître me dire que je suis à Lui, Il soulève ma jupe, décale ma culotte et vient mettre sa queue de nouveau toute raide au fond de ma chatte. Il me baise comme ça et j'adore ...   Et puis Il sort.   J'attends un peu et je sors aussi.  


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  •  Séance de rattrapage - Suite et fin

     2ème jour, le lundi

    Le week end était passé, j’avais beaucoup repensé à elle durant ces deux jours, ma morne vie de famille ne comblant pas mes perversités les plus folles qui envahissaient ma tête depuis quelques temps et chaque fois plus lorsque je la voyais ou qu’une rencontre était prévue. Deux vies, l’une dite "officielle", la vie familiale par excellence, dont je tairais tout ou presque, l’autre plus "jardin secret" aux milles délices, cette vie à laquelle j’avais goûté avec elle, ma soumise, qui devenait chaque jour plus osée, plus épanouissante sexuellement pour l’un comme pour l’autre pensé-je pouvoir dire sans trop m’avancer pour elle.

    Je lui ai fait parvenir ses instruction le dimanche, cette fois elle les a lues le jour même comme pour mieux se préparer à ce qui allait suivre.

    Exceptionnellement cette fois je n’imposait pas de jupe, c’était rare, la consigne était qu’elle porte un pantalon, qu’elle le choisisse le plus serré possible, mais une fois encore interdiction de porter des dessous, je voulais qu’elle sente les coutures frotter contre sa chatte, qu’elle se sente nue mais aussi humide à baigner dans le jus de son excitation durant sa journée de travail. Autre instruction concernant sa tenue, elle devait porter un haut court, ne cachant pas sa taille et encore moins ses fesses, je voulais que tout le monde puisse voir ce cul moulé dans un pantalon très ajusté, je voulais qu’elle puisse se sentir regardée, épiée, désirée !

    Cette fois encore touchages imposés, c’est un rituel pour la mener sur les chemins du plaisir, l’un imposé au matin pour enfiler ses boules qu’elle devra cette fois garder tout le long de sont trajet pour se rendre au travail, devant subir les transports en commun et leur lot de vibrations exquises, tant et si bien qu’elle était déjà sacrément humide en arrivant au travail, et pourtant elle ne s’était pas spécialement levé d’humeur coquine, de mauvaise humeur même pourrais-je dire mais j’ai apprécié qu’elle ne me le fasse pas sentir, j’ai aimé qu’elle assume son statut de soumise, toujours disponible même quand l’envie de coquiner n’est pas là, joli exercice improvisé pour le coup, et jolie démonstration d’obéissance au Maître.

    Ainsi j’ai eu la journée pour la faire changer d’humeur, pas évident mais pas impossible et puis je savais qu’en me voyant en vrai je n’aurais aucun mal à y parvenir si cela n’était pas acquis.

    Elle se devait parvenir à un bon 8 d’excitation avant de quitter son travail et se toucher aussi avant de partir, c’était son troisième touchage de la journée et le moment où elle devait remettre ses boules avant de se présenter devant moi.

    A 17h je passais la chercher, elle avait en effet parfaitement suivi mes instructions, en tous points même, jusqu’au pantalon, un jean on ne peut plus moulant dans lequel elle avait dû rentrer au chausse pieds ! Elle ne se doutait pas de la raison de ce choix imposé, lorsque je lui demandais alors qu’elle avait prit place à côté de moi dans mon véhicule.

    Elle était toujours d’humeur fort peu coquine, presque effrontée même, elle répondait ne pas savoir si elle saurait m’obéir, je ne devrais pas le dire mais j’aime lorsqu’elle me provoque, ça me motive encore plus, j’aime la faire plier, la faire mouiller en me montrant ferme avec elle et elle sait que si toutefois elle s’avise de désobéir encore la punition n’en sera que plus dure !

    Ainsi malgré ses réticences et autres remarques insolentes envers son Maître elle dû se plier à mes exigences. Après quelques minutes à rouler sur l’autoroute et dans une ambiance plutôt bon enfant je lui ordonnais d’ouvrir son jean sur le champs. Sur le moment j’ai presque cru qu’elle ne le ferait pas, mais avec un peu d’insistance elle obéit !

    Elle s’offusqua et retrouva cette peur qui la tenaillait souvent lorsque je la faisais se soumettre à moi dans des lieux manquant d’intimité, lorsque je lui demandais de carrément enlever son jean, elle objecta qu’il lui fallait enlever aussi ses chaussures et que serré comme il était elle ne pourrait pas le remettre facilement et se trouverait donc vulnérable aux regards et autres imprévus. Je lui fis comprendre le peu d’importance que j’accordais à la chose et mon désir de la voir cesser de parler pour agir en conséquence, je la regardais alors se débarrasser de son pantalon et pour la première fois elle se retrouvait entièrement dévoilée à mes cotés, sans rien en haut pour cacher son intimité, et avec l’évidente obligation de conserver ses cuisses ouvertes comme toute bonne soumise qui se respecte ! Elle avait oublié son collier, la chose l’avait d’ailleurs terrifié lorsqu’elle me l’annonçait par mail dans le courant de la journée, elle redescendait donc pour cette fois et grâce à mon indulgence du jour, simplement au rang de petite chienne, elle retrouverait son statut de soumise la prochaine fois si toutefois l’évènement impardonnable ne se produisait pas de nouveau. Ainsi elle avait tout intérêt à m’obéir, peut-être plus encore que d’habitude pour ne pas réveiller la colère du Maître …

    Elle s’exécutait donc, nue et ouverte assise à mes côtés, je lui imposait de se toucher pour moi, de se montrer salope, chose qu’elle n’avait pas non plus su faire lors de notre dernière séance avec T., chose qu’elle allait devoir apprendre, prendre confiance en elle et savoir susciter l’envie chez son Maître comme chez les autres, sur ordre et quelle que soit la situation où cela lui serait demandé.

    Elle progressait, elle se toucha devant moi, me regardant droit dans les yeux lorsque je lui ordonnais, ne se faisant pas trop prier pour me parler de son envie de se faire prendre, de son plaisir à faire la salope qui se branle dans les embouteillages, sans vraiment se décontracter elle arrivait à s’exécuter bien mieux qu’auparavant et faisant grimper dans le même temps son niveau d’excitation !  Elle osa même placer ses pieds sur le siège, se découvrant un peu plus encore lorsque je lui ordonnais.

    Elle dût rester tout le trajet dans cette tenue, me suppliant de l’autoriser à se rhabiller à l’approche de sa ville, refusé ! Elle dût "assumer" une fois de plus, et bien plus qu’avant, bien qu’elle essaya de se cacher un peu derrière son petit pull, ce qui lui valu une jolie claque bien appuyée sur la cuisse, elle s’exécuta plutôt bien et ne perdit pied que lorsque nous traversâmes une cités voisine de chez elle, mais malgré tout elle tenu bon !

    Notre "endroit" habituel était squatté, un mobil homme avec un homme assis sur ses marches me découragea de tenter ce lieu pour me livrer à la suite de la séance, nous repartîmes alors à la recherche d’un lieu moins fréquenté que nous trouvâmes dans une zone d’activité toute proche, un petite parking tout neuf et tout vide non loin d’un fast food, un endroit "rêvé" pour ce que nous avions à faire.

    Le lieu paru lui plaire car elle obéit très bien lorsque je lui expliquai ce que j’attendais d’elle, cette fois nous étions avec MA voiture et celle-ci présentait un levier de vitesse digne de ce nom et parfaitement placé entre les deux sièges, je ne lâche pas l’affaire facilement lorsque j’ai une idée en tête …

    Ainsi j’enfilai moi-même le préservatif à son nouvel ami et passai à l’arrière du véhicule où je m’installai confortablement, dégrafant mon pantalon et en sortant ma queue raide, je comptais me branler en la regardant se baiser avec ce phallus de fortune !

    Séance de rattrapage - Suite et fin

    Elle m’obéit sans cesser de regarder partout autour d’elle lorsque je lui intimais de se placer dans la même position que la veille mais cette fois à l’envers et de se frotter au levier pour bien se faire mouiller ! Elle se montra même bien docile et obéissante cette fois, ne rechignant pas à la tâche, se caressant généreusement avec l’objet avant de le faire glisser en elle cette fois parfaitement bien. Je m’approchai pour le voir s’enfouir en elle, écoutant ses gémissements de plaisir, elle s’abandonnait, elle lâchait prise cette fois et complètement ! Elle se baisait et obéit de la même manière lorsque je lui demandais de changer de trou et de se le mettre dans les fesses pour le plaisir de son Maître !

    Séance de rattrapage - Suite et fin

    C’était laborieux, elle ne parvint pas à le faire véritablement rentrer, il était large quand même et la position pas forcément des plus pratiques, mais elle essaya autant qu’elle pût avant de le laisser retrouver une place plus acquise dans sa petite chatte à présent plus que trempée. Elle luisait de mouille et me supplia de la laisser jouir, mais je refusai, une fois encore, j’avais envie de la voir jouir oui, mais avec ma queue, et la suite je savais parfaitement comment je la voyais !

    Séance de rattrapage - Suite et fin

    Ainsi je l’invitai à me rejoindre à l’arrière, lui imposant au passage de sortir de la voiture, mais elle refusa de le faire sans se rhabiller, cette fois je la laissai faire, déjà satisfait de ses progrès et me montrant aussi un peu conciliant compte tenu de cela.

    Une fois à mes côtés je lui montrai mon sexe luisant lui aussi de cette mouille d’homme qui devait lui faire envie, elle me tarda pas à venir me flatter de sa bouche, exquise avant que nous soyons dérangé, trop vite par un petit camion n’ayant rien trouvé de mieux que de venir s’installer à deux pas de nous sur ce parking initialement désert ! Cela fît renaître ses craintes et la bloqua, pas que le monsieur puisse vraiment nous voir compte tenu de la position penchée qu’elle devait adopter pour me sucer mais il se serait forcément douté et déjà lorsqu’il était arrivé, il avait dû entrevoir que nous n’étions pas vraiment en train de chercher notre route sur un plan …

    Ainsi je ne parvins pas à la convaincre de se laisser baiser devant cet inconnu, chose qui ne m’aurait nullement dérangé, mais à grand renfort de caresses équivoques prodiguées en auto érotisme à mon sexe toujours luisant je parvins à lui faire envie, elle voulait satisfaire son maître et finit par revenir se pencher sur moi, faisant abstraction de cette présence incongrue et indésirée elle me reprit en bouche pour mon plus grand plaisir, vicieuse, gourmande et parfaitement docile. J’en profitai alors pour la forcer à me dire qu’elle voulait me faire plaisir :

    - Oui Maître, j’ai envie de sentir gicler votre sperme dans ma bouche, j’ai envie que vous me baisiez la bouche !

    Ce que je ne me privai pas de faire, lui maintenant la tête lorsque je sentis mon plaisir venir et ne lui laissant d’autre choix que de prendre tout mon foutre dans sa bouche ce qu’elle fît à merveille !

    J’étais un peu déçu car elle n’avait pas eu de plaisir, je regrettais de ne l’avoir pas laissé se donner du plaisir avec le levier de vitesse puisque je n’avais pas pu le faire moi-même, je pensais à son plaisir, à sa frustration et je me jurais d’y mettre un terme le plus rapidement possible.

    C’est ainsi que se termina la seconde séance de rattrapage, pas comme je l’avais prévu mais finalement assez joliment, elle était certes frustrée mais aussi contente d’elle que du plaisir qu’elle m’avait donné, nous pensons chacun au plaisir de l’autre avant même de penser au nôtre et ce malgré la relation dominant dominée que nous avions, l’un n’empêchant pas l’autre !

    C’est le lendemain que j’eus l’occasion de la soulager un peu, nouvelle rencontre imprévue et amenée par une journée à se chauffer alliée à sa frustration, même lieu, même heure et personne pour nous déranger, mais cette fois pas de séance et je n’eus pas grand mal à la convaincre de venir s’empaler sur ma queue après avoir prit soin d’ôter à nouveau son jean, ça deviendrait une habitude ! ;-)

    Je la fît jouir à deux reprises, la serrant dans mes bras et la laissant se baiser de ma queue, accompagnant ses propres coups de reins en appuyant les miens, venant le plus profondément possible dans sa chatte gourmande et affamée, je la baisai rapidement mais pour la combler, j’attendis son plaisir pour consommer le mien et nous pûmes enfin apaiser un peu toutes ces tensions accumulées durant ces derniers jours !

    Elle est ma soumise, dévouée, impliquée et vicieuse comme j’aime, elle a des progrès à faire et son dressage ne fait que commencer, mais c’est déjà une salope démente et elle aime la bite, elle assume ! Moi j’aime la voir se donner à moi, corps et âme, et se déchaîner lorsque je la laisse enfin prendre son plaisir !

    A suivre … dans de nouvelles aventures …

    Bonnes vacances à toutes et à tous surtout !

      


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    Séance de rattrapage

    Elle a fauté, mais ceux qui la suive le savent, lors de sa séance virtuelle elle a dit non à son Maître. Au delà de la punition exemplaire que vous avez pu découvrir et à laquelle elle a eu droit, je ne suis pas de nature à rester sur un échec, d’autant que c’est aussi un peu le mien car je n’ai pas su lui faire lâcher prise. On apprend de ses erreurs, elle comme moi et la dernière séance en est la preuve, elle devient de plus en plus docile et obéissante, elle a appris à lâcher prise et à obéir comme il se doit à son Maître, mais je tenais à lui faire vivre cette fameuse séance virtuelle comme elle aurait dû se passer, je tenais à ce qu’elle arrive à surmonter ses peurs et à oser un peu plus encore.

    Il y a encore quelques mois elle était une jeune femme la tête pleine de fantasme mais elle n’osait pas, elle se sentait attirée par la soumission sans trop en comprendre les enjeux, mais au fil du temps, et les choses sont allées vite, elle a osé, elle a découvert et assumé son côté dépravée, elle a vécu de nouvelles choses et je suis devenu son Maître, d’abord pour l’initier et à présent en phase de dressage, je suis content d’elle et de ses progrès notables, il reste encore du chemin à parcourir et elle-même le sait, mais je sais qu’elle est capable de beaucoup, de tout même je pense avec le temps.

     

    Mon idée était donc de lui faire revivre une séance virtuelle dans l’esprit de celle que nous avions tenté, mais sans risquer à nouveau l’échec, cette fois j’avais mon idée en tête et c’est tout au long de la journée qui a précédé cette séance que les choses se sont mises en place ! J’ai prévu non pas une mais deux séance assez rapprochées, l’une se déroulant le vendredi et l’autre le lundi suivant, dès le début mon idée était claire, mais c’est en fonction de ses réactions que j’ai adapté le déroulement de ces séances pour la mettre à l’épreuve.

     

    1er jour, le vendredi

     

    Dès la veille au soir elle avait reçu ses instructions, elle a préféré attendre le matin pour les découvrir et se mettre dans l’ambiance de dévotion adéquate, tenue imposée ou plutôt orientée, elle devait porter une jupe ou une robe, mais je lui ai laissé en choisir le style et la longueur, seule contrainte imposée, ne porter aucun dessous, ni string ni culotte ni même de soutif, je la voulais nue sous sa robe, ce qu’elle a choisit, et brûlante de désir pour le plaire.

    3 touchages imposés dans la journée et le port de ses deux amies intimes deux heures dans la journée, en deux fois, à choisir !

    Autant dire que la journée fût chaude et j’ai tout fait dans ce sens, mails chauffants, réactions écrites à ses comptes-rendus de touchages, je lui avais ordonné de se présenter à moi au tel au moins à 10/12 d’excitation, ce qu’elle a bien tenté de faire.

    Rendez-vous fut prit, virtuellement bien sûr, sur un parking que nous connaissions et que j’imaginais calme durant cette période de congés, celui d’un centre commercial non loin de mon lieu de travail, ainsi j’aurais la possibilité de la rejoindre si le cœur m’en disait, c’est en tout cas ce que je lui ai laissé penser, car au fond de moi je savais exactement ce que je comptais faire avant même de lui parler.

    Elle devait choisir un endroit sur ce parking, et se préparer, remonter sa robe bien haut au dessus de sa tailler et commencer à se caresser, elle devait m’appeler lorsqu’elle serait prête, juteuse à souhait et disponible pour son Maître !

    Malheureusement tout ne se déroula pas comme prévu, beaucoup de monde sur la parking, j’y étais en réalité avant elle et j’eus tout le temps de l’observer changer plusieurs fois de lieu, prise de panique par cette proximité trop grande avec le monde, persuadée qu’où qu’elle se mette on la verrait, l’excitation redescendit à mesure que son angoisse montait et lorsqu’elle m’appela elle était dans un état de stress assez avancé, mais malgré tout prête, pour autant que cela fût possible, pour la séance.

     

    Elle devait m’appeler et me saluer comme son Maître, ce qu’elle fit parfaitement, je sentais dans sa voix l’angoisse qui la gagnait et je comptais tout faire pour la vaincre cette fois, pour l’amener à se laisser aller même si je savais que ce n’était pas gagné d’avance, j’avais repéré l’endroit où elle avait choisi de stationner sa voiture et m’étais moi-même garé non loin en prenant soin qu’elle ne puisse me voir, je l’observais néanmoins sans vraiment voir, à bonne distance, lorsque mon téléphone sonnait.

     

    - Bonsoir Maître !

    C’était parti et déjà ma queue se gonflait dans mon pantalon, à la pensée de ce qui allait suivre, au son de sa voix de soumise dévouée, je lui posais quelques questions d’usage pour détendre un peu l’atmosphère, vérifiant son niveau d’excitation et son état de stress et puis je lui ordonnais de reprendre son touchage, d’abord doucement, puis avec plus de précision, la forçant à me parler, à me décrire ses actes, chose qu’elle peine encore un peu à faire. Malgré tout elle faisait de son mieux, fort peu désireuse de me décevoir à nouveau, elle me décrivait sa main venant titiller son bourgeon, ses doigts glissant sur sa chatte humide, venant longer sa fente pour s’y glisser, je goûtais à cette voix de petite chienne qui avait envie de sexe, son excitation ne tarda pas à monter d’un cran et malgré la peur d’être surprise elle obéissait, faisant tout son possible pour m’obéir. Elle se doigtait d’un puis de deux doigts, jouant d’abord avec son intimité puis avec son œillet sur mon ordre, s’enfonçant profondément ses doigts en elle, branlant vigoureusement son clito, le 10 d’excitation elle l’atteint finalement assez vite, juste ce qu’il fallait pour que nous passions à l’étape suivante.

      

    Séance de rattrapage

      

    Je lui demandais alors si elle savait ce que j’allais lui imposer, elle ne voulait pas l’imaginer, elle pensait que je ne reviendrais pas sur ce sujet une seconde fois, ne l’ayant pas habitué à réchauffer mes demandes, je lui rétorquais que vu que la chose ne s’était pas vraiment concrétisée ça ne me paraissait pas être du réchauffé !

    Ainsi elle dû à nouveau enfiler une capote à son levier de vitesse, et cette fois je lui fis comprendre que je ne tolérerais pas de refus à mes ordres, elle allait devoir se baiser avec lui, faire sa salope au-delà de ce qu’elle n’avait jamais fait dans ce parking, au vu et au su de tous !

    Elle tenta de discuter mais je la remis bien vite en place, lui ordonnant fermement de m’obéir, ce qu’elle finit par faire alors que je m’approchais discrètement de sa voiture pour la surprendre, elle dû se placer face à son pare brise et donc face aux allées du parking, les deux genoux posés sur chaque siège avant de sa voiture, et se frotter sur le levier de vitesse, je l’entendais gémir malgré ses supplications pour que j’arrête de lui en demander tant ! Cette fois elle obéissait et ce qui comptait c’était ça, même si je savais que son plaisir serait un peu gâché par le stress ça faisait partie de son dressage, devoir m’obéir malgré la peur, avec le temps elle apprendrait à gérer ça !

    Alors qu’elle tentait enfin de faire glisser le levier de vitesse en elle elle m’aperçu proche de son véhicule, je voulais la surprendre, c’était réussi parce qu’elle ne m’avait pas vu arrivé mais j’aurais aimé la prendre sur le fait, elle crut pouvoir se détendre lorsque je pénétrais à l’arrière de sa voiture mais je la recadrais, elle croyait pouvoir arrêter ce qu’elle faisait mais je lui ordonnai de continuer, de me montrer comme elle faisait sa chienne, elle se fit une fois de plus prier mais elle s’exécuta néanmoins.

    Le problème était la position du levier de vitesse, implanté dans le bas du tableau de bord et non entre les sièges comme sur la majorité des véhicule, cela rendait difficile la pénétration surtout compte-tenu de son état  de stress avancé ! JE décidai  alors de mettre fin à son supplice d’une certaine manière, j’avais déjà ma petite idée pour résoudre ce léger contre temps et bien d’autres envies à la voir ainsi excitée par son acte de soumission et puis le principal était qu’elle m’aie obéit ce qu’elle avait très bien fait cette fois ! Je passai donc à l’avant, la faisant reprendre sa place sur son siège conducteur et je lui annonçais que tout cela m’avait bien excité et que je désirais qu’elle me suce.

    Là encore petit moment de panique pour elle, mais là encore elle su surmonter sa peur et s’exécuter, me déboutonnant mon pantalon et en extirpant ma queue tendue, elle ne réfléchit pas trop longuement et se pencha après avoir scruté partout autour de nous, je lui indiquais qu’une fois en position elle ne verrait plus et n’aurait donc plus à risque de croiser le regard d’un voyeur. Je sentais ses lèvres m’envelopper, sa langue revenant découvrir mon gland gorgé de sang, je la sentais me prendre en bouche et je me faisais la réflexion qu’elle avait grandement progressé sur sa pratique de la fellation, elle y allait maintenant de bon cœur, me prenant considérablement en bouche, se laissant faire lorsqu’il s’agissait que j’impose le rythme et je profitais de la situation, lui intimant de joindre ses poignets dans le dos et de me laisser prendre le contrôle. Là encore hésitation et puis elle s’exécuta, se retrouvant alors complètement dominée et incapable de gérer quoi que ce soit. C’est moi qui maintenait sa tête, la saisissant par les cheveux pour gérer la profondeur de pénétration de ma queue dans sa bouche, y allant d’abord doucement puis me faisant plus plaisir, forçant le passage, provoquant un peu d’écoeurement au passage de mon chibre dans sa gorge mais me faisant grandement plaisir en constatant qu’elle ne tentait pas de reculer ou de reprendre le contrôle, je lui maintenais les poignets dans le dos d’une main, faisant coulisser sa bouche sur ma queue de l’autre en rythmant le mouvement de ma main dans ses cheveux. Voyant qu’elle ne tentait pas de résister je lachais ses mains pour venir m’occuper de sa chatte et de son cul, histoire qu’elle aussi prenne du plaisir et pas seulement à sentir la queue de son Maître envahir sa gorge, j’étalais sa mouille sur sa chatte et sur son cul, glissant mes doigts en elle sans grand ménagement, je la doigtais comme une chienne, lui faisant bien sentir mon emprise, je savourais ses gémissements étouffés par le fait qu’elle aie la bouche bien remplie.

      

    Séance de rattrapage

      

    Cette petite gâterie dura un moment mais il n’était pas question de trop trainer non plus, chacun d’entre nous devant rentrer à une heure acceptable dans son foyer.

    Je décidais alors qu’il était temps de se soulager, j’étais dans un état terrible d’excitation, elle devait bien le sentir, ma queue me faisait mal tellement elle était tendue et il allait falloir faire baisser la pression mais alors que j’aurais pu m’épandre dans sa gorge et ainsi me satisfaire je préférais l’option baise qui, au-delà de permettre encore de lui faire vivre une épreuve, allait aussi lui procurer plus de plaisir.

     

    Ainsi je lui expliquais je que j’attendais d’elle, elle devait sortir de la voiture, se rendre à l’arrière, ouvrir son coffre placé contre le mur du fond du parking et s’y pencher en relevant sa robe au dessus de sa taille, la suite je m’en occupais !

    Elle fit une tête hallucinée lorsqu’elle m’entendit mais c’est sans trop rechigner qu’elle ouvrit sa portière pour se rendre presque en courant à l’arrière de la voiture, lorsqu’elle eût ouvert le coffre et ce fût installée elle m’en fit part, je descendis alors à mon tour sans même avoir pris soin de ranger mon "matériel" et me dirigeai à mon tour vers l’arrière de la voiture, je la trouvait offerte, penchée et les coudes appuyés dans son coffre, le cul tendu, je forçais sa pause, lui ordonnant de bien se cambrer et pressant sur son bassin, je lui fis écarter largement les cuisses et c’est sans autre forme de préliminaire que je lui mis mon sexe d’un coup au fond de son con ruisselant de mouille, je la pris énergiquement et à grands coups de reins, faisant claquer mes couilles sur sa chatte, passant une main sur son ventre pour branler son clito en même temps et me permettant même de lui asséner quelques claques bruyantes et raisonnant dans le parking, ce qui ne manqua pas de la faire râler et d’attiser sa peur que nous soyons surpris en pleine action.

    Je la baisais fort, et tout alla très vite compte tenu de mon niveau d’excitation, malheureusement elle n’eût pas le temps de jouir, à la fois à cause de la rapidité de l’action mais surtout à cause de sa peur qui la tenaillait, moi en revanche je jouis et délicieusement, sentant mon sperme jaillir et butter dans son ventre, venant l’inonder, je fournissais beaucoup et elle gémit malgré tout considérablement, il n’aurait pas fallu longtemps pour lui faire oublier le lieu et la situation je pense …

    Lorsque j’eus fini de me vider en elle je me retirais, elle coulait de nos jus mêlés et maudit la position lorsqu’elle sentit nos semences lui couler entre les cuisses et le long de celles-ci, nous reprîmes place en voiture pour une petite séance d’essuyage avant de nous rajuster, il était déjà temps que nous nous quittions, pour mieux nous retrouver le lundi suivant, le temps d’échanger un peu d’abord de vive voix puis au téléphone le temps que chacun de nous rejoigne son chez lui. Elle avait aimé la séance, elle était contente d’elle et moi tout autant, elle avait cette fois réussi l’examen qui lui avait fait défaut la fois précédente, j’étais fier de ma soumise !


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